Les blogs qui ressemblent à des journaux intimes sont inintéressants et je ne veux pas leur ressembler. Voilà un an, date anniversaire, MON anniversaire par ailleurs, que mon blog existe. J’ai pris le temps de le relire et je le trouve insuffisant.

L’autel pour maîtresse que j’appelle des mes vœux, que j’essaye de construire n’est qu’une ruine.

C’est une ruine que je voudrais château. Je voudrais qu’il soit un digne hommage à maîtresse Trinity.

A sa liberté d’abord. Sa liberté.

Liberté de parole. Liberté de vie.

Je ne suis pas marabouté. Ni agenouillé devant l’écran de mon ordinateur à boire ses puissantes paroles. Non pas du tout, c’est pire que ça ! Je suis piqué !

Je voudrais lui rendre hommage de 1000 façons. De 10.000 même. Oh et puis merde, plus que tout !

Dans la journée une myriade de faits et pensées me ramènent à elle. Des idées intelligentes ou complément absurdes que je mets en pratique. J’ai rejeté un sacré paquet d’articles et j’ai renoncé à quelques exécutions sans grand intérêt au final. Pour d’autres, que je crève de mettre en pratique, j’attends le bon moment. Des articles si forts qu’ils pourraient me faire fermer le blog ou même pire… passer aux actualités.

Fidèle à la demande de maîtresse de mener mon blog comme je l’entends je promets de faire sauter le caisson aux porteurs d’idées vieilles. Il n’y a rien d’autre qui vaille que la fraîcheur et un don, le moins artificiel possible, de mon être en entier.

Mon être tout entier, je m’en viens le dévoiler. Qu’elle me saisisse.

Au bout du bout de ma démarche, il n’y a plus de lecteur pour mon blog qui compte. Vous : rien. Il n’y a plus rien qu’elle.

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