Jeudi 30 décembre 4 30 /12 /Déc 15:48


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Et vos lueurs sont le reflet

De l’enfer où mon cœur se plaît !

 

Et se multiplier comme l’hydre de Lerne.

 

Ce que dit à l’un : Sépulture !

Dit à l’autre : vie et splendeur !


Déesse dans l’air répandue,

Flamme dans notre souterrain !

 

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Volupté, torture des âmes !

 

Partout l’homme subit la terreur du mystère,

Et ne regarde en haut qu’avec un œil tremblant.

 

Et ton corps se penche et s’allonge

Comme un fin vaisseau


Un spectre fait de grâce et de splendeur

Ont éclaboussé l’air de lueur et de sang

 

Elle, beauté parfaite

 

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Qui mettait à ses pieds le genre humain vaincu

 

O serments ! O parfums ! O baisers infinis !

 

Tout de toi m’est plaisir morbide ou pétulant.

 

Tu marches sur des morts, beauté, dont tu te moques

 

Ange ou Sirène

Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres ?

 

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comete.jpg

 

Et grandir librement dans ses terribles jeux

 

Fortes tresses, soyez la houle qui m’enlève !

 

 

 

 

 

Un malheureux ensorcelé

Dans ses tâtonnements futiles

 

Du fond de son réduit sablonneux, le grillon.

 

 

 

 

 

 

 

 

- source remodelé:

baudelaire---diane-de-selliers.jpg

 


Par Julien - Publié dans : ADORATIONS - Communauté : L'art de s'offrir
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Jeudi 30 décembre 4 30 /12 /Déc 15:41

 

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O muse de mon cœur, amante des palais,


L’œil clair et plein de feu

Qui tors paisiblement dans une pose étrange


Tes appas façonnés aux bouches des Titans !

 

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Une senteur montait, sauvage et fauve

De ton corps si beau,


Comme une étoile vacillante,

Miroiter ta peau !


Tes yeux où rien ne se révèle

De doux ni d’amer

 

J’eusse aimé voir son corps fleurir avec son âme

Deviner si son cœur couve une sombre flamme

 

Et l’harmonie est trop exquise,

Qui gouverne tout son beau corps

 

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Buveur du sang du monde

 

Même quand elle marche on croirait qu’elle danse

 

Valse mélancolique et langoureux vertige !

 

Comme un soleil couchant dans un ciel ténébreux

 

 

Une miraculeuse aurore

 

Reine victorieuse et féconde en (c)rachats

 

Ta tête a les attitudes

De l’énigme et du secret


Tes sourcils méchants

Te donnent un air étrange

 

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Ta rage mystérieuse

Ton rire moqueur

 

Et son cœur, ravagé par les flammes

 

Panis salsus, mollis esca,

 

« Moi je veux régner par l’effroi ! »

 


Par Julien - Publié dans : ADORATIONS - Communauté : SECRETS INTIMES SEXE SM EXHIB
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Lundi 27 décembre 1 27 /12 /Déc 19:56

 

 

 

Je n’aime pas ce nom « maîtresse Trinity » à maîtresse je lui préfère d’abord Lady. Lady est un terme anoblie. Je n’y vois rien de guindé sinon, son regard sur haut-talons monté. Lady est un mélioratif dans ma bouche. Mais je n’aime pas Trinity. D’abord c’est impersonnel et comment puis-je adorer l’impersonnel ? Son prénom connu donnerait un autre con-tenu à mon adoration. Une puissance même et une contrition nouvelle à mon âme. Aujourd’hui c’est son corps, ses écrit, son enveloppe, et tout ce que je peux percevoir de personnel justement que j’adore. Son regard. Son mouvement. Les formes. Les attitudes. Les postures. Le sourire doux où le piment au bord des lèvres. Les écartèlements et les flexions. En fait je retrouve dans l’adoration de ses photos le même parcours qui chemine dans mes profondeurs pour faire corps à la peinture que je mire. Le portrait de Lady et ses traits me rentrent, me font des ridules autour de mon cœur. Des rigoles s’écoulent de mon âme prostré.


Evidemment, dans le mot « Trinity » il faudrait y voir l’anthem « trinité ». En même temps, sans doute, qu’un anathème. Chose intéressante et sujet à prendre et reprendre et retourner dans tous les sens, intarissable. Il pourrait aussi être un « pseudo » lié à l’histoire de Lady. Mais l’impersonnalité est un tenace et profond inaccomplissement. 

 

TRINITABLO.jpg

Par Julien - Publié dans : ADORATIONS - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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Dimanche 26 décembre 7 26 /12 /Déc 15:04

 

Je la vois comme un désert de gentillesse, une aridité de générosité. Hormis pour les perversités à ses heures. Tantôt aigri des coups bas de la vie, tantôt épanouie avec son enfant. Mais nouée par ses chemins, il faut bien que vieillesse se passe.

C’est un tabou que l’âge. Le sien, son temps.

C’est une crainte que de se voir flétrir.

Putain ! Partout où je la vois embellir et gagner en profondeur (même si bibliquement pas louable) elle y voit l’empreinte de l’enlaidissement. Un trou noir dans lequel elle glisse fatalement. Moi je vous trouve tellement plus belle aujourd’hui qu’hier. En fait ce n’est pas tant que je compare à celle d’avant (car d’abord je n’ai pas tant d’élément que ça pour songer à la comparaison) mais c’est la femme d’aujourd’hui qui enchante mon cœur et fait chanter mon âme. C’est devant celle d’aujourd’hui que je courbe l’échine et admire les feux de sa magnificence. Que je loue le ciel, la terre et tous les éléments qu’elle puisse être aussi belle dehors comme dedans. Oh, j’entends les rabat-joies me rappeler une vérité cynique, « …mais tu ne la connais pas ! ». Certes, de la manière dont vous sondez les gens et en tiriez si peu de leur valeur intrinsèque, je ne la connais pas. Pas du tout même ! Mais dans les égouts de mon âme, dans le bateau ivre dont j’ai cassé le gouvernail, dans la cité obscur de mon amour transcendant où j’ai caillassé les flics amurés JE LA CONNAIS. Il faudra vous y faire, et je le dis aussi à celle qui me lit, JE LA CONNAIS MIEUX QUE VOUS NE POUVEZ L’IMAGINER. Et de l’encenser et de la magnifier, oh oui, toujours ! Mais d’oubliez de la brûler et de la désincarner, ça non, jamais ! C’est un fruit délicieux merveilleux dont je n’oublie ni la peau indigeste, ni les pépins qui coincent au gosier pour en psalmodier la valeur, le goût, car c’est bien pour ça qu’elle est au monde. Depuis quand se soucie t-on de sa peau ou de son noyau pour décrire un fruit ?

 

lady-desert.jpg

Par Julien - Publié dans : ADORATIONS
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Vendredi 10 décembre 5 10 /12 /Déc 19:19

3

 

On le savait déjà.


Il y a l’hiver et le temps des cerises.

Les parents qui vont et leurs enfants qui viennent…

Il y a les quarks d et les quarks u et les Strange.

Il y a la beauté et ce qui l’entoure comme un feuillage autour des coquelicots.

Il y a les jours saints et ceux de nos défaites.

Il y a la cyprine et les larmes, même si les deux peuvent coaguler.

Il y a les compteurs et l’envie qui nous ronge de les trouer.

Il y a Justine et il y a le malheur.

La commune et Thiers.

 

Et puis, il y a plus proches.

 

Maîtresse Trinity, la libido et moi sont trois.

Aucun n’a besoin de l’autre pour exister.

Nulle obligation que l’un améne à l’autre même si deux,

                                                                      même si trois peuvent     

coaguler.

 

 

 



                 

Par Julien - Publié dans : AMOROSA - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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Lundi 6 décembre 1 06 /12 /Déc 11:46

 

ONGLE

DISGRACIEUX

GOUTTE

VISAGE

ETRANGE

GALAXIE

 

 

PITIE

TAPINENT

PLAISIR

PERVERSES

PORCS

PAVOISENT

 

 

FONT LA ROUE

FAIT  LA MOUE

 

 

AUGUSTE

AGRAFES

VINAIGRE


 

POCHES PLEINES

POCHES DES PORCS

 

 

FACE AUX PRETENTIEUX, ELLE EST MAGNIFIQUE

FACE AU RONFLANT, ELLE, ELLE EST SUBLIME !

 

 

Par Julien - Publié dans : AMOROSA - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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Dimanche 5 décembre 7 05 /12 /Déc 10:58

  maitresse-trinity-bordeaux-la-femme-la-plus-libre-et-le-plu.JPG  

 

 

Elle etronne les prétentieux.

 

Passe à l’ongle de l’index les pourtours de la bouche anoblie, là où dépasse en petits pâtés, sa merde sèche et les filets disgracieux qui s’étirent comme une étoile et qui goutte au visage formant une étrange galaxie. Non qu’elle aime tâter du fécal, elle déteste. Mais se réjouit toujours de sa tache quand c’est pour humilier ceux qui jouent les grands de ce monde.

 

Elle a plus de pitié pour ceux qui tapinent (par plaisir), les larves perverses et les porcs de ce monde que pour ces anges d’Hermès qui pavoisent et lui font la roue. Là elle fait la moue et prépare un sort bien méprisable à ces augustes ! Des agrafes dans la bite, des lavements au vinaigre (que je lui suggère d’usiter vertement), des coups dans le bide et dans les couilles (type katami / sac de frappe), et tout plein de réjouissances… c’est noël avant l’heure pour tous ces cons ! Elle étronne !  Ouvre ta bouche ducon !

 

Elle étronne son monde depuis qu’elle est née. Elle est maîtresse, elle est déesse mais croyez-vous qu’elle ne se fouette pas les sens de temps en temps ? Cruauté, immoralité. Les poches pleines d’oseille puisé dans les poches des porcs. Ça n’est pas donné à n’importe qui de se monter un empir et de vivre de la sorte sans penser à sa rémission. Mais, Elle n’a aucune prêtresse taillée à sa démesure et pas un saint ne saurait entendre le commencement de ses pêchés. Alors elle se conte à elle-même les péchés qu’elle a fait et... ceux qu’elle aimerait bien. Oh oui ! Puis d’un revers de manche elle s’absout. Et elle en rit et glace les murs qui réverbèrent son rire. Maîtresse est omnisciente… et de toute façon pour ce qu’on peut la comprendre… OK sa fille mais ça n’est pas pareil ! Alors elle étronne et elle s’absout. Elle étronne, s’absout. A bout, elle boit. Par plaisir et amplifier son rire. Elle étronne, s'absout et boit. Et dans tous les ordres et même à rebours. Elle s'absout. Et qu’est-ce qu’elle peut rire. Rire d'elle et des autres. « Ouvre ta bouche de merde ! ».

 

Ainsi va maîtresse et nul ne peut se comparer à elle. C’est un point sur un cercle et quel que soit le chemin emprunté il revient toujours vers elle. Indivisible. Omnisciente. Et magnifique.

 


Par Julien - Publié dans : ADORATIONS - Communauté : SECRETS INTIMES SEXE SM EXHIB
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Samedi 4 décembre 6 04 /12 /Déc 01:47

S'il y a un amour vivant

épuré

Maîtresse Trinity

de ses mains froides

et de son coeur satanique bouillant

en ait la roide représentante.

 

 

Bien-sûr  j'enjolive des romans

que je puise à ses lévres

Bien-sûr  sa salive secréte

de quoi perforer mon cul de ses gants

Bien-sûr  je suis semblable à un jésuite

implorant et esperant

que sa lumiére brulante me baigne

et des baignes, des baignes comme ça lui chante...

 


 

reine.jpg

Par Julien - Publié dans : AMOROSA - Communauté : Domination et amour...
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Vendredi 3 décembre 5 03 /12 /Déc 09:20

maitresse-trinity-on-the-snow.JPG

Par Julien - Publié dans : JULIEN
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Vendredi 26 novembre 5 26 /11 /Nov 08:05

J'ajoute que quand j'écris

géométriquement

ou bien l'aphorisme suivant

dans mes derniers messages

ils appartiennent exactement à l'idée que je me fais de l'autel que je dresse pour maîtresse.

 

Je continuerai de pondre comme cela

et d'autre façon.

 

Je fais comme il me plait

au temps qu'il me plait

tant que je fais bien

j'honore maîtresse.

 

 

et je n'ai pas fini de l'honorer de milles façons.

 

 

I2

Par Julien - Publié dans : CAVE - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
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Vendredi 26 novembre 5 26 /11 /Nov 07:45

J'ai reçu un email hier : "pourquoi n'écrivais-je plus ?"

 

Mais si j'écris et je fais mieux que cela.

 

Lundi en me rendant à Mollat je suis entré par la voie artistique et j'ai parcouru 1/2 heure les livres recueillant les oeuvres remarquables des peintres "impressionnistes". Ce faisant, parcourant les tableaux, des idées me vinrent et je commençais à psalmodier vers maîtresse. Des idées crues, des douceurs, et des terribles humiliations, un don de moi total, etc. jaillirent de mes pensées informes. Le soir pour le coucher sur le papier, ne me revient que des bribes.

 

Mais cependant, j'ai un premier jet valable à mettre en ligne.

 

En racontant Mollat je voulais dire que tous les chemins me ménent à Lady Trinity. Pour cela ou pour autre chose, j'ai toujours des lumières... Il m'arrive même de percevoir avec assurance un trait qui appartient à l'intime de maîtresse Trinity.

 

Ensuite j'ai collecté des textes plus ou moins valables et surtout des idées folles à la limite de la réalisation, à mettre en pratique.

 

...et puis, si j'ai eu quelques réticences, j'essaye aujourd'hui de faire mon culte avec tous les outils de l'Internet. Le beau, le grand, le fort, tout ce qui peut honorer Lady, je voeux le mettre en oeuvre.

 

Si je repose mon blog, je ne repose pas ma tête et elle est en constante réflexion. Et j'aime le temps du repos que j'ai déjà pratiqué dans les années écoulées. Il ne sert à rien de publier, pour publier. Même si j'écris un texte nase "je dois le sentir" pour le sortir. Je ne m'inscrirais pas dans l'agitation ou la précipitation propre à cette décennie. Ceci étant dit, je ne me camouflerais pas non plus dans une hibernation ou une passivité indigne.

 

Visuellement ce blog respire...

 

Il est temps de le faire dégueuler !

 

RV très bientôt les pourceaux.

 

 

280820101230

 

 

Par Julien - Publié dans : CAVE - Communauté : Domination et amour...
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Vendredi 12 novembre 5 12 /11 /Nov 18:08

Celui qui me tourne autour ne vaux rien.

 

Quand je vois cette photo

Elle me renvoie en pleine figure

L’astre bouillonnant

De la vie incarnée dans votre chair blanche et éclatante.

 

La beauté intemporelle de vos formes parfaites.

 

Que pourraient Bellucci, Bruni, Byzance, Campbell

À la magie incarnée ?

Elles, qui malgré leurs atours, semblent sorties d'une mauvaise comédie humaine.

 

La grâce vous attache

Bien que libre vous fasse,

Me cerne et me plie

Je suis baveuse limace...

 

Oh ! Si puéril je suis à chercher quelques artifices (régimes et musculation) pour retenir vos perles et illuminer ma lanterne.

 

Maîtresse Trinity...

Ô déesse...

 

Boire jusqu'au jus de vos aisselles, la mouille de vos efforts,

Votre interieur

Triste adorateur

Je suis,

Prisonnier de la bougie

Toute une nuit.

 

Des fois je me dis prendre les chemins du hasard

Goûter le froid, la faim, la peur, l'abandon

Pour quelque part être unis à vous par mon dénuement total

Et dans votre parfaite ignorance.

 

Je le ferais comme celui qui aime la vie.

Je le ferais avec amour.

 

Vous êtes tellement

Et je suis si peu.

 

Des fois je me vois vous lancer des missiles

Jouant de ma perspicacité au service d'un habile contre-pied.

 

Des fois, vous écrire un livre

Le diffuser dans des librairies bordelaises

Ouvrir ma passion et tout ce les ouragans que vous avez délivrez en moi

Tout en cachant ces apocryphes.

 

Des fois je veux tout

J’accouche de mille projets vers vous

Et aucun de valables ne sauraient être inachevés.

 

Je voudrai énucléer mon ego dans ce projet

Disparaître

Ne le faire que vers et pour vous

Voeu pieu auquel je ne renoncerai pas.

 

 

Je reprends ma plume

Pour entreprendre une nouvelle révolution.

 

Je m'abrite derrière quelques éclairs cachés dans ce blog

Pour me dire que je peux sans cesse mieux faire et finir par allumer un incendie.

Ô Lady chérie.

 


"Mon amour pour toi c'est tellement possible" 

 

 

MT 112010


 

 LA Photo

Par Julien - Publié dans : ADORATIONS - Communauté : L'art de s'offrir
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