Samedi 22 août 6 22 /08 /Août 10:26
........................................................................


Elle a les pas bleutés et la folie légère

Quant aux vitrines à dévaliser

Elle arme son pas comme une guerrière

Et dévale les trottoirs de la ville.

 

Elle est une volute bleutée

Jetée sur les trottoirs de la ville

Un drap, un rideau qui s’enfuit

Un reste de chaleur en novembre.


La course légère de ses cuisses

Entrouvre un monde ébahi

Une moiteur à boire comme la terre après l’orage a bu

Et des orties pour des orgies.

 

Les affamés dans son sillon se serrent,

Ils la virent riche et légère.



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sources : 1/perso - 2/montage "ils la virent..."

Par julien - Publié dans : ADORATIONS
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Vendredi 21 août 5 21 /08 /Août 16:02

 

.....................................................................................

 

 


"Du ciel les anges se courbent

Pour l’apercevoir et tombent

Dans la mare de ses pas


Quelle âme humaine échapperait à la noyade ?"

 

 

 

 

 

 

 

 

 

sources : 1/google - 2/ perso

 


Par julien - Publié dans : ADORATIONS
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Jeudi 20 août 4 20 /08 /Août 00:24



Elle est une volute bleutée

Jetée sur les trottoirs de la ville

Un drap, un rideau qui s’enfuit

Un reste de chaleur en novembre


La course légère de ses cuisses

Entrouvre un monde ébahi

Une moiteur à boire comme la terre après l’orage a bu

Et des orties pour des orgies



Dans son sillon les yeux écarquillés

Des hommes et des femmes envieux




Elle cloue les âmes affamées

Qui ont leurs vies éventrées

Dans le ventre comme un ulcère

Que la frustration grossie


Ils sont tous malades

Ejaculent et mouillent de la saisir

Ses seins et ses fesses


J’en appelle à la maltraitance

Tant ses ronds de chair offensent

Du ciel les anges se courbent

Pour l’apercevoir et tombent

Dans la mare de ses pas

De ses pieds, ses ronds dans l’eau

Quelle âme humaine échapperait à la noyade ?



Ses seins et fesses

Sont des coquillages

sont des atouts



Elle donne sa vie pour vous tuer, sombres diables !



se croisent

 s’entrouvrent

Des desirs à durcir




 au vent



Ils la virent riche et légère



Et ses pas sont des as

Ses seins et fesses ses atouts

Elle est riche




Les affamés dans son sillon se serrent


Elle a les pas bleutés et la folie légère

Quant aux vitrines à dévaliser

Elle arme son pas comme une guerrière

Et dévale les trottoirs de la ville


Je te aime

Je t’aime



Je veux la défénestrer

Pour le coût que nous coûte la vie

Et tomber dans l’oubli

Dans une grotte finir ma nuit




Lui confier ma vie



Ses fesses

Je veux les crever



Quel honneur maîtresse !

Quel honneur !


Que malgré la douleur vive

De votre poigne dans mes cheveux

M’obligeant la bouche ouverte

J’ai le bonheur effrayant de vous connaître.


Ma langue s’enrubanne

De votre filet de salive

Un met délicieux

Dont l’ignorant oublie

De s’imprégner le palais de sa saveur

J’ai le goût de maîtresse

La profondeur de ce qu’elle est

Se trouve aussi dans sa saveur


Jusqu’à ce que maîtresse

Me crache à la figure

Humiliante et insultante

Mon visage plein de crachats


Elle se retourne et se sert de mon visage pour trône

Glissant allégrement sur la mouille

S’asseyant de tout son poids

Ecrasant mon nez et ma bouche en perte d’oxygénation

Rapidement je suffoque

A peine ai-je le temps de remplir mes poumons d’air

Qu’elle me claque le visage violemment

Et m’écrase la tête contre son tapis de pierres

J’ai manqué à plusieurs reprise de m’évanouir


M’obligeant la bouche ouverte

Comme une bouche d’égout

Qu’un pet fluet sur mes narines

Annonce le flot d’urine

Dans ma bouche, remplie déjà

Que ma gorge docile avale

Avant qu’elle ne défèque horriblement

Mélange ses merdes à la pisse

Avec délectation

Rentrant savamment le plus gros au fond de la gorge

Une fragrance insupportable

Qu’elle badigeonne le palais et l’intérieur de mes joues

Puis noie ma langue de sa merde devenue lambeaux opaques sous ses doigts

S’essuyant ses doigts sur mon visage rouge des suffocations précédentes

humidifiée à la pisse et à la bave

me laissant comme ça

enchaîné par terre

refermant sur elle

la porte sur ma géole






Ma langue s’enrubanne

De votre filet de salive

Un met délicieux

Dont l’ignorant oublie

De s’imprégner le palais de sa saveur

J’ai le goût de maîtresse

La profondeur de ce qu’elle est

Se trouve aussi dans les parfums de sa bouche

de ses lèvres

je me régale et mesure ce privilège

j'ai au fond de ma gorge la fragrance intime du fond de sa gorge

que celui qui peut profondément me comprendre, comprenne !


Brisant mes dernières résistances

Syndrome vers de terre

Vous êtes un amour brillant

Vous êtes....


Meurt sur vos lèvres douces


Que la joie d’être

Dépasse les douloureuses courbatures

Dépasse les perversions dont vous m’affligez


S’exclame dans vos yeux




Se consume dans votre chevelure-incendie


Toute mon âme est mangée

Que reste t-il de moi ?

De tout ce que j’ai fait et de tout ce que j’espérais ?

Et ma force auquel je croyais ?

Je meurs dans vos liens

Je suis un reste cadavérique

Je suis un reste de sinistre

Je meurs dans vos liens

Que la mort est douce et lente

Avant que votre grandeur d’âme ne me délivre

Et que tout en moi chante et chavire

Vous dire comme je suis bien à vos pieds jeté

Une flaque, un tapis, un parterre pour votre beauté élevé


la grâce est une ombre

qui longe les pierres

la louve dans ses douves

relève les compteurs de peur


c'est l'effroi d'une mygale

qui court sur le corps

dont on craint la piqure

la douleur brutale puis intraveineuse

chaque seconde durant



A moi votre accueil brodé de noir !


A moi vos yeux, votre bouche vos seins a portée de vue

A moi le scandale d'être esclave nu

mon ombre dans vos pas

est une jouissance rampante


Tout ce qui s'accroche à vous s'en trouve embellit

Un fin parfum à la dérobade

Un string tressé aubade



les marches qui descendent

glaises pour mes pas qui tremblent

je m'enterre dans la nuit




le prochain soleil

à la chaux m'éveille



la paille pour mes fesses

des brindilles enflammées

mes pauvres naseaux enflés

de pisse, de vomit et de merdes séchées



quelle nuit mon soleil

quelle nuit vous m'avez fait passer


votre violence innerve



votre cruauté inerte

dans votre méticulosité

pas d'égard pour mes cris

froide comme une aiguille


les écoutilles sont noyées

dans un bain d’acide citrique

ça y est je vous quitte


je ne sais pas pourquoi

j’ai dépassé ce portail

les pics larges à vos grilles

dissuaderaient l'aventurier


je sus

je pus

je n'en puis plus


Or, platine, Bronze…

Son corps…

Son âme…

Sont siens !


vous êtes un jouet pour elle, que sitôt rougi et chié finira dans sa poubelle


Qui l’a vraiment approché, je vous demande qui ? Vraiment ?


les hauts-fourneaux secrets qui l‘ont fait puis les laminoirs

résonnent dans la chair comme le battant des lourdes cloches d’airain

pour qui de vivant la croiserait


Pour qui de vivant, un océan s’ouvre

Et tout est noyé

Dans sa force et sa beauté


Ô maîtresse

Saurais-je un jour… ?



 

elle semble froide comme de l’acier

et son sourire de marbre glacerait votre impudence

maîtresse Trinity


une mygale ne s’écrase pas

une mygale résiste au feu

à la faim et à la soif

une mygale se carapate comme un éclair

une mygale, vous l’ignoriez ?, pique mortellement

une mygale, pour toute ses qualités, est une reine crainte



vous siphonne et vous réduit en poudre

vous qui n’êtes que massiot plein d’impureté

Isabelle je vous aime







Par julien - Publié dans : ADORATIONS
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Jeudi 20 août 4 20 /08 /Août 00:05
Le message qui suit est à avaler d'un coup.

Sorte de poésie inachevée
car sans fin.

Avalez-là
même sans faim.

Ce que vous y comprendrez, c'est ce qu'il faut y comprendre.

Mêlée à d'autres textes connus
la poésie inachevée n'en a que plus de saveur.

Absolument dédié....
Par julien - Publié dans : CAVE
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Mercredi 19 août 3 19 /08 /Août 11:34
C'est la rentrée.

La pilule dorée ils (re) trouvent mon blog et se croient obligé(e)s soit de me donner des conseils, soit d'esperer un contact par email en passant par le mien en bas de page.

Pour le dernier commentaire posté (qui ressemble à pas mal d'autre):

JE NE ME LASSE PAS DE CREER ET DE PSALMODIER POUR MAÎTRESSE *

C'est qqchose de profond
qui va et vient
c'est une lame de fond
parfois prolifique

Je ne me contente pas de peu
et ne me contenterai pas de peu concernant maîtresse

j'ai des attentes faramineuses et inaccessibles
elles sont cachées dans mes textes
je cherche toujours de l'eau à mon moulin

chaque chose que.... tant que...
cela vient de maîtresse.

* la poésie ininterrompue ou inachevée pour
mercredi minuit.



fruit d'une nuit



Par julien - Publié dans : CAVE
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Mardi 18 août 2 18 /08 /Août 07:55
Ce sont dans les recoins de mon âme les plus sombres perles que j'ai péché.
J'ai péché ma mère.
J'ai psalmodier toute la nuit à propos de maîtresse Trinity.

Cette nuit passée à la bougie jusqu'à en tomber de sommeille, j'ai crevé les cieux et j'y ai vu ses yeux bleus.
J'ai ecrit... et tout est sorti.

Bien sûr il m'a fallut écrire une petite merde comme le poème nase qui précéde.
Après, toute mon inspiration a fondu sur le papier comme à la bougie pour m'éclairer.

Les mots sont tirés, les phrase déliées et à la relecture, tout vous fait honneur : aurais-je réussi quelque chose maîtresse ?

J'étais un ours mal léché.
Je me suis rasé,
j'ai fait quelques clichés
sans importances.
Je me préparais sans y penser à la nuit qui venait.
Une nuit où à un moment jaillerait l'or à la bougie.


Ô maîtresse je vous donne toute ma poésie du soir écoulée sitôt digérée (1).

J'espère que vous trouverez beau cette litanie,
je vous donne tout maîtresse,
comme le soir écoulé déjà
je vous ai tout donné.

Don livresque
où tout vient de vous
et tout repart vers vous.



(1) Mercredi soir minuit.
Par julien - Publié dans : SALLE DES TORTURES
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Mardi 18 août 2 18 /08 /Août 07:45



Hormis en photo

Il ne m’a jamais été donné

De voir votre nudité

 

Ce que j’en vois

Sur le sol allongé

Que vous êtes belle

Que vous êtes belle

Que vous êtes belle

J’en transpire de joie

 

Quoi que vous puissiez me causer

Que votre chatte, votre cœur et vos mains puissent ensembles fomenter

Que vous êtes belle

Que vous êtes belle

Que vous êtes belle

 

Pardonnez si je perds la tête

Mes mots désordonnés

Je pars dans tous les sens

Contemplant vos courbes-guépardes

 

Que vous êtes belle

Que vous êtes belle

Que vous êtes belle

 

 

Par julien - Publié dans : AMOROSA
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Vendredi 14 août 5 14 /08 /Août 16:01
 

TESTUDO

 
 


Templum

 

2 colonnes dressées comme deux jambes interminables

qui rappelleront la reine des lieux

à la manière d’un temple étrusque, une photo de maîtresse en exergue le distingue des autres

L’augure est l’espace où je m’épanche, post après post

 

Aeditui

 

Ce blog, car je ne l’appelle jamais MON blog est un sanctuaire. Un autel où je me couche et considère sa supériorité.

 

J’essaye de le faire vivre avec ce qui se meut en moi. J’oriente toute ma créativité pour l’embellir et faire de ce lieu un parterre digne de maîtresse Trinity. Un lieu où tout est incertain... pour qu'il vive !

 

Change your mind

 

Une paire de grosse figue, un boxer hors norme, une peinture, une poésie, une calligraphie, un endroit glauque, une perversion, une situation dans ma vie me ramènent à vous. Je vous suis infiniment dédié et je m’applique à changer régulièrement d’état d’esprit pour rediger et creer sous un jour nouveau aussi souvent que possible.

 

Pour effleurer du bout des mots votre élégance, votre intelligence et votre beauté.

 



Par julien - Publié dans : JULIEN
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Jeudi 13 août 4 13 /08 /Août 13:46

 

 


le vide qu’elle a connu vous indiffère

et le foyer lumineux

Prenez la toute entière ou de l’approcher, ne tentez

il vous en coûterait plus que de la fierté

 

 

que savez vous de la métallurgie des poudres

ou par mélanges et fusion son alliage prit âme ?

que savez vous de la naissance de sa personne

pensez vous pouvoir la connaître et l’ignorer ?

 

Or, platine, bronze.

 

que savez-vous de ce qui la rend forte vous qui, aveuglé à la lueur d’une faible bougie, ne voyez en elle de prestigieux que sa poitrine et son cul

vous ne voyez ni le plus piquant

ni le plus rond

semblable aux Hittites qui devant les chutes du Niagara pensaient avoir vu le bout du monde et de l’univers,

vous n’avez rien vu, mais déjà cette diiviine vision corne vos paupières

c’en fut trop pour des yeux derrière lesquels ne frémit aucune âme

 

Or, platine, Bronze…

Son corps…

Son âme…

Sont siens !

 

vous êtes un jouet pour elle, que sitôt rougi et chié finira dans sa poubelle

rougi comme vos joues et le sang s’écoulant

chié comme sa merde à manger

 

Qui l’a vraiment approché, je vous demande qui ? Vraiment ?

 

les hauts-fourneaux secrets qui l‘ont fait puis les laminoirs

résonnent dans la chair comme le battant des lourdes cloches d’airain

pour qui de vivant la croiserait

 

Pour qui de vivant, un océan s’ouvre

Et tout est noyé

Dans sa force et sa beauté

 

Ô maîtresse

Saurais-je un jour… ?

 

 


Par julien - Publié dans : ADORATIONS
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Mardi 11 août 2 11 /08 /Août 15:20

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quand mon âme revient à l’essentiel

Elle frémit de vous voir si belle

 

 

 

 


Par julien - Publié dans : AMOROSA
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Dimanche 9 août 7 09 /08 /Août 09:37



Je suis un contre-pied plus qu’un contre sens.

 

Ma réflexion est intellectuelle mais culturellement pauvre. Mais dés lors que l’on touche les sujets du cœur et de l’esprit et que toute vérité est malléable et discutable (non liée à la simple connaissance) le bon sens et la perspicacité sont des atouts maîtres dans mon jeu. Car sur ce qui se passe, m’environnant, dans la vision que j’aie de celui qui me parle, je lierai à ma réflexion discutable les éléments objectifs environnants. Indiscutables ceux-là. Je renverserai la table et celui qui se croit trop intelligent pour qu’on ne le bouscule. Je troublerai l’eau claire qui repaît celui qui, sûre de lui, se blase même de parler à des indigènes si stupides. Je transformerai son eau en blanc vinaigre et sa chaise, que son cul bien assis cimente, en Twin Tower New York USA.

 

Vous le savez, vous qui me lisez, et pour ceux qui pensaient bien me connaître, que je reste suffisamment objectif pour ne pas jouer les faux modestes (cela me ressemble peu) et ne me reconnaître que des défauts.

 

Voilà où je veux en venir : l’intelligence de maîtresse.

 

Que je la trouve profonde et fine. Il ne m’étonnerait pas qu’elle fût isolée et que rares fussent ses amis ou même copains dans sa scolarité. Mais c’est un ressenti qui n’engage que moi.

 

Je la trouve tellement perspicace (étant conscient qu’il y a tellement plus encore en elle). Et derrière quelques boutades diablement efficace ! A la portée de tous : il suffit de la lire, elle et ses idées, et sa pensée s’en trouvera déliée.

 

Que celui qui me lise comprenne que dés le premier message, mon engagement avec maîtresse trinity tenait en sa capacité à transcender sa liberté. A la prendre contre elle.

Elle le fait solo girl comme personne.

 

Maîtresse… Diable… Que j’aimerai vous sonder profondément !




Par julien - Publié dans : アナル拷問
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Jeudi 6 août 4 06 /08 /Août 08:54

 

 

Ah Bordeaux et bordeluches en cette période  du 1er au 15 aout, absents…


Seule période où l’on puisse garer sa voiture au centre (voire Gambetta, grands hommes) sans jouer des coudes. Il n’y a plus que des vieilles et des moutards beuglants dans les rues, les bordelais ont déserté la ville pour la plage et la montagne.


Je me demandais en garant ma voiture quelle serait ma réaction si je croisais maîtresse Trinity dans une parfumerie ou dans la rue sainte Catherine (qu’elle doit arpenter de temps en temps) ?


Oui, car d’abord pour faire ses emplettes je l’imagine seule. Exit Basile and co. Et puis maîtresse aime la solitude pour ceux qui l’ignorent.


Quelle serait ma réaction de la voir dans son chatoyant ensemble noir ? Ou le rouge (quoiqu’il fasse trop pluvieux ces temps-ci) ? Monter comme une biche sur ses talons hauts alors que siége une démone sur ces pics. Déambuler telle une mannequin et lécher les vitrines.


Si je la croisais ici, place Tourny, du haut de ses flammèches rousses, je serais un minable. Un lamentable.


Oui mais je la croiserais.... Enfin seuls. Une rencontre parfaite où le hasard a sorti son poker d’as et me l’a donné. La chance irrésistible. Une envie irrépressible de lui sauter dessus. Première solution : Jadis comme le troupeau de fans en furie auprès d’un artiste prêt à lui arracher un bout de vêtement (comme les badauds au passage de jésus christ espéraient un lambeaux de tunique). Je serais sa Magdalena, sa pute des grands jours et sa servante… mais je lui arracherais tout ce que je peux trouver d’elle. Quitte à finir au commissariat me faire rosser (ici ou ailleurs qu’importe). Je mangerais jusqu’à son string en folie car je serais fou. Bien sûr j’aurais pris des coups MAIS CONTENT !


Ou bien, deuxième solution, j’attenterais à sa vie. Comme un ouragan je me jetterais sur elle avec ce que je trouverais et la frapperais dangereusement au visage. Je n’aurais aucune autre raison que d'éxécuter le culte suprême. Les fans les plus débiles (et donc les plus aboutis) ne tueraient-elles pas leurs stars ? C’est le vœu pieux des plus accros d’entres eux : TUER LEUR STAR ! Pourquoi pas moi dans un axer de folie ? Et de nouveau au commissariat on éplucherait les pages de mon blog et on trouverait celui-ci, message prémonitoire, et … puis quoi encore ?


Ou bien encore, troisième solution, je lui propose un si basique verre à un bar (pourquoi pas un chocolat dans une chocolaterie ? une glace chez Hagen das ?). Un basique, comme une barrique. Nase. Mais voilà c’est ma troisième option. Une discussion comme jamais et je ne me générais pas pour la déstabiliser car malgré tout… elle me connaît si peu. Mais la déstabiliser est un art donné à peu de gens, je n’en doute pas. En serais-je capable je ne sais ? Il me faudrait être dans une forme éclatante et que le vie me sorte cette fois : les trois bouts d’affilés ! Et ça, je peux y croire ! La déstabiliser d’ailleurs est-ce le bon mot pour décrire des instants illuminés, éclaireurs des profondeurs, abîmes des abysses, quintessences physiques et immatériels… quelque chose comme la magnificence d’un coffre qui s’ouvre… mais n’y voyez là pas trop d’affect, hors sujet, c’est bien plus que ça ! Et de tout cela je ne serais pour rien. Un flot (de paroles) qui deverserait un onguent délicieux pour nos ames.


Et si j’étais accompagné ? Me suinte mon esprit comme un professeur entendrait la question perfide d’un chieur d’élève tout au fond de la classe. Accompagné ? Et bien adieu Virginie  Stéphanie  Coralie Sophie C Isabelle l’occasion serait trop belle…


 

 

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/note/

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Bordeaux en aout, maigre interêt


Par julien - Publié dans : AMOROSA
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