O muse de mon cœur, amante des palais,
L’œil clair et plein de feu
Qui tors paisiblement dans une pose étrange
Tes appas façonnés aux bouches des Titans !
Une senteur montait, sauvage et fauve
De ton corps si beau,
Comme une étoile vacillante,
Miroiter ta peau !
Tes yeux où rien ne se révèle
De doux ni d’amer
J’eusse aimé voir son corps fleurir avec son âme
Deviner si son cœur couve une sombre flamme
Et l’harmonie est trop exquise,
Qui gouverne tout son beau corps
Buveur du sang du monde
Même quand elle marche on croirait qu’elle danse
Valse mélancolique et langoureux vertige !
Comme un soleil couchant dans un ciel ténébreux
Une miraculeuse aurore
Reine victorieuse et féconde en (c)rachats
Ta tête a les attitudes
De l’énigme et du secret
Tes sourcils méchants
Te donnent un air étrange
Ta rage mystérieuse
Ton rire moqueur
Et son cœur, ravagé par les flammes
Panis salsus, mollis esca,
« Moi je veux régner par l’effroi ! »
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