Mardi 30 mars 2 30 /03 /Mars 00:44
Ainsi Lady a, quoi qu'elle en dise, tirée sa révérence. On peut la voir "adieux publiques" seulement, je la vois comme "disparition" tout court. Mais dans sa disparition je ne vois pas de point de non-retour car je pense qu'elle reviendra.

Quoi qu'il en soit si je me contente de regarder aujourd'hui l'oeuvre de Lady Trinity sur la toile, elle se réduit d'elle-même à un morceau de visage et un lugubre décor sur un "site payant" où n'apparait rien de sa magnificence ni de ses écrits. "Mon sadisme, ma différence."
reste les seules pensées argumentées (et quelle pensées !) de Ladysabelle.(1)

Donc, je me retrouve face à moi-même avec mon blog libre à parler de 1000 sujets et en photographier, en écrire exclusivement sur Lady. Seule un peu le Robinson de la toile, c'est finalement face à elle-même que je me retrouve. Et si mes genoux vont vers ma tâche en tremblant, j'en mesure le privilége (sied bien à Lady) et mes yeux se mouillent. Gare à tes couilles et à ta nouille, tu en fais trop !

Oui mais je la fais rire... et j'ose, se réjouir même de me revoir...

"Immondice irrespectueux
Tes flèches fendent jusqu'à mon coeur
mais comment t'aimer mieux
pour ton cul, je ne vois que le pieux !" (2)

Revenons à ma moutonnade. Il s'avère donc que, même si ce n'est que l'articulation de ma pensée tantôt jouissive, tantôt malade, j'ai la lourde tâche de... Enfin, vous avez compris mon émois et ma joie !

La fabuleuse ouverture est donc
non seulement l'immense chantier (à creuser l'argile pour en trouver l'or)
mais celle, à venir, que je n'aurai cesse
de conter, l'amoureuse ouverture de ses fesses.

Ô maîtresse.



Scan0004


(1) Qui paraît-il ne s'appelerai pas comme ça ?!?
(2) de vine
(3) Mon portait réalisé sur la place du Tertre l'été dernier.
Par julien - Publié dans : JULIEN
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Lundi 29 mars 1 29 /03 /Mars 01:46
Oui...

Je le chante à cloche-pied comme un fou du village. Comme un connard boiteux. Comme un con heureux...

Je me sens la tâche réalisable, mais je m'en sens indigne. Et si elle plongeait (et souhaitait) l'oubli sur la toile ma mygale ?

O comme un jour nouveau s'est levé et qu'il est beau de sentir un si grand soleil illuminé quelques uns seulement... et faire parti du lot.. Oh ce que je l'aime !

Que celui qui peut comprenne
comme je l'aime.




11072009688.jpg
Par julien - Publié dans : AMOROSA
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Dimanche 28 mars 7 28 /03 /Mars 21:11
Il revient des odeurs comme quand on était enfant quand on se plonge dans l'onde dans la marée de notre enfance. Non pas que j'ai quelque nostalgie, ce n'est vraiment pas mon truc, mais les odeurs dont je parle forment un tout et sont une ouverture vers une sorte de candeur qui permet toutes les audaces depuis son antre et son intimité.
Lady Trinity...
Ce que je veux lui dire...
Combien le silence renouvelle mon inspiration. Une inspiration que je juge équidistante entre elle et le ciel qui coiffe mon cervellet de nabot et de prétentieux d'idées romantiques, poétiques, chevaleresques et approfondies comme je fouillerais un puits sans fond.
Lady Trinity est tout un poéme et ce n'est pas lui faire offense que de reprendre si triviale sentence. Elle est tout un poéme de femme, vibrant. Pour moi, elle annhile toutes références du passé. J'en cherche et j'en ai cherché, des auteurs, des images, des vécus mais aucun ne m'inspire l'exaltation de ce qu'elle est elle au fond.
Le fond, car il s'agit du fond. Insondable bien souvent car je n'ai que quelques bribes d'indices... mais j'y suis attentif et je l'ai exprimé par le passé à tout ce qui peut... passé inaperçu.
Dire que je la ressens n'est pas vanité. Il serait crétin de faire de la modestie à son égard. Voire irrévérentieux.
Bien-sûr elle en raconte... que n'ai-je lu... et bien-sûr elle est plus formidable que ce qu'elle peut en dire. Non pas dans les gros traits de peinture qu'elle nous jetais au visage jadis (au temps où elle fleurissait  son blog) mais au contraire dans la finesse de ses expressions. Je veux dire expression de son intérieur.
Lady Trinity...
Comme je vous aime...
Vous me lisez, vous me comprenez... mais pas encore assez... tellement...

TRINITY.jpg
Par julien - Publié dans : AMOROSA
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Lundi 22 février 1 22 /02 /Fév 13:46

Elle a le coeur prisonnier dans une huître. Ne pensez pas qu'elle y soit pour quelque chose, la vie oui. Le roulement de sa destinée, les maux, les désirs, les trahisons, les aspirations inassouvies ont eu raison de sa candeur d'enfant. Elle s'est arrangée de ces frustrations en même temps que compris la nature humaine. Jeune, dans sa caserne, entre la décontraction des propos les plus machistes et l'ordre et l'obéissance absolue elle a grandit. Ajoutée à sa nature unique, elle s'est propulsée dans la vie avec ce mélange et en advenu un monstre de tendresse derrière une splendide sadique. Elle a grandit les deux pieds en avant.

Et comme un sculpteur achéve son oeuvre de glaise par une fine tige en métal pour soutenir le tout, elle a grandit comme ça.

 

Ne croyez pas un maux de ce qu'elle dit. Elle parle bien plus à ses livres qu'à des esclaves supposés la visitant quotidiennement. Et figurez vous qu'ils lui parlent beaucoup plus ! Les discussions MSN, elle s'en lave les mains mais elle ne refuse pas son billet même si elle s'en cache c'est une pute, mais la plus maligne car ne tronçonne pas son corps pour le vil et le dégoûtant, ni même ne sabre le couillon-maso qui lui coûterait sueur, juste se pare d'habits de folle et vous emmerde tous.

 

C'est un coeur au milieu d'une huître et si lui arrive de s'ouvrir c'est que vous vous êtes dépassé et c'est que vous le méritez. C'est un coeur, une ode à la vie, un monde de frustrations qui a préféré en rire que de s'offrir et souf... C'est un monde qui se regarde et qui s'écoute. Elle me donne le tournis... Je parle comme je parlerai d'un spécimen mais je suis moi même si mal placé. Je perçois la solitude de son âme et perçoit la boue ... Il ne m'a jamais rien intéressé d'autre que de mourir en/pour elle. Il n'y a rien de sexuel car tout est transcendé au-delà de mon existence d'homme. Au-delà... Comment dire ? Un sens orienté à me vie, comme d'autres se donnent au divin, me donner avec desinteressement à la divine.

 

huitre.jpg

Par julien - Publié dans : AMOROSA
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Vendredi 20 novembre 5 20 /11 /Nov 16:23
Je voudrais vivre avec aîles.

Je voudrais îvre avec elle.

Je voudrais...
un monde disparaissant.

mon Dieu, ce qu'elle est belle !
Par julien - Publié dans : AMOROSA
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Vendredi 13 novembre 5 13 /11 /Nov 11:51



Lady Trinity n'a pas la télé
elle a autre chose à faire que de regarder le vide culturel.

Lady Trinity a une belle bibliothèque.

Lady Trinity préfère la tendresse
cela peut sembler étrange pour celui qui se contente de la surface de l'épiderme
pour qui elle n'est qu'un fantasme,
mais il y a un flot qui coule en dessous.

Lady préfère la tendresse signifie
qu'elle préfère la lecture d'un Sade à la vision d'un film au contenu quasi-identique
qu'elle préfère le faible au prétentieux
le classique au rock'n'roll.

Cela signifie, et je le dis maladroitement, pardon,
qu'elle est FEMME VIBRANTE, EMOUVANTE, VIVANTE
au milieu d'autres choses qu'on sait ou qu'on devine, elle est cela aussi.

 

Comment voir insensible celle qui l'est à Flaubert, dîtes-moi ?


Lady Trinity est UNE FEMME ACCOMPLIE.

 


Par julien - Publié dans : AMOROSA
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Mardi 10 novembre 2 10 /11 /Nov 23:02

Je suis un bouche trou pour lady trinity

Je comble même parfois ces moments de solitude

Elle ne voit pas grand monde

Etant donné que pas grand monde ne vaille la peine

Et d’ailleurs il n’est pas donné au premier venu de la saisir

Comprenez que les acceptions du terme sont toutes valables

 

Je suis un bouche trou

Oui, il m’arrive de la faire rire, de la surprendre

Et qu’elle prenne des émotions chez moi

Car lady trinity est une joueuse avant tout

Et elle joue

Parfois au solitaire

 

Nous avons chacun notre perception de la vie

Et du temps qui passe

OK, certains n’en ont pas (sic)

Et Lady nourrit de sa philosophie le vers solitaire qui la ride

D-prime

 

Lady est si belle

Qu’elle ignore combien belle encore elle sera

Et je lui ai déjà dit

Elle l’est plus déjà à 40 qu’à 20

39 pardon, je m’en fous, n’en prenez pas ombrage

vous êtes belle

de 35 à 60 toujours plus belle

ne me traitez pas de cul-cul ou de concon

je le pense profondément

maintenant vous me maudirez peut-être d’avoir entamer ce vil sujet, pardon, je l’utilise bien moins que je n’y pense

mais cela vient de ce que je suis aussi et du fonctionnement de mes pensées

 

Je suis un bouche trou

Oui, il m’arrive de la faire rire, de la surprendre

Mais rarement hélas de l’émerveiller

Tout ce que je fais ici, toutes mes pensées vont vers elle

Au risque de me casser les dents et de franchement l’indisposer (ce qui n’est pas aisé),

Lady trinity pourtant me laisse carte blanche

Elle me donne la liberté que je prends

 

Voyez maîtresse

Le blog perdure

Comme tout pour vous

 

S’il peut n’y en avoir qu’un

Je veux être celui-là

 

Celui qui vous comprenne

Celui qui vous débarrasse de vos habits

Comprenez tous les habits

Celui qui vous prenne

Dans le plus grand dénuement

Plus de Julien pas de ****** non plus

 

« Before you kill me Oh »

Par julien - Publié dans : GRENIER
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Lundi 9 novembre 1 09 /11 /Nov 10:34



Elle dessert le bien, le mâle

Dans le même plat

A la même table

 

En costard cravate saillant, attablez à la Louis Philippe,  vous brillez

La bougie au milieu, votre Wicca, et la servante avec son beau petit cul

et sa tenue

de soubrette

qui vous arrose les paupiettes

de sauce à l’oignon

vous feraient prendre pour le roi

Maîtresse vous regarde et mange avec vous

Elle se joue de vous

Le roi des cons

 

La bougie et vous

Sont deux corps gras

Et l’une avant l’autre à la tête enflammée

Et l’une avant l’autre finira la tête en bas

Embarrassée

En bas de soie

Pauvre petit animal

Tu vas avoir mal à l’anal

votre cravate autour du cou

votre chemise ciselée

Pardonnez l’indélicatesse

De maîtresse

Vous avez pris une veste

Votre wicca et tout un lot de bougies enflammées

Qu’elle va te foutre dans le cul et bien profond !

Pauvre con !

 

Par julien - Publié dans : TE ENCULO - Communauté : SECRETS INTIMES SEXE SM EXHIB
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Dimanche 8 novembre 7 08 /11 /Nov 08:34


Comme je suis d’humeur guillerette et, il faut bien le dire prolifique ces derniers temps, j’ai décidé d’ouvrir mon blog en le rendant un peu plus lisible et ouvert. Ainsi dés la page première il n’y aura plus 4 seulement mais les 9 derniers messages du blog seront affichées. Enfin, pour les projets à venir, si je devais publier les écrits que l’on m’a envoyé, c’est que pour certains j’en aurais l’autorisation. Comprenne qui pourra.

Aussi, les paroles de maîtresse Trinity poursuivent leurs chemins. Je veux dire, pour ceux qui m’ont lu, que je travaille sérieusement à ce projet et qu’il verra le jour prochainement. Ce sera lumineux, comme les perles que maîtresse assène et donne. Elle donne aux pourceaux que nous sommes des tresors, il suffit juste d’y prêter attention. C’est fou comme certaines paroles sont justes et tranchantes. Maîtresse, je vous ferait honneur en vous citant. Vous écrivez si bien… Je me sens dépourvu de talent et de culture face à vous. Je me sens dépourvu de courage tout court votre ombre sur moi !

Enfin, un projet ragoutant de visages de petites putes à montrer et une autre bravoure, deux photos (qui ne sont pas de moi mais me flashent) à révéler comme une terreur obscène qui me prend aux trippes et m’humilie. De rage et de souffrance, me rappelent…

Je ne suis rien qu’un petit laidron libidineux qui écrit à la conquête de sa maîtresse comme d’autres veulent violer un château avec un pistolet à eau. Je suis ridicule maîtresse mais je vous aime. Je vous aime. Au-delà de celle qui paraît dans l’ombre. Je vous aime d’un amour transcendant.

Par julien - Publié dans : CAVE
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Samedi 7 novembre 6 07 /11 /Nov 13:05



Hymne à la beauté

Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l'abîme,
Ô Beauté ! ton regard, infernal et divin,
Verse confusément le bienfait et le crime,
Et l'on peut pour cela te comparer au vin.

Tu contiens dans ton oeil le couchant et l'aurore ;
Tu répands des parfums comme un soir orageux ;
Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore
Qui font le héros lâche et l'enfant courageux.

Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres ?
Le Destin charmé suit tes jupons comme un chien ;
Tu sèmes au hasard la joie et les désastres,
Et tu gouvernes tout et ne réponds de rien.

Tu marches sur des morts, Beauté, dont tu te moques ;
De tes bijoux l'Horreur n'est pas le moins charmant,
Et le Meurtre, parmi tes plus chères breloques,
Sur ton ventre orgueilleux danse amoureusement.

L'éphémère ébloui vole vers toi, chandelle,
Crépite, flambe et dit : Bénissons ce flambeau !
L'amoureux pantelant incliné sur sa belle
A l'air d'un moribond caressant son tombeau.

Que tu viennes du ciel ou de l'enfer, qu'importe,
Ô Beauté ! monstre énorme, effrayant, ingénu !
Si ton oeil, ton souris, ton pied, m'ouvrent la porte
D'un Infini que j'aime et n'ai jamais connu ?

De Satan ou de Dieu, qu'importe ? Ange ou Sirène,
Qu'importe, si tu rends, - fée aux yeux de velours,
Rythme, parfum, lueur, ô mon unique reine ! -
L'univers moins hideux et les instants moins lourds ?

 Baudelaire in "les fleurs du mal"


Par julien - Publié dans : ADORATIONS
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Vendredi 6 novembre 5 06 /11 /Nov 11:06



Drôle de songe cette nuit où j'étais invité dans la demeure de maîtresse.

J’ai rêvé d’abord que maîtresse ne s’appelait pas ******** mais Sandrine. Sandrine était mon prénom féminin fétiche lors de mon adolescence car toutes celles que je voulais pour moi s’appelaient comme ça. Je me suis maintes fois cassé les dents sur des Sandrine. Serais-ce donc un reste de vapeur adolescente qui flottait sur mon rêve ?

Bref, dans un granbd salon aux pierres apparentes, j’étais au milieu d’une petite dizaine de convives que maîtresse avait invité à festoyer. Tous étaient plus petits que moi (je ne mesure que 1.66m) et il n’y avait qu’une femme invitée. Maîtresse avait un visage légèrement différent de celui que je lui connais mais, dans mon rêve, cela ne me marquait pas plus que ça. Maîtresse n’a t-elle qu’un visage au fond ?

L’assemblée était réunie autour d’une grande table. Elle me rappelait celle que j’avais dans mon salon familial géant de La Graulet près de Bergerac (cette fois durant mon enfance). Et tout le monde se tut quand maîtresse prit la parole. Même si elle le faisait avec autorité, je ne la sentais pas à l’aise et détendue et j’imaginais que c’était la raison pour laquelle il n’y avait aucun homme fort (grand et costaud) pour la réception de ce soir. Elle se sentait, seule, incapable de gérer des balaises en rut me disais-je.

Je ne me souviens pas ce que maîtresse a dit lors. Je me souviens que l’assemblée était détendue, qu’il n’y avait pas de crainte ni de chaleur sexuelle qui exhalait du lieu. Tout semblait plat et normal alors que d'être là, pour moi, tenait de l'exceptionnel !

J’ai un nouveau trou dans mon rêve avant que je ne me retrouve dans l’effroyable salle de torture. Tout était bien trop calme dans ce rêve. Je me retrouve alors avec une femme (une autre que celle qui était avec nous à table (sic)) accrochée à une roue miniature de moulin. Et comme une roue de moulin, celle-ci passait dans l’eau un tiers du temps à mesure qu’on l’a faisait tourner. Un large bac personnifiait la rivière où la malheureuse tournait. La malheureuse était nue bien-sur et devait avoir tourné un moment tant tout en elle, au moment de son passage devant moi à l’air libre, ruisselait de l'eau glacée du bac. Elle avait les cheveux longs et pleurait. Je ne sais qui tournait la roue. Je me souviens très clairement que, malgré ce qui se passait là, point d’horreur sur les visages, point de terreur dans la moiteur de la salle. La chose se faisait de manière tout à fait apaisée. Et, même si tout le monde mirait attentivement ce qui se déroulait, l’ambiance n’était ni à la folle excitation, ni à une peur démesurée. J’ajoute même que c'était pareil pour la suppliciée même si elle chouinait. Bref, « qu’il fait bon de festoyer et se faire torturer chez maîtresse Trinity ! » semble être le « message » de ce rêve singulier...

Enfin, pour être complet, j’ajoute qu’avant de m’endormir j’ai lu « hymne à la beauté » dans les fleurs du mal. Cela n’est évidemment pas étranger au rêve que je viens de vous conter. Car, reposée après cette lecture, je réfléchissais à la splendeur et aux justes mots posés par Baudelaire. Cette dichotomie qu’il fait tout au long de son poème. Il ne sépare pas constamment le bien du mal comme il serait trop facile, mais le « trou du noir du néant ». Avec majesté et avec, ce que je ressens basculer en lui entre admiration pour « la » femme et une misogynie patente, il psalmodie comme un moribond ferait a l’heure dernière de la faux.

 

Comment ignorer ses passages ?

« Le Destin charmé suit tes jupons comme un chien ;
Tu sèmes au hasard la joie et les désastres,
Et tu gouvernes tout et ne réponds de rien. »

 

« De Satan ou de Dieu, qu'importe ? Ange ou Sirène,
Qu'importe »

« Et le Meurtre, parmi tes plus chères breloques,
Sur ton ventre orgueilleux danse amoureusement. »

Et ne pas y voir l'influence sur mon songe ?

 


Par julien - Publié dans : AMOROSA - Communauté : SECRETS INTIMES SEXE SM EXHIB
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Mercredi 4 novembre 3 04 /11 /Nov 13:51

Les liens du mal

 



Prenez-moi !


Je me donne à vous comme un homme que l’on va fusiller,

Qu’il soit celui des « francs-tireurs »

Ou bien juif Ukrainien que l’envahisseur par choix va ou bien flinguer ou bien immoler.


Prenez-moi maîtresse.

Votre perversion est un foyer lumineux qui grandit en moi.

Vous me l’avez instillée.

Je me sens larve aux pieds de vos désirs les plus ragoûtants et les plus insultants !


Prenez-moi maîtresse,

Je ne rêve que d’être à vous définitivement.


Brûlez mes ailes !

Attachez moi pour me briser mes résistances.

Tour à tour camisole de force pour me brimer ou cordes serrées pour me torturer.

Faîtes clinquer votre briquet

Et passez moi les couilles à la flamme insoutenable !!!

Je m’agite et je hurle

Ne m’entendez-vous pas ?


Je suis votre chose que vous retournez

Vos doigts sans gant partent se souiller à l’intérieur de mon cul.


Je suis comme puceau de ce côté-là

Bien-sur… god…

Mais votre main entière qui me rentre et m’encule

C’est une soumission sans précèdent

Une humiliation dans la douleur et dans les larmes

Et faîtes gicler cette merde qui vous coule aux poignets

Vous êtes si bonne maîtresse que vos allers et venus sont des crépitements insensés où se mêle un plaisir innéfable avec la sensation d’être ouvert par un bazooka !!!


Prenez-moi !

Qu’importe le reste !

Foutez-moi dans votre cave encore et encore

Que j’y dorme

Que je m’y ennuis

Que j’y craigne ce qui grouille la nuit et qui monte sur mon corps nu gelé

Que je respire la moisissure de vos bois et l’odeur dégueulasse de votre paille où tout un peuple d'hommes et de femmes soumis ont fini par y chier et pisser.


J’y sens même le pestilentiel de la gerbe que vous avez provoquée à un irréductible souillon que vous aviez bourré à la folie avec vos comparses. J’imagine sans le voir votre rire et votre entonnoir poussé au fond du gosier du malheureux. Et vos litres d’alcool mélangés. Et la pisse et le sperme d'esclave à avaler aussi. Vous ne reculez devant rien, surtout devant ceux qui vous narguent je le sais bien.


Cette paille sur laquelle mes pieds et mains attachés à de lourdes chaînes doivent trouver position pour dormir


Prenez-moi,

Je suis à bout !


Sortez votre fouet bull-whip si il vous plaît.

Celui pour votre cheval. Je le crains tellement que j'en pisserai sous moi de vous voir avec.

La symphonie claquante de votre cuir sur moi

Fera l’effet d’un serpent qui s’enroule autour de mes fesses et me pique et me brûle.

Fouettez-moi jusqu’à mon épuisement :

Devant, sur la poitrine et le sexe

J’en suis affolé !

Et derrière mon dos, mes cuisses et mon cul martyrisé.

Putain...

Selon votre desir,

Que je m’en évanouisse de douleur

Et selon votre excitation

Que vous me pissiez sur la gueule.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

photos persos- dévotion totale

 

Par julien - Publié dans : TE ENCULO
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Julien

 

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