Toutes les parties du réçit sont dédiées à maîtresse Trinity, mais celle-ci particuliérement.
« Alors vas-y » s’impatienta maîtresse Trinity en ouvrant un bras vers moi comme pour m’ouvrir à toutes
les libertés. Je me précipitais sur l'esclave. Profitant de ce qu’elle avait le ventre à terre (d’ailleurs elle devait avoir le nez éclaté par le saut que lui a fait faire maîtresse sur le sol
car du sang s’échappait au niveau du visage) je me branlais pour la sodomiser. Maîtresse Isabelle explosa de rire ! « Tu ne bandes même pas ? » Comment
pourrais-je ? Je fais déjà semblant d’en avoir quelque chose à foutre de cette malheureuse alors que ce poteau au fond de la pièce me coupe tout effet et m’obsède. « Pff !
Quel malheureux (en parlant de moi) Heureusement qu’on en a gardé pour toi… » Et extirpant de sa poche ventrale des petites graines majoritairement rouges vifs, certaines noires. Elle me
les donna en ajoutant maligne
« Fous lui ça dans le cul ! »
« Et dans le con, tu m’en diras des nouvelles ! »
Maîtresse lui répondit « tu triches. » et les deux rigolèrent comme deux folles alors que moi je ne
comprenais pas grand-chose. La blonde s’était retournée. Effectivement le nez explosé. Son regard craintif s’opposait à ses airs détachés de tout à l’heure. Puis voyant que je la regardais remit
tête contre le sol, par fierté supposais-je. Les petites graines ressemblaient à des petits poids chiches. Je remarquais que certaines étaient avec des points jaunâtres. J’ignorais ce que c’était
mais cela sortait de la terre, pour sûr, et que certains grains noirs avaient du brûler au soleil. L’odeur qui s’en dégageait me piquait le nez comme de la
moutarde, pourtant je les tenais loin de moi. Je pris donc une graine et lui enfourna dans le derrière. Une réaction immédiate se fit sentir, car si je n’étais pas assis sur ses cuisses, voilà un
bail qu’elle se serait recroquevillée. Une autre graine partie dans sa chatte. Pareillement elle se gondolait et poussait des gémissements que ses dents serrées auraient voulu retenir. Je
poursuivais et lui administrais une seconde graine, une noire, dans le rectum. Là, elle se mit à crier « Ahh putain je brûle ! Arrêtez ! Putain, merde ! Aaaah ».
Je voyais qu’elle poussait comme pour chier mais ne parvenait pas à les extirper. Crescendo ses cris montaient. Les deux maîtresses se sont rapprochés et poursuivaient de leurs commentaires.
« Allez ! Qu’attends-tu pour lui enfiler des piments serpents à cette dévergondée ? » cria maîtresse Isabelle. « Tu veux qu’on t’aide ? » postula
ironique Divine en appuyant un talons encore boueux sur la colonne vertébrale de la suppliciée. « Il ne faut pas remuer le vin quand la vigne est en fleur. Dit-on chez les
médocains. » Elle était délicieuse mais qu’est-ce qu’elle était salope ! Maîtresse Isabelle fit de même et brisa une cote d’Ursula qui ne savait plus où donner de la douleur. Je
poursuivais et inséra une à une les graines de piment tantôt dans la chatte, tantôt dans le cul. Je réservais les petites graines noires pour le cul à la
fin. Ursula me chia littéralement sur le ventre. Ses contorsions désespérées arrachaient ce qui me restait de cœur encore vivace. Absolument dégoûté de moi-même, je forçais la malheureuse des 3
dernières graines noires consécutives dans son cul. Pour chacune je plongeais mon index le plus profondément possible afin qu’elle ne me les chia point de suite et qu’elle en profita un moment.
Dégoûté de moi-même vous dis-je !
Maîtresse isabelle me dégagea d’un coup de bras sans prévenir.
J’ai valdingué à la renverse. Elle prit ma place et s’assit de tout son poids sur la malheureuse qui hurlait sa
douleur sans faire cas de la merde qui lui dégoulinait des fesses et des cuisses. Ursula n’en pouvait plus et suppliait. Insultait rouge : " Bande de connasses ! Libérez-moi ! Aahh Je vais
crever ! Salopes ! Salopes ! Aah " . Maîtresse Trinity marmonna quelque chose et monta avec son deuxième talon sur le dos d’Ursula. Maîtresse faillit tomber à deux reprises tant Ursula
imitait le vers de terre coupé en deux. Elle administrait plusieurs grands coups de talons à la malheureuse qui pissait maintenant sous elle. La troisième
tentative fut la bonne quand Divine se maintint debout par l’entremise de l’épaule de maîtresse Isabelle et par la position que ses coups aigus avaient creusés chez Ursula .
Installées ainsi, Maîtresse Isabelle sorti de sa poche ventrale une bonne poignée de graines de piments pour n’en
retenir que les noirs et balancer les autres par-dessus son épaule. Maîtresse Trinity m’ordonna de venir voir le calvaire. A quatre pattes et n’osant me relever pour ne pas laisser penser qu’un
homme puisse leur être supérieur, je contemplais avec effroi la bonne dizaine de graines foncés dans la main de maîtresse Isabelle. Elle me regardait en ricanant et ouvrait la main vers moi pour
me faire participer à leurs jeux de torture. Mimant « tiens regarde ce que je vais lui mettre ! »
Comme si ça pouvait m’exciter le moins du monde.
Je vis alors sa main gauche en prendre une pour la lui rentrer dans le cul. La merde dans laquelle maîtresse
Isabelle baignait avait une odeur anormale comme si c’est tout l’intérieur qui dégueulait de la pauvre blondinette. Le foie, la bile, les intestins et l’estomac qui devait être salement enflammé.
Le doigt boudiné de maîtresse Isabelle se fraya un chemin dans le trou maculé de merde et de graines sortantes. Puis avec méticulosité rentra toutes les
autres dans son sexe. Dans le vagin. Dans l’utérus. Elle rentrait chacune des graines noires dans le vagin ! Putain ! Chacune enfoncée profondément. La pauvresse poussait des cris de
mort comme si on lui arrachait les jambes. Ses cris étaient stridents et emplissaient la pièce. J’en avais le cœur moite. Elle balançait de tout côté, forçant maîtresse à descendre précipitamment
de son dos. L’esclave parvint presque à se mettre sur le dos, puis roulait sur le ventre en beuglant de plus belle. Le supplice enflammant la rendait folle, c’était une torche humaine !
Dans un effort surhumain repliait ses genoux en position foetale pour pousser de toutes ses forces sur ses sphincters, ses abdominaux, forçant les graines à
dégager de ses orifices carbonisés. « Elle est pas prêt d’avoir des enfants cette pute ! » Lança maîtresse. L’autre, rigolarde, rétorquant « ni même de baiser par aucun de ses trous ». Maîtresse Trinity se courba alors pour ramasser quelques graines rouges que maîtresse Isabelle avait
balancé lors de son tri et s’approchant d’Ursula qui hurlait comme une damnée s’en pouvoir même se soucier d’une nouveau pas que son calvaire allait traverser, lui enfonça avec violence les
quelques graines rouges au fond de la gorge. Fière de son effet elle ajouta comme énième saloperie « Il lui manquait la bouche… » Avant qu’elle ne puisse retirer sa main
les mâchoires d’Ursula se refermèrent sur les phalanges de maîtresse, surprise. Comme un chien fou elle dodelinait de la tête et grommelait, essayant soit de fuir la douleur buccale soit
d’arracher des morceaux de chair à Divine. Maîtresse Isabelle mit un coup de botte d’une force vertigineuse en plein visage de la suppliciée. Sa tête balança comme un drapeau au vent. Elle
relâcha son emprise sur la main non sans s’être accroché un maximum malgré le choc qui bleuissait sa joue et explosait littéralement son nez. Trinity tomba
de côté et en se relevant mirait sa main qui saignait par endroit. La grosse lui passa un mouchoir, mais elle, n’essuyait qu’un rictus. Vexée pensais-je, et dans la douleur également. Que nenni.
Forçant le respect elle jeta le mouchoir vers le visage tuméfié de la blonde et glissa un mot à l’oreille de maîtresse Isabelle. Et les deux sadiques rirent sans pouvoir se contrôler. Je voyais
Ursula se mouvoir frénétiquement comme elle pouvait et ses cris devenaient moins audibles. Les larmes les cris déformaient son visage ensanglanté. Certainement que
l’urticant lui brûlait la gorge et endommageaient irrémédiablement ses cordes vocales. Elle toussait, crachait, feulait maintenant tant sa gorge devait être ravagée.
D’un effort désespéré monta sur ses genoux comme pour une levrette, mais les liens l’attachant cela relevait de la
prouesse et retombant
à même le sol.
La gueule
à même le carrelage. Ses gémissements maladifs indiquaient son expiration proche et elle poussa sur ses fesses
jusqu’à faire ressortir la margelle, rendue rouge fluorescent, et extirper avec des excréments marrons clairs liquides les dernières perles noires. Celles de
sa chatte, hélas, restaient logées et fondaient progressivement à l’intérieur.
Puis imprima un faible soubresaut. Comme une loque, elle s’évanouit.
S’échappait des mille douleurs dans les cauchemars. Elle gisait comme morte. Ce qui n’émut pas plus la cruelle
assistance.
Maîtresse accompagnée de deux femmes revint vers moi. La première, cheveux longs et blonde, n’avait pas 20 ans et
c’est presque toujours vers elle que se tournait maîtresse pour ricaner ou bavarder. Je devinas que c'était elle qui passait les plats. Elle avait le visage plein de douceur malgré ses yeux qui
trahissaient des envies folles. La seconde était au contraire largement cinquantenaire, je la connaissais maintenant, c'était la grosse ! Elle était forte et une épaisse couche de graisse sortait
de son ornement de cuir. Trop guindé. Si la jeune semblaient follement excitée à l’idée de ce qui se passait, la grosse me reluquait perversement et se tenait droit comme un pic. Maîtresse me
parla en ces termes : « Je te présente esclave Ursula (alors la jeunette n’était même pas dominatrice. Etait-elle juste là pour témoigner
auprès d’autres esclaves du théâtre insensé qui joue ce soir ? - et ecrire comme maîtresse me l'avait permis noël 2011 tout l'horreur de sa perversion). Elle aura plaisir à voir jusqu’où je
peux aller pour ma jouissance. Puisque tu en doutais… » A ces mots Ursula rougit et regarda fixement par terre. Elle avait probablement irrité maîtresse Trinity en la mettant au défi. Divine
reprit « Et je te présente maîtresse Isabelle. » Comme pour se moquer, maîtresse Isabelle
avança d’un pas et fit une révérence théâtrale en se courbant du mieux qu’elle puisse et que ses bourrelets permettaient.
" Maintenant aussi, je voudrais te présenter soumis Francis qui travaillait à la BA106 de Mérignac jusqu'à sa fermeture. Il prépare à temps perdu des chiens pour des aveugles
maintenant. Il aime les bonnes actions (maîtresse pouffa). Il est aussi un partouzeur invétéré. Il fait ses rencontres dans les bains douches de Bordeaux. Cela fait 3 semaines que je lui demande
abstinence, et je crois pas qu’on puisse lui en demander plus pour l’instant. Je lui ai promis de lui offrir une paire de fesses dociles. Montre-toi docile Julien. » Silence. Puis
gueulante : « Retourne-toi et montre lui ton cul ! ». Je n’ai pas eu le temps de tout saisir que le couillon retirait sa ceinture de
guerrier, son treillis et ses vieilles chaussures. Je me retournais avec effroi. Je ne suis pas PD ! Sans prendre plus de manière délicate, dans lesquelles il échouerait de toute façon, je
sentais son corps musclé prendre place derrière moi. Je restais prostré dans la boue dans laquelle il pataugeait aussi. Un doigt humide me força l’anus. Putain mon trou du cul en avait vu
d’autres. Mais le dégoût que je ressentais resserra tant mes sphincters que même son doigt me fit très mal. Hélas ça n’était rien comparé à la bite énorme qui pointait déjà à l’orée du trou de
balle. Une bite énorme ! Un frisson me parcouru l’échine en constatant à la louche l’immensité du gland qui butait sur mon cul et commençait à me forcer. Il
allait me déchirer ! S’agrippant à mes côtes comme on le fait d’une femme, il plaça un violent coup de rein qui vint me déformer l’opercule. Il plaçait sa queue dans l’axe et comme il
n’était pas dans l’axe, ce bourrin passait en force obligeant mon trou du cul à souffrir d’une contorsion phénoménale. Une pression constante me pressait l’anus maintenant. J’haletais tant et
plus pressentant la douleur colossale. Sa pine se fraya un chemin dans l’orifice anal malgré la fermeture totale que je lui imposais. Un cri de douleur s’échappa quand il m’encula. Sa bite de
connard déformasse littéralement le conduit et me forçate à relever plus mon cul pour qu’il ne me déchirate davantage. Sa bite était d’une longueur abominable et à la fin butait dans les cailloux de merde écrasés contre le fond de mon fion. Je craignis qu’il remonte jusqu’à la gorge tant j’avais mal. Lors du mouvement arrière il se sentit
si en confiance qu’il imprégna directement un va et vient démentiel. Sa saloperie d’abstinence l’avait échauffé comme un fer rouge et il me limait avec une puissance incroyable, au point qu’à
chaque fois qu’il s’écrasait au fond de mon cul j’imprimais un soubresaut de souffrance. J’étais étiré jusqu’au bide et foutu jusqu’à la gorge. Les deux maîtresses et l’esclave commentaient la
joute. Francis maintenant ahanait et rapidement gicla son sperme sur mes matières fécales. Lesquels d’ailleurs ressortaient massivement de mon cul sitôt qu’il se fut retiré. Putain quelle
humiliation. J’étais si saccagé que je sentais les flots de sang me taper dans les nervures de l’anus. Je me posais de côté à même la boue de peur que ne lui reprenne cette frénésie. Maîtresse
Isabelle s’agenouilla à côté de moi et m’écarta une fesse. Elle repartit déçue et dit à maîtresse « il n’a même pas le cul ouvert. Et ça n’a duré que quelques minutes… ». Maîtresse
s’adressa à la blonde, drôle de ballet : « et si on t’armait d’un god ceinture taille éléphant, tu irais lui déchirer le cul à cet animal (me montrant du coude à peine relevé et du
regard) ». Je n’ai pas vu, ni entendu la réponse d’Ursula car tout devait se passer dans le regard ou dans l’attitude mais Divine rigola à pleins poumons suivie de prêt par maîtresse
Isabelle. La blondinette restait muette.
A ce moment maîtresse Trinity menotta Ursula et la poussant au devant de moi dit :
« Voilà je ne t’ai pas trop abîmé pour que tu puisses t’amuser aussi. Ma bonté me perdra. » Et elle éclata
de rire avec maîtresse Isabelle. Désemparé je m’approchais d’Ursula qui se tenait fière, sans montrer une once de peur. Maîtresse Isabelle renchérit « Tu peux la tuer, tu ne seras pas
poursuivi ! » Et elle pouffa comme une grosse qu’elle est. Opposant sa mocheté à la magnificence de maîtresse. Je me jeta sur la drolesse et la renversa pour la coucher dans la boue,
comme j'étais. Je décidais sans savoir que faire de tirer les cheveux de l’esclave et faire bringuebaler sa tête dans tous les sens. Malgré ma dernière heure
venue, je me montrais incapable d’imagination et me sentais, nu, démuni. Maîtresse Trinity s’approcha et me fixa avec un sourire enjoué « tu vas lui briser la nuque… Je te propose de la
traîner avec moi jusqu’à la salle des festivités. " Pour faire bonne figure, je saisis la crinière de la belle et la traînais genoux dans la boue à mon dos comme un homme de croc-magnon que
j’étais.
Quittant ce lieu boueux, je pénétrais dans une immense pièce lumineuse. Mon regard se troubla quand je vis au fond
le pal dressé de 2 m de haut. Un pic de bois rouge au bout. J’ai cru mon cœur s’arrêter de battre pour de bon. Je voyais Reine la perversité dans l’élaboration de l’échafaudage qui entourait cet
engin de mort. On avait construit tout ça dans le but d’assassiner quelqu’un, quelle folie ! Le maître chien se tenait sur la plate forme en hauteur. Entre deux cordes il ajustait des
réglages. Ce plan de travail horizontal (qui permettrait de loger confortablement 3 personnes car vaste elle était) contrastait d’ailleurs avec le majestueux pal qui s’élevait tel un gros index
vers les cieux. Je croyais voir l’obélisque (de la concorde) ramené en France par Napoléon sans bien savoir où iraient mes cendres à moi. Tout ça pour me faire
crever ! Me crever. Par le cul. Cette préparation infâme, c’est dégueulasse ! J’avais la gorge nouée et j’avais envie de pleurer. Voyant mon cœur glacé maîtresse Trinity me dit
« Et bien quoi ? Tu croyais que j’allais te farcir d’un quignon de pain et trois petits tours et puis s’en va ? » Elle retenait un rire nerveux et cruel en voyant ma mine
déconfite. Elle reprit, tenant visiblement à ne pas rater sa fête à cause de saugrenues résistances : « Ce n’est pas ton jour. Allons. » Jamais elle ne m’a parlé avec un ton
d’une telle complaisance. Je ne la croyais pas. Mais j’essayais de me persuader qu’à 52 on ne peut pas finir comme ça. Que c’est inhumain. Que je suis si **** de m’être ainsi donné en pâture. Que
le diable s’habille en cuir et qu’il fouette les crédules, les naïfs, les simplets, les cons. Que je suis. Que je suis con. Mais je me répétais en traînant l'esclave qu’elle ne me tuerait pas. Au
moins pas aujourd’hui. J'en arrivais presque à me convaincre et racle la blondasse !
Elle reprit la parole, en me voyant pensif et livide, en élevant le ton et avec agacement comme pour me
réveiller : « Profite plutôt d’Ursula que de divaguer ! Je veux que tu me fasses honneur ! Je veux que tu la baises et que tu en fasses une
merde rampante. ». Sur ce, elle m’arracha Ursula de la main en la prenant elle-même par ses cheveux. D’un grand coup de braquet elle ramenait la malheureuse à elle, manquant de peu de lui
tomber le scalp. Ursula cria pour la première fois. Va s’en dire que ce n’était pas la dernière. Puis quelques mètres plus loin Trinity la laissa choir comme un vieux sac, la tête cognant
violemment contre le sol. Elle dit effroyablement « je me demande si je ne veux pas qu’elle meurs aussi ». Maîtresse Isabelle se retourna aussi sec
et pouffa de rire étonnement en marquant un non de la tête de droite à gauche. Comme si cela n’était pas possible. Comme si c’était trop. Comme si déjà, ici, tout n’était pas
trop !
D’abord j’ai vu ces deux chiens loups arriver sur moi guidés par leur maître. Je pensais à tort que c’était pour me
dévorer qu’ils accouraient. Mais que nenni, c’était dit, mon calvaire prendrait des formes surréalistes. Le maître chien, un mec la quarantaine, balaise, visiblement pas finaud, les gros muscles
des bras ajourés par un pull kaki coupé au niveau des biceps. Le cigarillo au bec. Le regard vers moi méprisant. Il ordonna à ses chiens de ne plus bouger en donnant un coup de collier sec à
chacun. Il parlait à maîtresse en regardant ses pieds. Peut-être était-il esclave ou bien pleutre ? Sans attendre, divine m’a fait agenouiller les deux mains dans la boue et m’a ordonné de
sucer les chiens en passant par dessous. Mon corps sinuant entre les pattes avant et les pattes arrières. Quelle horreur ce qu’elle me demandait, mais
j’étais soucieux de lui plaire et de ne pas sourciller au moindre détail dégueulasse. La bite encore rentrée il me fallait déchaussé le gland dans la touffe de poil, le branler pour qu’il prenne
une proportion de petite bite d’homme et que je puisse l’aspirer. Les chiens sucés l’un après l’autre ne bronchaient pas et se contentait de tirer leurs langues et de faire des aboiements de
temps en temps quand les giclées étonnement abondantes fusaient jusqu’au fond de ma gorge.
Prostré dix bonnes minutes à sucer j’ai eu l’humiliation d’entendre maîtresse converser comme si je n’étais pas là
avec le maître-chien. Je ne voulais rien entendre. Quand elle jetait un œil à mon ouvrage, c’était pour m’ordonner de sucer plus profondément et surtout de pas baver. Mais le sperme canin était
si acre qu’il me piquait le fond de la gorge (un peu comme du vinaigre) ; je recrachais machinalement le trop plein buccal. Maîtresse m’a ensuite ordonné de me mettre à quatre pattes le cul
bien relevé afin que je me fasse prendre séance tenante. Je m’exécutais sans faillir, et même avec passion, car je voulais réussir ma fin. Le maître chien me parla comme à un animal (il traitait
mieux ses chiens) pour que je me mette dans l’axe de la bite canine. Mais rien n’y faisait. Le chien loup s’installait sur mon dos et recroquevillait ses pattes sur mes côtes. Maîtresse fut
d’autant plus contrarié qu’elle voulait absolument que je subisse l’assaut des deux chiens. Ayant essayé le noir, le second, aucun des deux ne réussit à la tache. Qu’à cela ne tienne, d’un coup
de botte bien senti, maîtresse me frappa violemment au tibia, je roulais de douleur dans la boue, pour m’ordonner de sucer encore et de sucer mieux que tout
à l’heure. Remis à quatre pattes je repris chaque bite des chiens dans la bouche. Je me mettais à chaque fois sous leurs ventres. Le sperme était nettement moins abondant ce qui me permettait de
satisfaire aux ordres de Divine et de tout boire consciencieusement. Le manége dura encore dix bonnes minutes. A croire que j’avais vraiment vidé les couilles des deux toutous car ils fuyaient
désormais ma bouche.
Franchissant un nouveau palier maîtresse m’ordonna de lécher l’anus des
chiens.
Alors que j’avais tant de mal à déglutir suite à la dégustation de sperme, urticante pour ma gorge, je devais me
taper les horribles cul de chiens dont j’imaginais qu’ils n’étaient pas lavé depuis leurs dernières défections. A raison, je l’imaginais. Soulevant péniblement avec honte et dégoût la queue du
premier chien, je constatai avec horreur que le trou du cul du chien était immense naturellement , presque comme une bouche, et qu’il était maculé de merde marron tout autour. L’odeur
pestilentielle qui s’échappait me fit faire une moue que maîtresse n’appréciât pas du tout. Elle me plongea le visage sur le cul de l’animal qui ne bronchait pas. « Léche, léche, léche Julien ! ». Malgré ma bonne volonté je peinais à sortir ma langue étant entendu que déjà mes lèvres aplaties sur l’anus se maculait de merde
copieusement, sortir ma langue consisterai en l’avaler ! « Lèche, je veux voir ta langue » Maîtresse me tira les cheveux en arrière et ordonna
que je tire la langue. Trop rose pour elle ! Elle saisit le fouet du maître chien et m’administra une volée. Je bondissais à chaque coup car tous étaient appuyés du plus que sa force
l’autorisait. Revenue de sa noire colère elle ordonna que le second chien loup vienne et que je lui nettoie l’anus sans jouer la farouche. « Ta langue je la
veux marron, verte, puante, mais je la veux pas rose ! T’as compris putain ? ». Invectives. J’opinais du chef, tremblais de tous mes membres, et souleva la queue du chien pour
m’enfourner la bouche directement au puits de merde.
Maîtresse devait mouiller passablement et s’étant baissé à ma hauteur, talons aux fesses, elle regardait avidement
les mouvements de ma langue sur le cul de l’animal tout en guidant par mes cheveux la destination voulue. Elle m’extirpa de l’anus crasseux après de longues minutes. Les morceaux d’herbe déféqués
et d’excréments je les avais tous avalés depuis longtemps. A peine les contours des lèvres mélangeaient les couleurs, un peu toutes à vrai dire, sinon rien de très apparent. Ce qui ne ravit pas
maîtresse qui soupira « Ta langue est à peine maronnasse, tiens reprend celui-ci ! » Le premier chien, qui avait la merde qui débordait du cul
(tellement que j’imaginais qu’on l’avait badigeonner le trou de balle pour moi) revint et maîtresse, fesses sur talon, avec un regard extrêmement excitée que j’ai croisé rapidement, recommença
son cirque en imprégnant le rythme et le sens de mes allers et venus en me tirant les cheveux, tout en m’ordonnant à l’envie de sortir ma langue dur pour l’enfoncer tout droit. Le chien
s’agitait. Moi je déglutissais et c’était dégueulasse. Les odeurs de merde des deux chiens se couplaient avec un restaillon de sperme qui m’avait imbibé la
langue. De long en large je lui lustrais l’anus, allant jusqu’à sa queue, partant sur les côtés dans les poils. Maîtresse d’un coup sec tira ma tête en arrière. Je compris, j’ouvrais la bouche.
« Non seulement tu as une haleine déplorable Julien mais en plus tu as de la merde jusqu’aux joues ! » Elle parti en rigolant préparer
l’attraction suivante non sans m’ordonner de lécher encore. le maître-chien avait ordre de me surveiller. Le connard m’a envoyé un violent coup de pied dans le ventre juste pour le plaisir. La
respiration coupée je restais dos contre boue avant qu’il ne m’attrape lui aussi par les cheveux pour me conduire avec dégoût et ricanements aux trous de ses chiens.
Je ne sais quand et où car j’ai tout oublié du fond de ce coffre. Je sais juste qu’il a du s’écouler des mois entre
l’enculage de maîtresse et le moment où elle m'a enlevè de chez moi. Je dis m’enlever mais tout était convenu et elle avait même pris la sagesse de me téléphoner pour m’avertir la veille. Alors
que je pensais notre contrat aux oubliettes et que je vivais au milieu des miens comme si de rien n’était. J’avais informé mon amie et mes enfants. J’avais été évasif mais cela a suffit pour
chacun leur arracher des larmes et des cris.
« Je ne reviendrai pas de ce voyage patati patata vous êtes si précieux pour moi patati patata la vie nous a
fait cadeau de nous rencontrer patati patata je pars volontaire patati patata je veux vivre ma vie autrement patati patata ne m’en voulez pas ».
Sérieusement quand la nuit venait j’ai maintes fois voulu m’enfuir et disparaître. Quand je fermais les yeux pour
dormir, je pensais à elle, et je me disais que j’étais fou. Et là, fou, je me retrouvais ligoté dans le coffre de voiture de maîtresse avec une grosse qui l’accompagnait. Elle m’a informé
« je t’emmène mais je te ramène. Ce n’est pas encore ton heure. » Ce fut plus facile ainsi de me ligoter. Ce ton condescendant qu’elle prenait et que j’entendais pour la première fois,
je n’avais pas fini d’y repaître mes oreilles. C’était doux comme le miel et apaisait mon cœur chamadant même si ma tête n’y croyait pas trop. Je pensais plutot qu’elle voulait m’emmener, mais
pour une dernière fois. Les échanges si nombreux m’ont montré son impatience, son envie folle e sa démesure. Et avec dévotion et pour elle, j’ai moi-même jeté les ponts de ce projet
maléfique et contracté avec elle un deal de folie qui nous ferait passer de la terre raisonnable à la rive des pires meurtriers. Pédophiles, égorgeurs, chefs de guerre assassins, violeurs de
vieilles dames y devait y avoir leurs quartiers. Au fond de moi je voulais tellement la satisfaire en me satisfaisant moi-même. Orchestré toute la mise en scène qu’exigeait mon contrat m’avait
plongé dans des transes pas possibles et les conversations et visites précipitées auprès de maîtresse conféraient au culte satanique. Je me souviens le plaisir et les flammes dans ses yeux.
Privilégié que j’étais de pouvoir, et ce depuis bien longtemps, partager mes insanes pensées avec celle qui les mettrait en œuvre. Triste privilége en fait. Jamais avant elle n’avait
trouvé candidat plus sordide bien que nos séances n’avaient rien du SM partagé par nombreux et nombreuses dans les soirées glauques. De toute façon maîtresse n’avait rien de semblable à tout ce
qu’elle paraissait si ce n’est dans la clairvoyance, l’intelligence, le jeu et la beauté bien sur. C’est la gorge sèche que je me remémorais ses instants. Et son viol aussi... Son film du Mexique
ne me quittait pas. C’était une horreur… La première fois que je l’ai vu et que je lui ai parlé... Les révélations... Son domaine… sa personnalité incroyable… son jeu, sa tromperie, son rire,
toujours… je souriais bêtement de songer à tout ça…
Comment me trouvais-je à ce point là proche d’elle et de la treille même de ses pensées les plus introverties que
cela interdise toute amitié ? Comment pouvions-nous avoir partagé autant sans jamais nous aimer ? Des jumeaux ? ou Abel et Caïn. Nous appartenions à une sphère inconnue liés à
l’intérieur en dehors de tout champ humain. Cela se tramait dans l’espace. Un lieu contigu pour l’amour absolu et la haine la plus profonde. Unis dans le noir et les éclats de lumière. La haine
c’était elle parfois…
La voiture stoppa net. Cette fois ce n’était pas pour me donner à boire car le moteur s’arrêta. Sorti du coffre
abasourdi (j’avais du faire plus de 2000 km brinquebalé en tout sens) j’eu à peine le temps de contempler le domaine (une espèce de vieux château italien dont les tours sont en ruine) et de
constater le soleil couchant qu’un bandeau me priva de voir la suite où, marches descendues quatre à quatre, j’allais brûler en enfer.
Je fus délié et mis sur une chaise.
Débuta alors avec une musique légère un dîner surprenant où je n’entendais que les chuchotis des convives qui
mangeaient avec moi. J’avais toujours les yeux bandés. Parfois maîtresse élevait la voix pour le service. Mais jamais pour autre chose. L’heure était grave et ce n’était pas la symphonie N3
Benerice de Heandel qui pouvait alléger l’ambiance lourde. Il y avait au moins 4 personnes attablées et deux pour le service, à moins que ceux qui mangeaient servaient aussi. J’entendais un
chuchotement roque
vers maîtresse, que je savais en face de moi, et devinais que c’était la grosse
qui l’accompagnait. J’ai entendu un autre homme une seule fois. Et j’ai senti un parfum féminin très doux d’une
autre qui me passait les plats. Je prenais ce repas comme une eucharistie et me goinfrait sans plus de manière (ce qui amusait maîtresse qui chuchotait et faisait rire les deux femmes auprès
d’elle). Oui, il y avait bien deux femmes. Le repas fini je fus amené encore plus bas dans le domaine. Le bandeau me fut enlevé. J’étais dans un sous sol au parterre boueux. Maîtresse se tenait
avec la grosse et m’ordonna de me déshabiller immédiatement alors qu’elles remonteraient. Il n’y avait rien dans cette pièce et il faisait une température plutôt bonne. Même si je tremblais de
tout mes os, tout ceci concourait à me redonner confiance : Et si finalement c’était vrai et qu’elle n’allait pas me tuer ce soir ? J’étais entre deux eaux. Sur le pont que
j’avais échafaudé. Je voulais lui plaire. Oui, tellement. C’était le moment. Mais j’avais peur de souffrir. Je voulais lui plaire. Lui rendre tout ce qu’elle m’avait donné. Ce que j’avais abusé
d’elle à Sanguinet, mon Dieu. Merci déesse. Je voulais tout lui donner. Au centuple. Je rentrais dans un état second et vêtais enfin mes pensées et mon âme des habits du Personnage avec un grand
P. Le martyre aux arènes. Je voulais tout pour elle. Tout pour lui faire ce plaisir inégalable. Tout jusqu’à… Tout ! Je m’agenouillais dans la boue et pleurais. J’attendais juste les lions
de Néron.
Dîtes-moi maîtresse que c’est ridicule. Ces glauques appels du pied (je devrais dire « de la bite ») avec
les pop up montrant une jeune femme visiblement en communication webcam, les seins opulents, le décolleté ample, la minegentiment idiote, les yeux chauds comme de la braise mais éteints d’intelligence… Dîtes-moi que ce n’est pas vrai, qu’aucun homme ne peut marcher. Même le
dernier des derniers.
Le message vendeur plus haut « tu veux discuter avec Laura ? ». D’ici je vois la prochaine page
arborant un splendide logo carte bleue pour les glands. OK je ne suis pas finaud mais il y a des limites. Où a-t-on vu des culs en libre service pour n’importe quel vieux vicelard ?
Dîtes-moi que la ficelle est trop grosse ! Que pour faire payer un mec à un service webcam-les-gros-seins-dispos on ne puisse se contenter d’user de si puériles ficelles outrageantes pour la
gente masculine. Dîtes-moi que ce n’est pas possible pour un mec d’avaler une telle salade sans ne voir le stratagème pour lui chopper du pognon derrière.
Dîtes-le moi. Que les hommes ne sont pas si stupides que ça ? mais... vous ne dîtes rien...
La voiture garée, je vous ai extirpé par les cheveux en vous faisant tomber de la portière par terre comme je le
ferai d’un gros sac de course. Vous n’étiez qu’un gros sac de merde ! J’aurai tellement voulu y croire. Mais j’étais trop faible pour m’incarner dans un sordide personnage que mon éducation
empêchait. Je le regrettais mais je voulais aller au-delà de moi-même. Je défaillais à l’idée de vous conter ma faiblesse. Putain, j’en avais marre et je me suis décidé à vous traîner par les
cheveux, vos pieds traînant dans le sable jusqu’à la porte.
J’imagine que c’est ce à quoi vous aviez assisté en 2009 au Mexique quand dans le film que vous m’aviez envoyé la
jeune femme se faisait mener au pal ! La différence c’est que c’était fou la suppliciée, mais que mon chemin des landes ne menait pas à votre fin.
Cet endroit un peu paumé dans les bois à l’avantage de la solitude même s quelques touristes s’égarent par là de
temps en temps. Je vous ai installé sur la table que j’avais préparé de longue date. Vous ai bandé les yeux d’un ruban de soie rouge acheté pour ce soir de fête. J’ai accroché les deux tendeurs à
deux chaises bien calées contre la table en les enroulant autour de la barre en bois qui servait de dossier. A chacun d’eux j’ai joint les pinces que j’ai accroché un à un à vos seins. Les doigts
tremblants et le cœur plein d’envies. Vous grogniez et cela me faisait monter l’excitation. C’est très douloureux, vous me l’aviez initié, merci ! Cette pause invraisemblable de maîtresse
sur la table, les jambes recroquevillées sur la poitrine, les mains, yeux et pieds liés, tenu par les seins par de petits mache-fers qui interdisaient tout mouvement brusques (bien que je savais
votre intention de ne jamais fuir jusqu’à la mort). Et moi derrière, enfin, je vous administrais des lavements dont j’avais le secret. Les premiers litres étaient agrémentés de petites doses de
glycérines afin de bien vous nettoyer le fondement. Vous recrachiez vos boulettes de merde sur la table et parfois, selon les giclées et les poussées anales, vous m’éclaboussiez ainsi qu’un mètre
à l’alentour. Je passais aux choses sérieuses pour un récurage totale. L’anus on ne peut plus gonflé dégueulait ses derniers copeaux fécaux avec un bon litre de vinaigre vieillit dont j’avais
pris soin d’ajouter quelques cuillérées de moutarde forte. Délicieuse façon que vous aviez de vous trémousser entre plaisirs et douleurs.
Maintenant, une dose horrible de kipik vous faisait vous tordre en tout sens. Je me devais de vous livrer à des
sensations plus terribles les unes que les autres. Cet aphrodisiaque anal je l’avais testé à maintes reprises. Un délice quand l’enculage se rapproche. Mais là, je n’en étais pas là et
poursuivais mes injections savantes. Oui, je vous ai administré avec une chronologie rigoureuse les lavements les uns après les autres en prenant la mesure du temps pour que chacun face son effet
dévastateur dans votre cul avant qu’un nouveau lavement à l’eau bouillante vous déboîte les intestins et ne vous fasse hurler et jouir mes doigts en folie dans votre chatte. Dans chaque orifice
s’épanchaient des sensations aussi puissantes que différentes. Je libérais vos seins avec sadisme en tirant sur les tendeurs. Vous vous gondoliez de souffrance, en essayant de ne poussez aucun
cri. Les pinces ne se desserraient pas facilement et d’une violence qui m’étonnait moi-même je tirais d’un coup sec sur les tendeurs pour vous les arracher. Vous laissâtes échapper un
« ah » de surprise et de douleur. Délicieux. Mon cœur battait à tout rompre. Culpabilité et vice. Le
téton droit était enflammé et teinté d’une rougeur extrême. Le gauche, n’en parlons pas, c’était comme si j’avais retiré un bout du capuchon et une ligne ensanglanté parcourait l’auréole. Vous
avez souffert, souffert, souffert !
Ah, je n’y tenais plus, je remplissais ma seringue d’une litre d’eau très chaude (mais pas bouillante, j’ai mon
thermomètre médical et je connais par cœur les sensations – celles supportables – et celle-ci à la limite de faire exploser votre cœur dans une poussée qu’on dirait par analogie
« d’enfantement ») pour vous l’enfourner directement dans l’anus qui avalait en rougissant et fulminant quand il s’agissait de recracher quasi instantanément le chaud liquide. Votre
anus. Ö votre anus maîtresse, comme il va être bon de le défoncer après l’avoir défroncer de dizaines de manières. Je n’avais que faire de rouvrir votre fistule. J’ai joué ainsi une bonne heure
avec votre fondement (bien que cela faisait belle lurette qu’il n’avait plus rien à chier) puis j’ai administré une dose d’extasia dont vous ignoriez même l’existence. La folle course dans votre
cul du liquide blanc vous excita au plus haut point. Alors que d’un trou (bouche) vous finissiez de vomir, de l’autre vous vous ouvriez grand pour que je daigne vous enculer. L’envie vous
carbonisait en plus de tout ce que je vous avait envoyé qui vous cramait aussi. J’ai rapidement fait tomber le pantalon. Passant un mouchoir maladroit sur vos lèvres et le dégueuli autour, j’ai
présenté mon cul pour que vous le nettoyiez. C’est toute malade que vous vous êtes exécuté (je serai certainement moins docile, vous faisiez ça avec tant de facilité). Vous m’avez passé une
langue pour me lustrer le long de la raie du cul. Les poils avec quelques boulettes de papier lotus que vous déglutissiez. Votre large langue me ravissait chaque nervure de mon trou du cul. Vous
enfonciez avec délices. Comme vous léchez bien maîtresse. Je vous ai pris par les cheveux et vous ai écrasé contre mon cul pour vous étouffer .C’est alors que d’un coup, vous poussiez le plus que
vous pouviez sur vos reins. Une vague anale vous déglinguez. Vous essayez d’extirper les restes de vinaigre qui vous brûlait, de kipik et l’extasia qui vous rendait folle d’envie de vous faire
enculer comme une grosse salope. Malgré vous, alors que vous vous étiez « challengé » pour ne poussez aucun cri, vous avez râlé avec force tant la poussée énervé n’en finissait plus et
vous coupait la respiration. Vous poussiez de la pointe de l’anus jusqu’à celles des cheveux. Vous deveniez livide. Au beau milieu de mon cul une giclée de vomi vint gâcher les
ébats.
Je décidais de reprendre les choses en main et de sortir le beau champagne rémois pour, une fois bien agité, le
faire gicler à profusion dans votre fion. Salope ! Vous n’aviez pas fini d’ en dégueuler des litres ! Fou d’excitation je vous ai enculé dans le champagne, l’eau (encore tiède) et tous
les liquides dont je faisais l’inventaire à chaque coup de reins. Montant à quatre pattes autour de votre croupe je vous sodomisais comme un malade. La bite me brûlait et cela affinait mon
inventaire en sachant ce qui me brûlait. Je tirais comme un sauvage sur votre crinière rousse, voyant votre visage blanchâtre et vos lèvres et joues parsemées de vomi. Je vous enculais
enfin ! Enfin ! Je vous enculais comme un animal et vous réduisais le trou du cul en bouilli. Il allait ingérer ma citerne de sperme et le recracher maronnasse. Je vous insultais
l’orgasme venant « sale pute ! mangeuse de merde » et tout y passait dans un délire et un vigueur qui faisait bondir votre dos à chaque fois que mon ventre s’écrasait entre vos
fesses. Tout à coup dans une fureur que je ne saurai expliquer, j’ai saisi par en dessous votre sein à la pointe sanglante pour vous saisir jusqu’à l’arracher puis de la main libre alors que
l’enculage devenait démoniaque je vous ai administré une volée de coups de poings en pleine tête, en passant par-dessous. Vous frappant le nez, la joue, le menton à répétition. Je jouissais dans
une fureur totale et vous pissiez le sang et beugliez de fatigue, de maladie, de coups, de souffrance, de vice. Je giclais et explosais dans une vitesse sans frein au fond de votre rectum
céleste. Un grognement de bête se joignais à vos cris que vous ne pouviez maintenant refréné, la gueule, le sein et le cul démontés !
Elle se tenait là et je la regardais effaré et le palpitant exagérément battant. Là devant moi. Droite dans ses
bottes de cuir. Une jupette violette, un haut de soie bleu clair léger laissant présager la poitrine abondante que je lui savais, le tout recouvert d’un blouson de cuir noir pour se protéger du
vent glacial qui dévalait. Non pas que je ne l’avais jamais vu bien sûr, mais de la sorte accoutrée non. Il devait être 20h et les passants sur le quai du hangar 14 se retournaient négligemment à
peine l’avaient –ils dépassés. Quand elle m’a vu elle s’est approché et je j’ai tôt fait de l’embarquer dans ma 409, les familiarités ça n’a jamais été notre truc surtout pour le type de
familiarité qui l’attendaient. Je me suis garé peu après le rond point dans un coin peu passant. Je lui ai ordonné de passer à l’arrière et je l’ai menotté puis ligoté les jambes. Je devais jouer
le rôle du maître. Même si devant elle je ne me sentais pas capable de grand-chose je voulais surtout lui montrer que je n’étais pas lâche et que, comme convenu l’année dernière, j’allais prendre
un pied sadique à lui faire mal. Je faisais taire mes membres pour que leurs tremblements ne lui soient pas trop apparents. Je maudissais mes membres et ma lâcheté.
Elle est si belle. A 40, à 50 et plus loin que laisse t-elle aux autres ? Les greluches qui font le
trottoir ? Je ne parle pas de celles payées pour, non les autres qui arpentent les rades et cherchent le bon coup pour un soir ou deux. Toutes ces petites pucelles, culs serrés de 16 à 18.
De 26 à 28 post-mariage. De 16 à 48 en fait ! Toutes celles qui aiment se mirer et s’extasier de leurs formes dans leur salle de bain. Ô mais maîtresse Trinity aime se mirer également. Le cul,
les seins, si elle porte l’ensemble toujours aussi bien, et c’est toujours pleine d’admiration pour elle-même qu’elle laisse choir sa chambre aux miroirs. Elle tord le cou aux alouettes. Elle
leur pisse sur la tête. Maîtresse les rides (comme vous détestez ce mot affreux) sur vous sont celles où je vais puiser ma force et mon envie.
Comme le sort est clément avec nous, ne trouvez-vous pas ? Permettant je ne sais quelles folies,
rendez-vous compte ? Voilà que le ciel tombe et qu’une bordée d’étoiles vient vous habiller. La nuit vous fait reine, moi je vous rendrai moins qu'une pute ! C’est parceque le temps nous est
compté qu’on va le sucer jusqu’à la moelle.
Voyant votre cul de déesse. Je me perds à genoux devant les parfait arrondis et la couleur laiteuse, légérement
bronzé teinte Aguascalientes. Ce que je bande en vous voyant offerte. Ce que je vais en abuser ! Que vous êtes belle. Je ne saurai plus vous complimenter. Et puis vous complimenter à quoi
sert ? Vous n’y êtes même pour rien ! Toute la gracieuseté tombe à vos pieds et vous oint. Comme si naturelle la parure dont la nature vous a doté. Etrange nature hypnotique où mon
esprit s’embrume, se perd et fait des nœuds. ****** que vous êtes belle ! La Marie "mère de Dieu" à l’envers de la sainteté et pourtant pleine de grâce.
Marie-salope.
Nous y sommes. Le chalet au milieu des pins à quelques encablures du lac de Sanguinet où notre promesse
maîtresse scellera notre contrat.
Je vous laisse les fesses exposées et les liens bien serrés. Je profite comme le badaud d’un feu d’artifice. Et
mes pensées vont pour vous jusqu’au bouquet final. Et je prépare mes outils. Mes litres. Ma seringue médicale de 2 litres.
Ce soir c’est sodomie et lavements à répétition.
// Le deal
//
Il y a bien 6 mois de cela, me recevant dans votre nouveau quartier du Lubéron nous avons posé les jalons de
notre folie. La votre surtout. Accouplé salement avec la mienne. Etait-ce un age pour mourir ? Je n’en sais rien. Toujours est-il qu’à la tombée de la nuit à la faveur d’un champagne de
fête, Perrier-Jouët, nous apposâmes nos signatures à un contrat secret. Nous nous donnions chacun jusqu’à la mort à l’autre mais pas sans condition. Enfin, de mon côté. Qu’importe de mourir pour
vous maîtresse, vous vouliez follement vivre encore, vivre un peu, vivre au moins, même si mourir à petit feu. N’ayant crainte de mes vices, vous vous donniez sans réelle crainte de toute façon
en sachant mon incapacité à vous assassiner. Nous en avions tellement discuté. Malgré tout ce qui nous séparait, un mur de Berlin, demeurait ce qui nous faisait pleurer ensemble, mur de
Jérusalem.
Ce serait moi le premier qui en ferait à ma guise. Etant entendu que je planifiais avec vous les grandes lignes
de ma mortification, je ne me voyais pas prendre mon tour en second et me relever de l’Hadès !
Tout était écrit là mais laissait libre cours aux fantaisies de chacun. Je craignais votre irrespect à tenir
les engagements de ce contrat moral. Surtout à enfreindre le domaine laissé libre pour vos fantaisies.
Vous m’aviez méchamment trahi déjà.
Vous, vous souhaitiez que je vous tue, tandis que moi
Ce que j'aime cet "encart" explosif
ce haut de page à forte charge émotionnelle et sexuelle
Ce que j'aime...
Etrangement d'ailleurs, et je ne sais s'il y a un lien de cause à effet, mais les visites de mon blog ont explosé
hier
marquant pour cette fin de semaine une erection passable
c'est ce que je retiendrai de ces statistiques
Ce que j'aime exploser tous les odinateurs
à 1 million d'hectars à la ronde
que leurs yeux leurs tombent
et que leurs tombes justement s'ouvrent
sur un paquet de frustrations et d'illusions
comme illusion reine reigne de toute façon
Sur une page pleine elle apparaît et transcende le voyeur
comme moi je me sens petit voyeur devant elle
je comprends les nabots
j'ai conscience de l'être parfois
et combien plus devant les most beautiful cuisines mystérieuses de dame nature
Un nabot est tombé.
C'était moi
Les petits 15 pouces iront se faire voir
trop petits
les 17" passent encore
les 19" impeccables.
Ce que j'aime ce haut de page à forte charge émotionnelle et sexuelle, dis-je,
Ce que j'aime avoir démesurément exposé sa beauté plastique
démesurément exhibé toutes les richesses que recèlent ses courbes ;
ses fesses confusément bandantes ;
ses seins dont la texture laiteuse rendrait fou même un aveugle qui y les effleurerai des doigts,
sa peau même respire la douceur ;
ses cheveux balancés à même les sol et cette position respirent la sodomie,
voyez ce regard,
il rend coupable de viol ou impuissant selon.
Putain ce qu'elle est **** !!!
(et "putain" n'est pas un mot courant chez moi)
Le plus surprenant
Oui, c'est lors du découpage de la photo
je ne pouvais me passer de ses mains, ses doigts
Aucun raccourcis ne me convenait
rien ne saurait manquer pour la magnifier
car sur cette photo elle est ô combien magnifique...
Que serait cette photo sans cette main faussement naïve dans les cheveux ?
"Dévorez-moi, je me découvre *******"
et combien elle additionne à l'érotisme de cette photo avec cette main couchée
ses doigts écartées sur le tapis
cette position, son regard, ses cheveux
elle a autant de grâce dans sa position
que dans les formes qu'elle a, parfaites.
Je voulais un haut de page explosif
et combien cette photo l'est
démesurément agrandi *
pour remplir de sa pleine présence l'écran PC de chaque évaporé
qu'ils saisissent
un brin de maîtresse
qu'elle passe dans leurs respirations maladives et avides de cul
(puisqu'ils sont passés par là "par hasard")
qu'elle leur transperce les narines
et que chacun s'extasie, drogué, et plie du regard
car c'est bien trop pour eux
et pour leurs deserts quotidiens
ils n'avaient encore rien vu de semblable
L est pareille à un mirage dont on ne sait si elle est extraite ou du jardin d'Eden ou des plages de flammes de
Belzébuth
Ce que j'aime voir son corps et sa provoc' trôner à ce haut de page
pour lui faire honneur
pour lancer avec les trompettes et les sept chevaliers de l'apocalypse
le 4éme livre de la reine
quoi de plus nirvanique que maîtresse elle-même ?
A maîtresse Trinity toute la gloire !
* J’aurai mis deux G à
agrandir. Par ignorance… puis par plaisir car le G, je l’aime démesurément éGalement : Aggraver, Garce, Grâce, Grave, Gave que pour les premiers. Son Guttural à multiples significations
étouffées. Et dire que mon nom commence ainsi.
Le G m’a bite.
2 /
Ces nouvelles photos font l'effet sur moi d'un ouragan
un orage
et si je n'ai pas fini de peaufiner le 4éme livre, loin s'en faut,
une série de textes
de pensées
de poèmes
pleuvent sur moi
je les retranscrits jusque tard dans la nuit
jusqu'à ce que ma plume tombe de fatigue
car j'écris beaucoup à la main le soir, dans ma grotte, je suis un ogre
et Mon Dieu
ce que je me sens ******** avec maîtresse
au-delà de tout
et mon coeur ne s'est ni usé
ni n'a jamais forçé
pour extraire un vers à la treille de monâmeenchanté
Dussé-je prendre plaisir à l'indescriptible
Il a plu donc
et nombreux textes ont maculé nombreuses pages
ce que je serai heureux de vous les offrir
comme lit de lilas et d'orties pour vos nuits
voilà
mon coeur chante encore !
il est ravivé à la simple pensée de vous
et de vous imaginer me lire
et d'y trouver plaisir
Voici 4 textes à venir
qui relévent plus de l'écriture automatique (chére aux ecrivains du 19éme)
qu'à mon talent propre ou à autre chose.
Propulsés par l' émotion
et une libération de stéroîdes
proposant selon les instants une vision claire ou trouble.
Limpide parfois.
1er texte
"Cette sueur" (charge sexuelle)
2éme
"Rien de normal"
3éme
"Le trouble"
4éme
"A quoi sert ?"
Et enfin j'ai beaucoup avancé sur une nouvelle intitulée "et si je veux mourir avec elle". Classée dans le "Livre de la Reine IV", et c'est déjà en dire
beaucoup sur le contenu.
Ce post ne servirait pas à grand chose sans reponse à edouardnj (non moins star que maîtresse elle-même (sic)).
Et Julien existe t-il vraiment ? Qui l'a approché, qui l'a entendu pour en témoigner ?
Ai-je un instant douté que maîtresse n'existait pas... telle qu'elle apparaissait ? Suis aveugle ? Ne sais-je pas lire ? Certains post de son blog (dans les premiers) ne m'auraient-ils pas
eclairées sur des facettes masquées de Maîtresse ? Et les derniers évenements ne me renseignent-ils point ? Je ne me porte pas beaucoup de qualité mais la perspicacité, oui. C'est dit !
Enfin Pour répondre à Dominique S (tant que j'y suis).
Je n'ai pas envi de la sauter ! Elle est pêut-être fort belle, je n'en sais rien je ne l'ai pas vu.
Ma queue en intégrale sur le blog pourquoi pas ? Mais je ne réponds pas aux demandes, je fais selon ce que j'ai envi et selon ce que m'inspire le texte associé.
Derniers Commentaires