Ce matin j’ai fait une randonnée. Je sais que c’est un sport de vieux mais que voulez-vous, j’adore les vieux. J’aurais certainement autant appris
à l’incandescente jeunesse jaune et mauve de Charles B. qu’à la tombée grisée de la nuit quand René de C. écrivait ses mémoires TARDIVES. Assurément, maîtresse me pardonne ou me fouette
sèchement pour cause de parjure, moins intéressantes auraient été les nuits pourpres en prison avec Donatien-Alphonse-François de S..
Bref, dans cette randonnée je parlais avec une plus jeune (que moi), une rousse. Mes pensées cavalaient et
bouclaient dans ses cheveux. Je prends surtout garde à ne pas freiner la folie en moi et juxtaposer son image à la votre, maîtresse, noie d’adrénaline mon cervelet prédateur. Monte en moi une irrépressible envie de la fouetter aux ronces et la violer cruellement en lui foutant des orties dans l’anus. C’est un risque que je laisse grandir en moi.
Cavaler comme mes pensées. L’anus tuméfié de Marilyn. Saine Marilyne traitée comme une pute hongroise et assassinée par quelques lavements ignobles.Ô que
c’est bon d’être ignoble. Te prendrais-je par devant d’abord histoire de dérider ton con qui s’ennuie tant qu’il n’en sort aucun enfant ? Où t’exploserai-je l’anus en premier ? Je veux
que tu pleures que tu hurles et que les vieux aux alentours, impuissants, voient ta déchéance et que s’amoncelle l’humiliation sur un tapis verdoyant de douleurs. Et que mes incisives te mordent
les seins. Encore ! Encore ! Petite salope de rousse. Tes gros nichons je vais les vider. Salope !Pute ! Prends ça dans ton cul. Il me
crache sa merde noire sur la queue et je vrombis de plus belle. Et tes bras désarticulés sont sans force face à l’appétit de l’ogre qui te bouffe, t’éperonne et te fait vomir des étrons par la
bouche et par ton sal trouduc'. Une avalanche de foutre te remplit pute !pute !pute ! Comme rouges les coquelicots sur le bas côté et libres.
Je ne vais pas épamprer ma tête de toutes ses impuretés de peur qu’elles ne me fuient à tout jamais. Et que le viol, le meurtre ne s’absentent.
Jolie rousse le jour vient vite où je te choquerai les orifices.
Tout ceci par défaut qu’elle ne me le fasse pas elle-même et me mortifie maronnasse à l’autel des penchants les plus pervers.
Ce que j’aime Analyser la bourgeoise, de mon cerveau.
Ce que j'aime faire transpirer la femelle en mon domaine.
Ce que j'aime mon corps. Mes hanches, mes fesses, ma poitrine et mon visage valent mon esprit.
Ce que j’aime Me photographier pour la branlée des cinglés.
Ce que j’aime Ma culture et mon sens du civisme.
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Ce que j’aime Me photographier pour la branlée des cinglés. Je m’en branle moi-même.
Ce que j’aime Analyser la bourgeoise, de mon cerveau puis de tout ce qui me passe par la tête. WomanAnalyser.
Ce que j’aime Ma culture et mon sens du civisme. Les têtes de litotes. Les châteaux-métaphores. Les oxymorons
mirlitons. Les chapeaux pointus et mon poing dans leurs culs !!!
||| S’il n’en restait plus qu’un je serais celui-la : |||
S’il n’en restait plus qu’un je serais celui qui vous fait rire et hocher de la tête en pensant
« qu’est-ce qu’il est stupide celui-la parfois ».
S’il n’en restait plus qu’un je serais votre ass-eater au
réveil.
S’il n’en restait plus qu’un je serais celui qui comprend vos mots derrière vos phrases.
S’il n’en restait plus qu’un je serais celui, proche, sincèrement proche.
S’il n’en restait plus qu’un je serais le guitariste qui beugle ses mélodies d’amour sous votre balcon
de tulipes et bégonias.
S’il n’en restait plus qu’un je serais votre dilaté, votre dilateur, votre outil de sexe à plus d’heure.
S’il n’en restait plus qu’un je serais l’homme couché, l’homme debout, comme il vous plairait.
S’il n’en restait plus qu’un je serais logé (suspendu) et nourri (excrétions) à votre
discrétion.
S’il n’en restait plus qu’un dernier je serais votre analiste backdoor et analyste
blacklist.
S’il n’en restait plus qu’un je serais celui qui vous délogerais de votre tour d’ivoire.
S’il n’en restait plus qu’un je serai…
S’il pouvait y en avoir deux je serais le père de votre enfant.
S’il n'y en avait qu’un à livrer à vos pires excés. A votre perversion la plus crade, la plus totale,
la plus destructrice, je me livrerai comme le Christ au Golgotha.
S’il n’en restait plus qu’un je serais celui qui vous suivrait. Année après année.
S’il n’en restait plus qu’un je serais celui qui vous donne tout, au propre comme au
figuré.
S’il n’en restait plus qu’un je saurais oublier ma vanité, mes prétentions, ma naïveté, ma
pudibonderie, ma stupidité.
S’il n’en restait plus qu’un je serais celui qui vous écrit en long en large et en travers et qui vous
décrit en long en large et en travers.
S’il n’en restait plus qu’un je serais celui au bout du monde
avec ses frasques et sa fantaisie pour vous désarçonner.
S’il n’en restait plus qu’un je saisirai ma meilleure plume pour psalmodier votre corps et votre con, merveilleuse maîtresse bordelaise.
S’il n’en restait plus qu’un j’écrirais un pamphlet sur vos frasques et vos fantaisies. Je vous
chierai dessus en proses sans respect aucun !
S’il n’en restait plus qu’un je serais beau pour *********.
Pour vous s’il n’en restait plus qu’un je serais Julien et rien d'autre.
Ce que j’aime les couilles orgueilleuses en pendentif.
Ce que j’aime faire entrer le pudibond dans l’entonnoir de mes perversions.
Ce que j’aime Piquer les seins précieux des précieuses.
Ce que j’aime les mines déconfites.
Ce que j’aime les confitures de miel dans l’anus.
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Ce que j’aime les chattes cousues. Que ça démange jusqu'à la raie du cul.
Ce que j’aime faire entrer le pudibond dans l’entonnoir de mes perversions et que jamais il ne s’en sorte indemne. Ô ce que c’est bon !
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