Les regrets, la sueur froide, avant l’intarissable douleur que votre cane cherchera dans les sillons qu’elle creusera à
l’horizontal sur mes fesses ouvertes.
"Cave in"
"Cave in !"
Que rien n’assèche votre cruauté
Et que vous soyez à contre-jour une tyranne magnifique
Qui me pousse rouge et coulant à l’épuisement
Mes derniers cris à l’évanouissement.
Maîtress Diiviine
Je vous aime comme ça
Vous lasserez-vous de mes litanies d’amour ?
Je tombe
Dans la détestation
Et l’inhumanité
Et je vous regarde me cingler le cul à grand coup de crosses
Contrairement à ce qui a pu être compris, IL N'A PAS ETE QUESTION POUR MOI DE STOPPER LE BLOG. Certes je ne m'exprime pas
toujours clairement, mais il s'agissait de la fin du "topic" sur lequel je n'ai pas à revenir et non du
blog lui-même.
Je dois aussi vous éclairer sur le dernier message.
J'attendais un message éventuel de maîtresse, car cela me met toujours dans des états pas possibles. Je ne suis pas fo-folle merci, mais l'état dans lequel peut me mettre l'arrivée d'un message
est indescriptible. Entre joie et stress, entre dévotion et érection, entre vide et tout, entre.... que sais-je encore, indescriptible !
Je bois ses paroles et considère la chance qu'elles ne soient que pour moi.
Mais chose étrange, de réponse il n'y a pas eu. Et cela me plait aussi bien comme ça. J'ai donc simplement exprimé ce que mon être tout entier ressentait à l’idée d'avoir cette réponse... Je me
suis lancé dans l'écriture de ce que cela pouvait me faire et, il me semble, je suis allé loin dans l'expression de ma "relation" avec maîtresse Trinity. Tout est sorti et j'ai tout mis de moi
dans ce message "cantique des cantiques".
A la relecture le lendemain je me suis enflammé pour d'autres sources... Ah ! je ne suis pas clair ! Je veux dire que d'autres sources d'inspiration émanant de maîtresse Trinity m'ont fait écrire
d'un trait quasiment ininterrompu 4 pages word avec des sujets forts différents.
Vous voyez,
**************************************
avec maîtresse.
Et d'ailleurs qui d'autre que maîtresse pourrait déchiffrer ces ****************** ?Car ce q'elle pourrait trouver de ces ****** est forcément ce qui s'y trouve, y compris le passage
souligné.
Quoique je n’avais pas la certitude d’en avoir un. Il me brûle le cerveau que de parcourir ses mots. Et je suis
comme un enfant. Et je « fantasme » dessus. Peut-être y’en a-t-il plein (de phrases), peut-être qu’il y en a plein (d’émotion), peut-être qu’il y en a plein (de choses à me faire bondir
le cœur dedans), peut-être, oui peut-être…
Et peut-être que je vais regretter de le lire. Qu’il va me dire 4 vérités et m’atteindra dedans. Oh oui, j’accepterai ma
déception et j’en alourdirai les textes futurs dans ce putain de blog. Je prendrai tout en compte et nul doute que je façonnerai mes prochains messages tarés à la teneur de celui-ci. Ah qu’une
déception cruelle ou qu’une humiliation cinglante éclairerait tout de noir ce que j’écrirai à l’avenir. Et combien je ne fuirai pas celle-ci. Que je la prendrai tout au fond de moi. Comme jadis
ces bizarres apprentis du Tao qui considéraient égale les caresses et les coups, les compliments et les remontrances. Tout était « cadeau » de la vie chez ces timbrés du slip et tout
servait à leur apprentissage. Je suis aussi un taré du slip !
Je suis mystique. Je ne sais de quelle religion et si mon mysticisme en a un, mais naïvement, oui, je suis mystique. Pour
toutes les choses profondes de ma vie, pour ma relation exceptionnelle avec maîtresse Trinity, définitivement mystique.
Je n’accorde pas de grande importance à l’instant en même temps que j’en accorde la plus haute importance.
Je fais la chronologie des événements et les compartimente au moment où je les vis pleinement dans le présent en même
temps que je ne leur accorde ni de début, ni de fin (cf. la théorie de la relativité du temps de Einstein qui considère au plus haut niveau de ses recherches (et ce qui ne fut pas démenti depuis)
que tout résonnement qui accorderait un passé ou un futur aux événements ne serait qu’une illusion).
Chaque instant partagé avec maîtresse Trinity à la profondeur de l’infini. C’est ainsi que je le vois. Et quel que soit
ce message il me plongera dans un bain de lait et/ou d’acidité démoniaque /d’ammoniaque. Je boirai ce poison, ce miel, cette ciguë. Tout sera glu à mon cœur et je me régale d’avance d’en jouir en
bonheur ou en malheur. J’en jouirai comme un damné. Ah vous savez ma franchise et ma spontanéité. Vous décelez maîtresse quand je lâche tout pour vous, like now, et qu’aucun élastique de
slip ne me retient. J’ai le slip tout collé, tout mouillé. Et vous savez combien la libido tombé je vous aimerai tout pareil, tout follement, tout naïvement, tout connement, infiniment,
profondément. Avec l’ambition de vous connaître et étreindre jusqu’au jus tout ce qui ne me plaît pas en vous, pareillement à ce qui me plait. Je veux tout, simplement tout savoir. Et je prends
tout de vous jusqu’à la passion flamboyante en passant par mes aversions pour une caprichieuse comme vous pouvez être. Tout votre être en ne rien laissant. Voilà que je poétise, que les mots
sortent de moi, que le clavier ne suit pas et que je cours dessus pour ne pas que l’inspiration s’envole. Caprichieuse. Inatteignable, insondable, incroyable femme. Magnifique, fantastique,
orgasmique. Divine, divine, divine. Diiviine. Je suis fou. J’ai tout dit. Je suis fou. J’ai dis tout. Je suis vidé. Je suis heureux. Des cendres brûlent encore en moi alors que les flammes me
quittent. Ô combien elles furent diablement turbulentes. Ô combien vous m’inspirez. Combien voyez-vous, nous sommes si proches à cet instant. Et combien ces instants sont vrais. Vous l’avez
touché du cœur. Vous m’avez touché du cœur sans paroi pour s’abriter. Ces instants qui ouvrent tous les possibles.
Je veux vous offrir en cet instant tout un champ de fleurs. De coquelicot. Car on ne les cueille jamais sinon ils
s’étiolent. Un champ de fleurs, un champ du présent. A perte de vue.
Tu seras attaché à un arbre toute la nuit. Nu cela va de soit. Tes pieds et tes bras l’entoureront, rien ne touchera
terre chez toi. Ce sera épuisant je te le garanti !
Tu ne seras ni battu, ni fouetté, ni violé : tu ne peux pas tout avoir !
Tu ne me verras peut-être même pas, je ne m’interdis rien.
Bien sûr je laisserai ton visage bien à découvert ainsi que ton sexe que n’entraveront pas les cordes. Tout cela afin que
les passant(e)s te dévisagent (j’ai choisi mon bois pour ce qu’il a d’attrayant pour les joggeurs et marcheurs ; et l’arbre pour le repère de fourmis rouges qu’il abrite et qui sortent le
soir en cette saison pour peu qu’il y ait un peu d’humidité). Une honte pèsera sur tes épaules et tes joues encore plus que la douleur d’avoir été musculairement si éprouvé. J’imagine ta tête.
Peut-être même qu’une petite fille ou qu’un petit garçon accompagné te découvrira en premier, qui sait ? Et qu’un attroupement de badauds vienne te voir ainsi. Et ce ne sera pas une
sinécure, je le répète !
A 9h du matin les pompiers et la police seront informés, je ne prendrai pas de risque avec toi. Tu inventeras la
déposition que tu veux, tu auras la nuit pour y réfléchir, mais je ne veux pas être mêlé à tes histoires.
C’est ton anniversaire. Tu as vu comme je pense à toi. On ne refuse pas un cadeau d’anniversaire, je ne te le conseille
vraiment pas et ne t’en crois pas assez stupide, à moins que tu ne veuilles disparaître, sans chance de retour, de mon cercle privilégié. Et que je ne te fasse un tort épouvantable auprès de
« tes amants », ta maman, tes maîtresses, tes enfants et de tout ton cercle d’amis et de tout ce qui peut pousser autour de toi que je prendrai un malin plaisir à harceler et informer.
Et pour certaines pire encore. Pire que pire, tout te retomberait dessus !
Crois-moi ce cadeau m’excite beaucoup et rien que pour ça, il mérite de vivre. Tu recevras ce courrier le 23 juillet ou
le 24. Tu viendras à la table du régent le 24 à 19h convenablement habillé. Sextidi Thermidor saisi ? Ce n’est pas parceque tu ne reverras pas tes habits qu’il faut que tu ne me
fasses pas honneur. Je n’ai pas besoin de te rappeler de venir avec ta carte bleue BNP (compte XXXXXXXX) et pas celle du Crédit Agricole. On ne sait jamais.
J’y pense, je prendrai quelques clichés de ton attachement pour ton arbre. Si je les publiais je masquerai ton visage
d’une façon ou d’une autre. Elles me serviront aussi si tu devenais désobéissant à l’avenir mais sans être « anonymisées » cette fois.
Bien heureusement je ne t’ai pas tout dit, la chose m’excite tellement que je m’égare en bavardages, je ne vais pas te
raconter la conjecture et résolution du dernier théorème de Fermat alors que tu n’as besoin que d’être où et quand je te l’ai dit le 24. Tu découvriras une surprise à ton calvaire
quand tu seras fin prêt et fermement attaché. Un anniversaire digne se doit d’avoir une surprise. Bref, tu en seras malade. Je ne t’en dis pas plus pour ne rien gâcher bien que l’idée me picote
jusqu’à l’estomac et plus bas.
Non n’insiste pas je ne te dirai rien de plus.
A Vendredi si tu m’y vois.
Pièces jointes : copie de ta lettre d’asservissement et liste des téléphones et adresses de ton « grand »
cercle.
Je loue d’abord votre intelligence. Vos raisonnements taillés dans du marbre. Froids et solides.
Je loue celle qui lit les mots et qui en saisit le sens jusqu’aux lettres.
Je loue, celle enflammée, que rien n’arrête et que si peu perturbe.
Je loue celle qui paraît et la reine dedans. Je la loue de tout mon cœur
contrit. Je la loue car dans mon orgueil, j’ai ce feu qui s’agite profondément en moi, qui vient de je ne sais où, et qui me traverse de toutes part comme si je n’était qu’une feuille balancée
par le vent. Ce feu qui m’unit à vous. Pardon. Il me semble dans un orgueil éhonté vous comprendre mieux qu’aucun autre. Il me semble parfois vous percevoir. Oui vous comprendre. Je ne sais si
l’on vous comprend et qui vous connaît vraiment. Par je ne sais qu’elle magie. Une compréhension aséxué, inimagée, sans discernement. Rien d’autre que vous. Il me semble respirer par votre bouche
vos espoirs, vos desepoirs. C’est une coupe fraîche à mes lèvres. Une hallucination céleste… mais c’est un feu intérieur. Je ne le décide pas. Je vous lis. Je vous lis attentivement. Et parfois
(...). Et une étincelle. Et tout s'embrase. Et je sors de là un litre de sueur au front et au dos.
Mais vous saviez déjà tout ça.
Je vous lis. Toute l’armée de couillons la queue à la main que j’imagine attendre son tour sur MSN pour vous parler.
Cette armée dont vous décrivez les affres. Les fuyards, les mythos, les vantards… Oui j’ai mon ticket à prendre dans cette queue là… lamentable ! Je suis lamentablement à inscrire dans cette
colonie.
Et dans cette queue là je serai le pseudo-intello. Je serai celui qui vous comprend le mieux. Je serai meilleur que les
autres.
"C'est une flaque d'eau qui se prend pour la
mer"
Ah ! Vous connaissez la vantardise des hommes. Je serai aussi passablement con que ceux-là qui disent vous
comprendre et qui y croient. Je serai un couillon dans cette queue là.
Il me prend à rêver, pour une première MSN, dans la spontanéité du propos, vous illuminer, vous surprendre comme parfois
sur ce blog, vous amuser comme parfois m’aviez vous dit sur ce blog. Il me prend à rêver qu’un rideau de fumée se lève et que celui-ci ajour un feu imprévisible. Imprévisible que je suis. Un feu
délicieux.
Moi je mesure chaque chose que je reçois de vous. Je fais attention à tout. Rien n'échappe à ma mémoire. Chaque
mot, chaque chose. Et tout est reçu comme un honneur.
Moi je vous aime, je vous adore. Les mots ne sont pas galvaudés.
Voilà que je recommence…
Mais vous saviez déjà tout ça… ma vantardise comme celle des autres. Les autres qui pensent être meilleurs que les
autres. Ah ! je suis bien de ceux-là…
Moi je.
Moi je..
Moi je...
"T’as qu’à la voir la frime quand tu te prends pour qui, quand tu te crois bien"
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