Bahhhh
que rajouter...
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Bahhhh
que rajouter...
S'il a la tête en bas
c'est qu'yl veut ymyter l'arbre.
C'est que les pointes du Y
pointent les deux seins de Lady
pour remonter à sa tête.
Je n'allais pas renverser Lady...
Nous allons faire vaciller les fondations sur lesquelles vous avez le cul assis
Car c’est assez de vous entendre perdant quand vos tonneaux clignent de l’or
Il est alors opportun pour des galopins pirates de vous pendre à la cravate
Pendant que vos maitresses cravachent et vous scie vos lobes bombés
Vous désirez accélérer le processus où la bête exulte
Et laisse sa pute d’ouvrière généreuse sur les trottoirs avec un pourboire
Que nenni les jésuites, assis au sifflet, avec Lady vous l’aurez profond !
Quel est il ?
Maîtresse
Qu’elle est il
Trinity
MT1-01
L’amour et la détestation.
Et l’amour, tout ce que je peux ressentir, que pourrais-je enfer ?
Maîtresse de l’an fer.
Devrais-je trouver les ressources pour tarir la source
De ce flot qui va et qui n’en finit pas
Qui se nourrit de plusieurs O
Eaux de dévotion,
Courant d’admiration
Torrent d’amour
?
Tous les sentiments mélangés
Qui vous font icône et déesse
Ses sentiments intelligents pour vous approcher
Et pour vous toucher mieux
De l’encre de ma queue
Qui vient par flux éjectés violemment de mes vaisseaux sanguins.
Ô lady
Vous hantez les marécages
Les zones sombres de mon âme
Pour les éclairer.
Une lumière qui scintille
Et d’où naît
Dans la rudesse et ce qui vous fait femme
Les écoulements de ma dévotion.
De ce vertige océanique
J’ai le mâle de mer
Je dégueule, je n’ai plus rien à faire
Je me laisse plonger
Petit mec dans bain d’acide
Le bain d’acide de maîtresse Trinity.
Petit mec prend le bouillon, couillon.
J’en suis imprégné jusque dans la marée montante de mes couilles
Qui elles aussi veulent me lâcher.
Bain d’acide
Le bourre-couillon.
Acide
Comme les saveurs parfumées de sa chatte d’hélice
Eaux je m’an vole !
Je
Ne touche plus terre.
Où est la détestation égarée ?
Elle ruisselle
De moi-même.
Je
Fonds
Dans votre acide
Il n’y a plus de je
Que l’acide.
Vous m’ Avé mangé.
Quelques mois et quelques semaines loin de vous il me faut tout réapprendre et je plonge dans les méandres de ma vie et retrouve ma basse condition. |
vous aviez réappris |
Je me sens fils prodigue mais comment serais-je accueilli ? |
tu eusses senti |
Je me traîne je réfléchis à reculons je me sens les pieds plats, reformé le syndrome du crabe. |
que vous eussiez réfléchi |
Vos yeux me remémorent de leurs éclats combien vous êtes belle et brillante et combien je suis crapaud. |
que je remémorasse |
Une petite voix d’ange me parle (c’est moi quand il s’agit de convaincre) « allons Julien tu n’es pas fait pour être soumis et tu l’as toujours dit et écris ce n’est pas du ressort de ta nature toi tu pétilles de joie tu sautes comme un cabri dans la vie et tant pis les ronces, les orties tu en as pris ton parti Elle, elle ne voit que des gros, des laids, des riches, des vieux et quelques minets à déniaiser… et si peu de gens intelligents comme toi » Je me ravis d’entendre une telle considération de moi. Et j’ajoute doucereux « Et d’ailleurs elle n’a jamais voulu de toi ! » Salaud que je suis ! |
qu'il ait voulu |
Pourtant une autre voix, plus grave me saisit (la mienne toujours mais qui part de mes couilles) « regarde-toi bien en face prend la glace ! prend prétentieux ! Je te foutrai un string et je te positionnerai sur les quais pour te défaire de ton arrogance à coups de pistons des passants en manque. Des vieux, des prolots, des laids, des PD… De ceux qui te fourreront leurs manches pleins de ta merde liquide et du reste de sperme dans ta petite bouche de pimbêche. Tu ferais la fille, petit enculé ! N’as-tu pas de respect pour celle qui mérite tout. Tu voudrais la snober ? Tu en aurais fini de tes ritournelles Roméo mais tu finiras au bout d’un pic. » Mais je me réponds : « Mais si ! Je veux toujours finir empaler dans d’horribles douleurs. Avec des serpents pour lit et scorpions dans mon sanctuaire. Je veux qu’elle assiste, qu’elle dirige… qu’elle tremble de partout de me flin… » « Mais trou du cul, je te parle d’ici et maintenant ! Après t’être miré comme une petite crotte, tu peux jeter un œil à la lumière. Regarde son regard. Regarde ! »
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que vous empalassiez |
Et là je me réveille, paradoxal. |
ayant réveillé |
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Ce que je l'aime et ce qu'elle me manque.
Cette respiration, ce temps sans note, est un élan.
«Les hommes veulent être esclaves quelque part, et puiser là de quoi dominer ailleurs.» (La Bruyére)
Pardonnez-moi
j'ai péché
péché d'orgueil, de luxure
je me suis laissé aller,
j'ai péché !
Cette pauvrette
ce visage si pure
sa large culture
j'ai béché
j'ai péché
pardonnez-moi maîtresse.
Je l'ai baisé
je l'ai enculé
Oh! si vous saviez...
Ne fut pas la seule mais
là ne se situe pas mon péché.
Non maîtresse,
j'ai péché
pour avoir entretenue une relation poétique
et démentielle
comme celle que nous poursuivions
sur des chemins bourbeux où marécages
et arc-en-cieux
se succédérent.
Ô lady comme je vous aime...
J'ai joué double
j'ai péché
en vous remplaçant par Sonia.
Salope de Nymphéa.
Rousse et cultivée
à se tromper...
Sa cambrure
son tronc
ses mains menottées
et la mienne dans sa chatte
ses cris...
Je lui ai écrit.
Pardon !
Pardon Lady !
Elle était belle et cultivée
elle m'a noyé
et éloigné
je la deteste !
Je lui envoyais mes proses
elle avait des joies extatiques
je la baisais de ma plume
je la retournais.
et son bel esprit fut charmé
de mes carnavaux litteraires.
Qu'elle aille se faire traire !
Pardonnez-moi
j'ai péché.
J'ai fait double jeu
alors que ma poésie devait vous être dédié.
J'ai péché,
me pardonnerez-vous ?
J'ai laissé fuir mon talent
et j'ai troqué votre cul par le sien.
Mon verbe
et mon écriture
furent même parfois lumieux.
Oh putain de Sonia
je me suis trompé
et vous aussi...
Sonia
qui m'a fait me detester
moi qui m'aime tant
même les miroirs me faisaient la gueule !
Me vomissaient mon image.
Je suis Michel Simon
je suis moche et con !
C'est un comble !
J'ai laissé fuir ma plume
pour une petite pute
et je vous ai laissé.
Elle m'a carbonisé la queue
m'a sucé mon encre
le reste pour vous... évaporé...
Pensant, absurde,
que le réel...
O pardonnez-moi
me pardonnerez-vous ?
Sonia Devroche (Casseneuil (lot-et-garonne))
Pourvu qu’elle pue
Pourvu qu’elle pue
Que sa senteur rappelle
La féline et la rate
Pourvu qu’elle pue
et qu'elle s'en foute
Exhalaison Forte et ambrée comme la flore mouillée d’où emane un fumet particulier de terre,
que les fragrances nauséabondes s'unissent cladistiques
un fumet particulier de terre et d'humidité me bourre les naseaux
Pourvu qu’elle pue
Que sa senteur rappelle
les animaux trempées, de feuilles éparpillées et de fruits incomestibles pourries
Qu’elle pue !
Merde !
Qu'elle pue !
Qu’elle sente fort le bon et le mauvais
Qu’elle nauséabonde et qu’elle excite
l'essence
Qu’elle souffle dans mes narines
Ses fragrances fortes de fin de journée
Epuisée que Lady est
D’humides aisselles
De corsages fouettés, de coulées de sueur
Pourvu qu’elle pue
Bon Dieu qu'elle sente l'animal
la bête inhumaine
qu'elle se cure le cul des doigts
qu'elle sente ce qu'elle est
qu'elle fasse sentir ce qu'elle hait
Je te hais
tu me hais
je te pue
Qu’elle ne ressemble à rien de connu
et qu’elle tapisse les tissus de mon palais et de ma gorge
Pourvu qu'elle pisse
qu'elle me serre la gorge
Pourvu qu’elle pue
Mais pas seulement
Que son parfum de femme singuliére
Se retienne
court-circuite l'olfactif
Et que tout se mélange dans ce qu’elle a de bon et de mauvais
son parfum éventé
et qu'anéantis les repéres avant l'heure des tortures
qu'aveuglé et baillonné
Elle se retrouve évaporée
dans mon cerveau
disséminée dans sa senteur naturelle
elle.
Elle
Elle
Evoqué quelques semaines plus tôt
la naissance de maîtresse Trinity 1.1
vise à étendre plusieurs choses :
- la toile (web)
- la notion de beauté (purement physique)
- le trou de votre cul (lecteur inerte).
Je le prépare comme on lance de grandes eaux sur le pal
qui vient de perforer sa victime
en vu de le préparer pour une autre.
Qui vivra verra.
Quelque chose de brutal
d'excitant
de mal à l'aise.
à noter : je ne suis pas sur la photo. Ni devant ni derrière...
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