Jeudi 20 août 4 20 /08 /Août 00:24



Elle est une volute bleutée

Jetée sur les trottoirs de la ville

Un drap, un rideau qui s’enfuit

Un reste de chaleur en novembre


La course légère de ses cuisses

Entrouvre un monde ébahi

Une moiteur à boire comme la terre après l’orage a bu

Et des orties pour des orgies



Dans son sillon les yeux écarquillés

Des hommes et des femmes envieux




Elle cloue les âmes affamées

Qui ont leurs vies éventrées

Dans le ventre comme un ulcère

Que la frustration grossie


Ils sont tous malades

Ejaculent et mouillent de la saisir

Ses seins et ses fesses


J’en appelle à la maltraitance

Tant ses ronds de chair offensent

Du ciel les anges se courbent

Pour l’apercevoir et tombent

Dans la mare de ses pas

De ses pieds, ses ronds dans l’eau

Quelle âme humaine échapperait à la noyade ?



Ses seins et fesses

Sont des coquillages

sont des atouts



Elle donne sa vie pour vous tuer, sombres diables !



se croisent

 s’entrouvrent

Des desirs à durcir




 au vent



Ils la virent riche et légère



Et ses pas sont des as

Ses seins et fesses ses atouts

Elle est riche




Les affamés dans son sillon se serrent


Elle a les pas bleutés et la folie légère

Quant aux vitrines à dévaliser

Elle arme son pas comme une guerrière

Et dévale les trottoirs de la ville


Je te aime

Je t’aime



Je veux la défénestrer

Pour le coût que nous coûte la vie

Et tomber dans l’oubli

Dans une grotte finir ma nuit




Lui confier ma vie



Ses fesses

Je veux les crever



Quel honneur maîtresse !

Quel honneur !


Que malgré la douleur vive

De votre poigne dans mes cheveux

M’obligeant la bouche ouverte

J’ai le bonheur effrayant de vous connaître.


Ma langue s’enrubanne

De votre filet de salive

Un met délicieux

Dont l’ignorant oublie

De s’imprégner le palais de sa saveur

J’ai le goût de maîtresse

La profondeur de ce qu’elle est

Se trouve aussi dans sa saveur


Jusqu’à ce que maîtresse

Me crache à la figure

Humiliante et insultante

Mon visage plein de crachats


Elle se retourne et se sert de mon visage pour trône

Glissant allégrement sur la mouille

S’asseyant de tout son poids

Ecrasant mon nez et ma bouche en perte d’oxygénation

Rapidement je suffoque

A peine ai-je le temps de remplir mes poumons d’air

Qu’elle me claque le visage violemment

Et m’écrase la tête contre son tapis de pierres

J’ai manqué à plusieurs reprise de m’évanouir


M’obligeant la bouche ouverte

Comme une bouche d’égout

Qu’un pet fluet sur mes narines

Annonce le flot d’urine

Dans ma bouche, remplie déjà

Que ma gorge docile avale

Avant qu’elle ne défèque horriblement

Mélange ses merdes à la pisse

Avec délectation

Rentrant savamment le plus gros au fond de la gorge

Une fragrance insupportable

Qu’elle badigeonne le palais et l’intérieur de mes joues

Puis noie ma langue de sa merde devenue lambeaux opaques sous ses doigts

S’essuyant ses doigts sur mon visage rouge des suffocations précédentes

humidifiée à la pisse et à la bave

me laissant comme ça

enchaîné par terre

refermant sur elle

la porte sur ma géole






Ma langue s’enrubanne

De votre filet de salive

Un met délicieux

Dont l’ignorant oublie

De s’imprégner le palais de sa saveur

J’ai le goût de maîtresse

La profondeur de ce qu’elle est

Se trouve aussi dans les parfums de sa bouche

de ses lèvres

je me régale et mesure ce privilège

j'ai au fond de ma gorge la fragrance intime du fond de sa gorge

que celui qui peut profondément me comprendre, comprenne !


Brisant mes dernières résistances

Syndrome vers de terre

Vous êtes un amour brillant

Vous êtes....


Meurt sur vos lèvres douces


Que la joie d’être

Dépasse les douloureuses courbatures

Dépasse les perversions dont vous m’affligez


S’exclame dans vos yeux




Se consume dans votre chevelure-incendie


Toute mon âme est mangée

Que reste t-il de moi ?

De tout ce que j’ai fait et de tout ce que j’espérais ?

Et ma force auquel je croyais ?

Je meurs dans vos liens

Je suis un reste cadavérique

Je suis un reste de sinistre

Je meurs dans vos liens

Que la mort est douce et lente

Avant que votre grandeur d’âme ne me délivre

Et que tout en moi chante et chavire

Vous dire comme je suis bien à vos pieds jeté

Une flaque, un tapis, un parterre pour votre beauté élevé


la grâce est une ombre

qui longe les pierres

la louve dans ses douves

relève les compteurs de peur


c'est l'effroi d'une mygale

qui court sur le corps

dont on craint la piqure

la douleur brutale puis intraveineuse

chaque seconde durant



A moi votre accueil brodé de noir !


A moi vos yeux, votre bouche vos seins a portée de vue

A moi le scandale d'être esclave nu

mon ombre dans vos pas

est une jouissance rampante


Tout ce qui s'accroche à vous s'en trouve embellit

Un fin parfum à la dérobade

Un string tressé aubade



les marches qui descendent

glaises pour mes pas qui tremblent

je m'enterre dans la nuit




le prochain soleil

à la chaux m'éveille



la paille pour mes fesses

des brindilles enflammées

mes pauvres naseaux enflés

de pisse, de vomit et de merdes séchées



quelle nuit mon soleil

quelle nuit vous m'avez fait passer


votre violence innerve



votre cruauté inerte

dans votre méticulosité

pas d'égard pour mes cris

froide comme une aiguille


les écoutilles sont noyées

dans un bain d’acide citrique

ça y est je vous quitte


je ne sais pas pourquoi

j’ai dépassé ce portail

les pics larges à vos grilles

dissuaderaient l'aventurier


je sus

je pus

je n'en puis plus


Or, platine, Bronze…

Son corps…

Son âme…

Sont siens !


vous êtes un jouet pour elle, que sitôt rougi et chié finira dans sa poubelle


Qui l’a vraiment approché, je vous demande qui ? Vraiment ?


les hauts-fourneaux secrets qui l‘ont fait puis les laminoirs

résonnent dans la chair comme le battant des lourdes cloches d’airain

pour qui de vivant la croiserait


Pour qui de vivant, un océan s’ouvre

Et tout est noyé

Dans sa force et sa beauté


Ô maîtresse

Saurais-je un jour… ?



 

elle semble froide comme de l’acier

et son sourire de marbre glacerait votre impudence

maîtresse Trinity


une mygale ne s’écrase pas

une mygale résiste au feu

à la faim et à la soif

une mygale se carapate comme un éclair

une mygale, vous l’ignoriez ?, pique mortellement

une mygale, pour toute ses qualités, est une reine crainte



vous siphonne et vous réduit en poudre

vous qui n’êtes que massiot plein d’impureté

Isabelle je vous aime








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