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Je regarde occire les anges du bout du monde
Leurs gros bides plein de vide
Leurs doigts fins comme des aiguilles
Leurs corps allumettes carpets
Jouent aux osselets entre frères
on me reproche de les regarder
pas faire comme, se vider les poches
ceux qui me reprochent roulent en Porsch
ou font des ronds avec des luges
en vacances avec leurs mioches
alors je regarde le ciel se gorger
de petits anges à ailes déployées
…je trouve ça beau de crever
Les cieux
quand est-ce que
je lui montrerai ma queue…
Ses fureurs sonnent des ambulances
A rendre gâteux les jeunes aventureux
Les perdus, les lèche-culs,
Qui ont tout juste quitté leurs mamans
Qui voient en maîtresse la poursuite amniotique.
Mais ces cons là
Ils quitteront les lieux comme on rentre dans les ordres
Sentiront la pisse de bébé mais pas la leur.
Elle ne se foutra pas de la gueule du monde
Comme « les tombés du nid » ne rigoleront plus des hospices
Douillets et accueillants
Mieux que les tournantes de bites
De fouets et de boulets qui sifflèrent toute la nuit
Pour lesquels en plus il fallut qu’ils se ruinent.
Les cons ! Les hospices à vingt ans
Ça sent sa propre pisse
C’est chaud
Et c’est accueillant.
Quel jeu ce fut...
La participation de tous les lecteurs (que j'imaginais pas à ce point assidus) pour me raconter, tantôt ce qu'ils savent, tantôt ce qu'ils ignorent sur lady archange. Et rien ne change. Dans un tourbillon de mots et d'élucubrations l'imaginaire chic cotoyait le réel nu.
Ô heureuse lady que tout traverse et que rien ne bouge.
Avec vos emails, peu chers lecteurs, et dans le tableau-bouilli qu'il produisait, je me serais cru dans un bouge !
Heureuse lady qui suscitez tant d'energie qui ne tardera pas à regagner son nid.
Vous êtes tellement pour tous. Tous ces coeurs de crevards.
J'ignorais à quel point vous étendiez votre ombre sur les maigres chaffinch et combien les chaffinch mendiaient quelque chose de vous, un tissu, un bout, à votre passage. Vous êtes l'aquila et toutes vos ouailles rêvent et fantasmagoriphient.
Pour récompenser tant de confidences, chers lecteurs, sur le compte, sur la vie de lady et bien je vais commencer par ne rien vous donner. Il nous faut nous contenter de notre condition de chaffinch et regarder encore vers la bête et attendre, esperer qu'elle nous éclaire.
Regardons encore...
Et on marche entre deux tombes
Celle de nos aïeuls et la notre
On se fait des raisons à tout, on avance comme ça
Même si plus ça passe on n'y croit plus beaucoup
On se convainc de tout même la boue jusqu’au cou
Et que le soleil se voile et on ne veut pas y croire
C’est l’effroi et dans nos petites poignes serrées
Les dernières graines du sablier
Semblent tenir tout le parcours qui s’égraine
De maman jusque là
Du « je ne savais pas » au « je ne sais plus »
Et tout s’enfonce et se dilue...
Petit bilan au 02 aout des documents reçus :
Types de Doc. |
valables |
rejetés |
En attente |
Témoignages (sur maîtresse gynarchique) |
1 |
3 |
0 |
Photos |
5 |
1 |
0 |
Témoignages (Eléments de vie) |
3 |
8 |
2 |
Divers |
1 |
1 |
2 |
A noter : 3 emails sans plus de détails m’ont été envoyés sans qu’il y ait eu une suite. Remords d’enculés sans doute. Mais... je m’étonne que vous soyez encore là à me lire. Courez à votre prière et aux chiens à torcher….
Au 02 aout, j'ai du nouveau. Au milieu de 4 véritables ou faux témoignages (pour lesquels je n'exigerai pas d'assignation (j'aurais préfèré 100 coups de fouets avant noyade)) et de pièces diverses envoyées tout le temps anonymement sur mon email, j'éprouve le besoin de prendre plus de temps et de laisser aux branleurs encore en vancances la chance de m'éclairer encore.
Il y aura beaucoup de surprises, c'est une garantie. Des déceptions pour bien des lecteurs.
Et pour moi que de réjouissances : pouvoir contempler dans ses courbes parfaites et ses rides non moins parfaites, dans les mensonges toujours répétées, et dans l'oeuvre de sa gloire, sa magnificence. Elle est belle je vous jure ! Elle rayonne dans sa vie et dans toutes les blessures de celle-ci. Elle est maîtresses Trinity, implaccable !
@ trés bientôt
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Qui plus belle qu’elle … ?
Qu’elle me donne des ailes.
Des ailes à mon propos.
Mes écrits je sème comme petit poucet, sauf qu’ici le petit poucet pose ses pierres de sorte à ne jamais reprendre le même chemin pour parvenir un jour à trouver celui qui mène à l’ogre !
Ce qu’elle est belle, ogresse déesse !
Ses yeux perçants comme doués des facultés d’un Aquila, quelle beauté ! Les avoir pour me scruter et en une seconde la terre se changerait en sable et mon âme de granit, liquide. Je serais proie trop facile. Mais ai-je un intérêt quelconque qu’elle daigne poser son regard sur moi ?
Elle plane au-dessus des hommes et, d’où elle surplombe, ils lui apparaissent comme des fourmis. Des fourmis qui s’agitent. Des fourmis dans une fourmilière. Les âmes molles, le courage flasque, ceux qui s’immolent et ceux qui branlent une flaque.
Elle est belle voyez-vous ? Misandre d’Arbrant. Ses membres comme un arbre géant de Californie, le plus grand, suffiraient à une nuée de pinsons malotrus à élever de ses branches leurs esprits plombés et leurs grâces désertiques. Ils prendraient racine et s’effraieraient du magnifique feuillage abondant tombant par-dessus leurs têtes de fions. Tomberaient en esclavage. Addict. L’arbre du bien et du mal leur serait véritable oasis. L’arbre du pain (comprenez spirituel) et du vin (comprenez jus de pisse pour le dressage et les humiliations).
Je suis addict rien qu’à vous lire et vous voir. Addict like a chaffinch. Je ne suis rien mais je bleuis et je suis beau à votre contact. Je suis bête. Je suis épave animale. Je suis machin chaffinch comme les autres têtes de cul. Et comme les autres je pense péter plus haut que mon cul… facile avec une tête de.
Vous êtes arbre de vie et vos lianes fouettent. Je suis chaffinch dans la multitude et c’est à peine si… ridicule !
Elle est belle, si belle.
Mais elle n’est pas que.
Elle est aussi obscurité et secrets. Elle est je et jeu hait je.
Ses trous noirs, sa face cachée, les va-et-vient de ses sentiments je les ignore tous mais je les englobe dans l’inconnaissance que j’ai d’elle. Que jets d’ailes. Bottes de sept lieux à un jet d’elle. Comme elle est belle. J’englobe le connu ténu et l’inconnu ténu, les deux sont tenus. Je les tiens et les embrasse les têtus. Je les loue. Je les lèche, je les tète.
Je vous trouve belle maîtresse.
J’ai beaucoup écrit mais il reste tant à écrire. Tant et tant.
Mai 2025 | ||||||||||
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