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Si Lady mélodiait à mes oreilles
Si elle dansait avec grace tout autour de moi
Que ses bras et mouvements de jambes prenaient de plus en plus d’ampleur
Elle serait « maximum joy » de Frankie goes to Hollywood.
Si elle était enfermée dans ma tête
entourée d’un bandeau noir qui me rend aveugle et impuissant
L’imaginant fourbir ses armes pour me torturer, le dos glacé
Elle serait « tue moi (j’en ai rien à foutre) » de Victoria Tibblin.
Si elle était bénie par tous les shems les djins les anges (qui sont aussi démons quand déchus)
Emprunte du sceau de l’éternité
Et que je devais crever seul et chauve et que mes pensées la rejoignaient
elle serait « quand une femme » de Gérard Manset.
Si je la voyais, belle,
La démarche d’une pin-up
Que jalouses les plus bourgeoises et les mieux faîtes des femmes de sa ville
Elle serait « parisienne walking » de Gary Moore… sans mot dire.
Si elle était simplement bandante
Je la vois monter les marches et je me sens fait d’un mélange de béton coulé et de feuille de papier
Que ma fragilité puisse se briser comme le doigt d’un guitariste sur ses cordes qui pleurent
Elle serait « je vous aime » de Jean Ferrat.
Elle serait Camillo dans sa splendeur
Et dans l’instant grave.
Dans le couloir de la mort qui méne à ses supplices.
Lady Lady…
« Closest thing to crazy “
m’écharppe le coeur
je deviens liquide
je ne suis qu’un garçon, celui jeune qui dévalait les rues de Bergerac
le cœur plein
depuis la vie m’a durcit et a étranglé cette candeur
je chausse du 40 alors que du 29 devrait…
Dans cette vie
On fini froids et secs
Sépulcres blanchis.
On a la bonté à l’économie
D’une pensée de gauche
On s’affranchit du méchant
A peu de frais
Ce n’est pas nous le méchant !
Le miroir nous renvoit cette image difforme
Ce n’est pas nous le difforme...
A marcher sur les mains qui se tendent
C’est notre destinée que l’on fend.
Quitte à perdre mon âme
Je serai marchand d’armes
en Abyssinie
De toute maniére j’ai jamais rien compris
à ce qu’il écrivait.
Chez Lady l’ambivalence est
Comme ses deux merveilleux seins
Libres comme l’air
Se balançant comme s’ils étaient à son cou accrochés
Et qu’ils risquaient d’y tomber ;
L’ambivalence d’une vie sociale à gauche de base
A celle d’un rejet en bloc, nazie de bloc
Pour le charme d’avilir jusqu’au meurtre s’il lui passait par l’envie
Mais elle ne s’y résoudrait
Pas plus qu’une vie sociale de nase.
Lady c’est l’autarcie
C’est le rêve nazillon
C’est la culture dans le cul
C’est le raffinement dans le cul
C’est la sainte nitouche qui t’étouffe et te tue sans pitié
C’est les coups de pieds dans tes roustons
Et c’est la caresse au poéte, au génie, s’il en est.
Lady
C’est un monde de contraste
C’est les doigts qui te chatouillent la prostate
C’est son rire qui illumine, là, à l’instant,
C’est la surprise dans ses si beaux yeux
C’est la symphonie d’une vie
C’est une multitude d’envies
Lady, qui l’a connu
C’est un trésor enfoui
C’est un charme fou
C’est une rousseur
C’est le parfum qui me fait perdre pied
Parfum de sa chair
De ses cheveux sur mon visage
Lady, c’est un feu
Chouf le feu !
J’ai un mot en 12 lettres
Brimades.
Moi, en 6
Esclave.
J’ai un drap pour border mes nuits.
Moi, j’ai la peau lisse.
Je flirt avec les cariboux tout seul dans la boue.
Moi je chante avec les poux et les hiboux.
J’aime voir les filles souffrir
Moi je dis femme.
Je m’identifie à leur calvaire. Oh comme j’aimerai le vivre à leur place mais n’avoir rien d’un homme.
Moi je suis sodhomme.
Je voudrais chanter, je voudrais crier, je voudrais bondir. C’est ça jouir !
Moi c’est hurler et bondir de douleur que je te souhaite.
J’ai le cerveau comme en pente douce. Je crois que j’ai les neuronnes qui se font la malle.
Vacances j’oublie tout, rien à faire du tout, je m’envoie en l’air ça c’est super…
Est-ce qu’elle est rousse vraiment ? Elle a la toison pelé comme une tuile.
Moi je dis saute la petite fille mon garçon.
Est-ce qu’un jour je la verrai sa chatte ?
Compte la dessus et bois de la mouille.
J’ai un mot en 24 lettres
Anticonsti…
Moi en 3
JTK
Je t’encule ?
Oui c’est ça.
Fais-moi mal. Enfile-moi le god le plus gros. Fais moi hurler par le trou du cul !
Haaaaaaaannn
Est-ce que ma solitude me renvoit ?
Elle te plonge dans un bain de rien. Toi c’est rien et je t’aime.
Je t’aime, je t’aime, je t’aime…
Oui je t’aime !
Que reste t-il de cet amour trou blanc ?
Evaporé ? Souvenirs d’absolu, d’inassouvi
De bateau qu’on écope
Quand s’enfonce dans les O
Quand mon âme feule
Semble se décoller de ma chair
Quand JE se désincarne
Que reste t-il de ma vie au grenier ?
Ses rancunes ? Ses coups de poignards ?
Ses amours divins et ceux, trahis ?
Que reste –t-il de ma peau
De mes doigts piégés dans les rouages
De ma chair tendrement prisonniére ?
Que reste t-il de cette pisse d’égo-centrisme ?
De ses combats vains qu’on aurait dit vitaux…
De ses têtes de veaux
De ses têtes de chiennes
De cet amour lady, de cette rencontre, de ma pisse dans mon froque
Lady
Un point dans l’unvivers
que tout attire
et qui broie
trou noir.
Elle qui s’ignore à ce point précieuse
Qui s’égosille de mes fables
Qui tour à tour m’aime et qui s’enrage contre moi
Lady
Nous verrons nous
Un jour, je ne suis pas préssé
…demain
devrais-je me disloquer et crever
sans
…
mais je m’en fous, je n’ai pas de queue, je n’ai qu’un cœur à vos pieds
daignez-vous vous baisser ?
Trou blanc (J)
Mes nuits refletent vos longues lunes
Avec qui vous vous couchez seule et nue
Quel amour ?
Quel moiteur ?
Quel drame ?
Quelle chaleur ?
Quelle folie ?
Quelle faim ?
Quels yeux ?
Quels vœux ?
Quels péchés ?
Quelles sciences ?
Quelles contrées ?
Quelles beautées ?
Bordent vos nuits
Lady
Fouets
Feouts
Fœtus
Sous ses coups de fouets
Redeviendrais-je petit garçon
Recroquevillé pour me protéger ?
Trinity Art
La ride au front
Elle maudit Chronos et Cupidon
Qui en de contrées lointaines
Et de temps et d’effets différents
L’accuse de lui avoir volé sa jeunesse.
La ride au front
Elle se sent comme une abeille
L’âme, le visage rayé
bien qu’elle ne fut jamais volage
d’aucun voilage ne s’est privée
d’aucune conquête
Dusse t-elle y perdre son cul
la rousse taille mannequin enflammait
les beaux et les gredins
elle les foutait à genoux
jouait sa Salomé et en a rendu fou une armée de bourdons.
Cette femme est un diamant, oui
Mais sublime et étincellante propriété :
C’est un diamant rayé !
Comme la poutre souffre et s’ouvre
Ou comme le marbre le plus dur se fend
Et tout devient plus beau.
Elle se fend d’une ride nouvelle
Et d’un haussement d’épaules devant qui la reflète,
Elle se fend entre deux, de fesses bien faîtes
D’un cœur épaissit pat l’absurdi de la vie
Mais ce qu’elle est belle ! Bon Dieu !
Elle peut détester ce qui l’a fait reine bourdonnante
Moi
Je la prends,
Avez-vous vu ses courbes Ducon ?
Aujourd’hui plus qu’hier
Et demain plus qu’aujourd’hui
Comme un hymne à la beauté
Innéfaçable
Un hymne à la gracilité
A la gourmandise
A l’intelligence.
Comme si ce qui se fond dedans apparâit dehors
Ou ce qui se fond dehors apparaît dedans.
Je vous aime
Je vous adore
Je vous ignore encore, n’en connaît que les courbes dedans/dehors
mais invariablement
les effluves de votre aura
j’en suis gaga Lady.
Une brume grise vaporise un reste de nuit dans le jour
Une lune blanche, étanche s’étend comme un œil brouillé
Une caravelle citadelle et des princes de cheval
Passent dans l’ombre
Au-dessus des eaux.
Elle franchirait le nombre
S’il fallait, en son milieu.
Je l’ai vu du Taillan se tailler la part du lion.
Combien un regard entre deux cils
Fut couperet au point de trancher, mon Louis,
Et à tancer l’homme secondaire,
L’homme inerte au passage de la majestée secréte.
L’ai-je vu ou bien n’était ce qu’un rêve si belle.
Le canon à abattre les bastilles,
Le Clermont-Tonerre sur le péron qui claque sa cape
Sans mot dire aux justiciables
Qui se mettent à table.
J’ai vu sa révolution, elle n’avait pas de nom.
Lady, lady, lady
Qu’il en soit ainsi.
J'écris pisse de chat
j'écris si maladroit mais
Je vous aime inconditionnel.
Je pleure
De ne connaître même pas son odeur
elle n’avait pas de nom.
L’herbe dans la rosée est d’un fade lunaire…
La douleur est sourde
Mais combien dans les membres
En écho se fait entendre.
J.
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