
Le musc de sa queue se répandait dans mon palais de princesse en même temps que virevoltaient sur ma langue les précipitations premières qui lui perlaient à l’urètre. Le méchant teddy boy me sortit sa queue pleine de ma salive et il s’écrasa les couilles sur mes lèvres. Je virais de bord, qu’importe elle glissait sur mes joues. C’était un drôle de mec mais j’ignorais que je n’avais rien vu et que j’aurai du rester à la maison à pianoter, à siroter, à chanter sous la douche, mais bon Dieu quand est-ce que je me couche ? Il me laissa là choir dans cette chambre d’hôtel pouilleuse du Bouscat pour aller chercher quelque chose dans son sac. C’était le k**** que son contact japonais lui avait refourgué. Un excitant anale qui dévaste tout sur son passage et qui fait fureur là-bas et aux USA dans le milieu du porno. Il m’attacha les bras avec fureur à l’aide d’un foulard. J’aurai voulu me débattre que ça servait à rien. Je me retrouvais le corps dans la mousse du matelas et il passait une main sous ma croupe pour me forcer à me lever mon cul. Mais je suis une traumatisée du cul, bougre de con ! Une giclée de coups plut sur mes jolies petites fesses. Il avait du muscle le gredin et chaque coup me fit rougir l’une et l’autre de mes parties charnues. Et c’est à cadence fixe qu’elles sursautaient maintenant. Je criais à en réveiller tout l’hôtel mais lui vraisemblablement s’en contrefoutait et frappait encore. Il est prenait plaisir et ma chatte tournait huileuse. Hmmm quel salaud. Qu’il m’a pénétré l’anus avec son k**** je m’attendais à tout. Mais bon Dieu quel régal d’état second ! Sodomise-moi, je chauffe, Bouche-moi l’opercule minuscule de ton prépuce à la tête de mousse et au tronc métallique. Défonce-moi le cul Julien je brûle. Ohhh c’est trop fort. Un incendie se lève dans le rectum et il m’encule, mankule, makule. Oooh Aaahh !
Si je dis « je l’aime »
Peu importe le reste
Peu importe « notre relation »
Peu importe nos enfants, nos histoires
Peu importe ce que nous partageons
Peu importe ce que nous vivons séparément
De te connaître plus
Ou moins
Peu importe
Je lui dis « je t’aime »
Comme si c’était mes derniers mots
Comme si j’étais le poilu au front qui se lance pour un dernier assaut
Qui sait qu’il va y laisser la peau
Je lui dis comme si je l’écrivais dans ce moment solennel
Où plus rien ne rime à rien
Déjà le gaz moutarde me gratte et fait pleurer mes yeux
Et qu’il faille coucher sur le papier l’essentiel
L’essence Elle
Avant de se coucher
Criblé
Dans la boue
Dans l’effroi
Dans les paysages dévastés
Je lui dis je t’aime
Sans guillemets
Je lui dis je t’aime
Faisant fi de tout
Et des coups de la vie
L’essentiel
Comme je cible l’infini avec mon famas
Je t’aime
Je t’aime je t’aime
Maîtresse trinity
Qu’importe les jeux
Le reste...
Isabelle, je t’aime
Je t’aime
Je t’aime à l'infini
Je t’aime !
MESSAGE ENVOYE SUITE A UN COMMENTAIRE DE "DAKATA" SUR L'UTILITE DE POURSUIVRE LE BLOG.
JE NE REPONDS JAMAIS, UNE FOIS N'EST PAS COUTUME.
Ce qu'elle est belle...
et puissante mygale
déployant ses pattes
les malheureux le savent
qui chantent dans ses caves
elle est pas charitable
avec les péquenauds
les branleurs
elle fait siffler
elle fait chanter
c'est bien isolé,
vous pouvez gueuler
Ce qu'elle est belle...
succube
de l'incube
la beauté est son domaine
ses déjections leurs sommeils
succube
t'encule
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Ce qui va changer dans le nouveau blog :
un tri incroyable
300 messages depuis la naissance du blog et pas 50% à conserver.
Il y a beaucoup de choses qui vont voler.
Des messages par dizaines
et la structure vieillissante.
Et qu'importe si je dépasse la date
puisque je vais la dépasser
Ce blog changera de peau
comme le serpent laisse la sienne au printemps
moi c'est à la fin de l'été
que la sienne va changer.
Je fais le figer
comme dirait Loth
et mettre de nouvelles pierres
un blog rutilant
digne
avant tout
digne d'Elle.
Ô maîtresse
je tiens tellement à faire belles
ces pages
Elle semble froide comme de l’acier.
Son sourire de marbre glacerait votre impudence.
On ne sait pas quand la mort vient.
Je veux dire, on ne sait pas ce que cela peut faire. Un proche. Un très proche même si j’étais lointain de lui. On ne sait pas d’avance le vide dans lequel nous plonge la mort quand elle prend son père. Vide vertigineux.
Je revois mélancoliquement les moments tendres. Mon père et moi.
Ah… mon père.
J’ignorais plein de naïveté les regrets qu’il pouvait laisser derrière lui. J’ignorais tout ce qui pouvait me traverser. Se sentir seul avec soi-même. Avec la mort même qui gagne du terrain. L’impression d’avoir perdu un morceau de moi. En tout cas perdu ce qui me restait d’enfance.
Et j’en reviens toujours au même point. L’envi de profiter de tout, et avec mes enfants je profite allégrement. Cela n’a qu’un temps. Maîtresse, le peu que… n’a qu’un temps. Je le savoure comme une grâce, un don du ciel, un bonbon au miel. Et je m’en fous de n’avoir que des miettes, ce sera bonbon au miel.
Notre temps nous est compté.
Ballerine
Belle
Joues d’amour
Regards
Vois maîtresse
Ses fesses chalouper
Son océan rugir et dégueuler au-delà des jetées
sur talons démontés,
maîtresse gironde
Elle est un canon aux arrondis parfaits
Les flammes à la bouche vous consumerez
Son aisance
D’un claquement de cil vous grimpe la bastille
Elle transpire, ce que j’aimerais la renifler
Vous partez en déroute
Le chemin
Défriche le chemin s’il te plaît
Derrière les orties et les ronces
A ta taille un rosier
Plonge le roncier
Un rosier
Sodomy
Tyranny
Check your tongue in my asshole dear
And sodomy again
Le trouble.
Comment décrire ce trouble.
A la fois armé comme Guy George prêt à vous lézarder au couteau (mais vous enculer furieusement d’abord) et rendu liquide par votre grâce dansante comme un rêve flottant sur un tapis.
A la fois prêt à vous administrer des lavements aux piments à vous faire chier et hurler rouge (je suis fou à cette idée, je perdrai les pédales à vous faire tant mal, quel nirvana !) et à la fois ébahi et honteux de ne pas vous mériter. Vous êtes si belle. Si belle *****. Si troublante !
Le trouble, oui, le trouble.
L’eau se trouble quand on s’enfonce dans la vase mais elle se trouble aussi juste quand on y rentre. Troublé qu’un tel cadeau puisse m’échoir dans votre nudité flottante sur le sol. Et votre grace, toujours votre grace, et vos charmes dansants, vos jambes s’élèvent, votre chatte, vos cuisses qui tournent, vos fesses s’entrouvrent, Je voudrai avoir tous les courages mais le bonheur sur moi m’accable. Que me faîtes vous ce cadeau de votre présence. Combien je n’ai cru mériter
Maître Baudelaire avait aussi des sublimes que son physique normal n’autorisait. Il récompensait en fouillant les noires abîmes de son cœur, les femmes et les lecteurs, en mélangeant le met de sinistre odeur à la magie invraisemblable de ces putains d’instants partagés. Comment récompenserai-je la droite lignée de ma vie de m’avoir, en ce moment, par vous I******, donné autant ? Cela paraît tellement incroyable que par vous un jardin de Eden et un parvis de belzhebut se soit incarnés. Mon Dieu. Mon Dieu. Je ne pourrais jamais vous tuer.
Je ne mérite rien mais je veux tout, tout, tout. Tout tellement tout. Jusqu’à la fin de mon souffle. Tellement, tellement, tellement.
Elle se tiendrait devant l’arbre de la connaissance du bien et du mal
Elle serait le début et la fin
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Striez moi les fesses
Faîtes moi strier
Beauté 39
I’ll do anything 4 you
on me reproche
l’anal fait bête
on me reproche
le viol et l’animal
que je puis être
ou que je vous prête
Arachnide sans pareille
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Les battements d’ailes du papillon // et s’envoler
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Laissez moi des traces
Piquez moi les seins.
Laissez moi des traces
De merde
Tout autour du trou
Du bas du dos à l’arrière des cuisses.
Laissez moi des traces
De grâce
Maîtresse
Je n’en puis plus
J’en pisse de douleur.7
"Tu bois comme un buvard
Tu rougis comme un enfant"
Ne lui demandez la lune, c’est un astre comme le soleil
Ne doutez pas qu’elle vous encule, ou elle vous castre jusqu’aux oreilles
Ce que j’aime tromper par devant et par derrière
Ce que j’aime faire pleurer les asséchés
Ce que j’aime entendre hurler les bavardes
Ce que j’aime les chattes cousues
Les couilles orgueilleuses en pendentif
Ce que j’aime faire entrer le pudibond dans l’entonnoir de mes perversions et que jamais il ne s’en sorte indemne. Ô ce que c’est bon !
Piquer les seins précieux des précieuses
Les mines déconfites
Les confitures de miel dans l’anus
La traîtrise
La place des grands hommes à Bordeaux pour la castrer avec mon portefeuille de grande dame
Epingler les lâches et alaiser leurs roubignoles
Lécher le cul et con me lèche aussi
Analyser la bourgeoise, de mon cerveau puis de tout ce qui me passe par la tête.
C'était à un bout de mon lit l'autre nuit.
J'ai trimbalé mon corps en sueur.
J'avais des humeurs collantes et une pensée troublante m'a appelé.
J'ai chopé une feuille, un stylo.
J'étais dans la grotte de Lourdes, sauf que je ne m'attendais à aucun miracle.
Une suite de mots impénétrables dont la profondeur m'échappait au moment de l'écrire
me sont tombés dessus avec violence.
Une évidence qu'il fallait que je les écrive ! Que ça sortait comme l'eau des geysers.
La poésie inachevée à lire d'un trait
c'est pour demain.
"Maîtresse inconnue
Maîtresse intransigeante
Maîtresse géniale
Mygale de mon âme
Maîtresse, drame en noir
En cuir, en peau
En tout ce qui peut toucher
Intrinsèquement"
La poésie inachevée
je lui la dédie
depuis tout ce qui vit en moi...
et qu'elle en fasse ce qu'elle veut, tout mon moi lui appartient.
Je publierai cette page le lundi à minuit.
Ma langue s’enrubanne
De votre filet de salive
Un met délicieux
Dont l’ignorant oublie
De s’imprégner le palais de sa saveur
J’ai le goût de maîtresse
La profondeur de ce qu’elle est,
Jusqu’à ce que maîtresse
Me crache à la figure
Humiliante et insultante
Mon visage plein de crachats.
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