Bon sang tu n’es bon à rien, lingue-là te dis-je, lingue-là fort !
Laisse tes mains ici, tu n’as pas besoin de tes doigts. Occupe-toi de sortir ta langue et de lécher.
Oh putain, tu me fais chier !
Tiens voilà… barbouille-toi de sa mouille… Tiens… Non pas les mains je t’ai dit ! Tu es vraiment un
incapable il a fallut te foutre la gueule dedans pour que tu la lingues comme il faut. Je peux te dire que tu vas me le payer et trâiner tes chaînes toute la soirée… Tu sais ce que ça
veut dire ?
Quoi « Hmm Hmm » tu n’arrives pas à parler la bouche pleine ? Mais si tu savais ce qui
t’attendais tu y arriverais certainement pour y échapper. Mal éduqué comme toi… Rho c’est bien simple, plus je te parle plus j’ai envie de te corriger.
Ah ! Tu aimais faire ton sado mon salo… et bien tu vas payer cher ce soir. Je peux te dire que tu vas
t’en souvenir toute ta vie et de ta fierté je trairai des larmes !
En lisant nos belles lettres (je dis « belles lettres » car ceux qui les ont écrites les ont placé au
patrimoine de notre culture et de notre langue – si bien que leurs expressions fleurissent ça et là sur nos langues sans que nous nous en apercevions et pareillement pour leurs idées
[donc ELLES SONT à travers ce que j’écris] combien les lumineux frappent encore et toujours nos esprits et.. cautionnent et habillent de drôles d’alibis pour de drôles d’interprétation
pour servir de cause – dekoikikoz) je me figurais exercer mon « culte » de Lady Trinity que par le biais de poémes et de textes ficellés le mieux que je puisse et non
plus accompagné, pour majorité, de pensées volatiles, volages, vite envoyées et, pour la plupart, insignifiantes. En un mot, je prévoyais que le blog-autel ici se transforme en monstre
de poésie. Et uniquement !
Donner une teinte intellectuelle au blog, mais je ne suis pas un intelligent ! Cette pensée me frappa
d’autant qu’une marée sur moi a abreuvé mon encrier de textes interessants. Voilà longtemps que je n’avais pas trouvé mélodie séduisante pour encenser lady et pour lui exprimer ce qui
bat dans mon interieur. Cette marée vient d’ailleurs mouiller les rivages du blog dans quelques jours.
Mais la chose est vaine. Ce blog, bien que je ne me sente pas en être le possésseur (je ne dis jamais MON blog, c’est
une propriété partagé. Qui me comprenne me suive.) vit de ce que je suis. Et ce que j’écris niais ou insignifiant, beau ou arride ne représente que moi en fait et tous les brillants cailloux que m’inspirent lady pour lui constituer un autel.
Je n’ai pas décidé de me risquer à faire autre chose que ce que je suis : niais, insignifiant, beau et arride selon
les instants. Et les messages, si je veux les écrire mieux basculeront parfois dans la légereté et la folie qui fait ma passion pour Lady.
Depuis plus de 2 ans maintenant. 2 ans n’était-elle pas la durée supposée sur un post de lady sur
son feu blog du trajet (vie et mort) avec la relation d’un soumis ? Et bien je suis heureux d’aller plus loin. Mais je vais beaucoup plus loin Lady. Je
veux toujours aller beaucoup plus loin avec vous. Toujours. C’est pour cela d’ailleurs que je change l’habillage du blog et que, c’est le théme de ce message, que j’éventualiser d’en
changer la direction. Je me remettrai toujours en cause. Où je mets ma fantaisie il y a un mouvement spontanné et jamais je ne ferai du surplace. Ce serait vous faire offense vous qui
poussez comme une gallica sur un monde purin. Vous, Lady, purine de la vie dans ses aspects insaisissables. Vous, la femme la plus libre et la plus troublante, insaisissable !
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