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Corps et "spon dance"
Comme je t'ai martelé le cul. Je te sentais bien. A chaque retrait tes sphincters serraient ce qu'ils pensaient, par erreur, mon retrait et
j'en profiter pour réengainer ton anus. A bonne allure, mon ventre claquant sur tes fesses, ma bite tendue au maxium de son excitation, mes doigts crochetés à tes hanches et à tes cheveux, je
jouissais considérablement dans de bonnes et abondantes giclées.
Le présa maculé de ta merde décrivait tous tes efforts et ce que tu avais enduré. Magnifique ! Par pudeur je le glissais dans la poubelle de
la salle de bain bien planqué dans un emballage.
Je t'ai trouvé plus expressive. Nettement plus. C'était délicieux. Moi aussi j'ai laissé filé.
La prochaine fois tu m'écarteras tes fesses que je les turbine, électrise, détruise !
Hallo
(corps & spon-dance)
1/
Là je t'écris
j'ai la pensée sauvage et galopante
la même rage à tes fesses
la rage de toi
la rage de t'en faire baver et que tu me sentes te décapsuler !
Oh j'ai la rage,
je suis un autre ôm ! Je te défenestrerais de nouveaux horizons
si je t'avais à mes côtés.
Foutre ton joli dessous à tes pieds et sentir ton minou fleuri.
La rage de t'écrire le plus cru et la mélodie la plus puissante
de partitions de notes aussi bien arrachées des étoiles que dans la merde !
J'arracherais le monde à ta constellation !
Des notes animales
ou j'enrage
et je te serre
et je te prends
et je te claque
et tu deviens folle
et je deviens fou.
Toute une symphonie
et tu cris S***-chérie
et je cris
je m'exclame
j'enrage
je t'arrache
je jouis
tu gémis d'un annnnh annnh interminable
et d'une volupté qui gicle rouge et bleu
à l'exterieur de tes lévres merveilleuses
quand je te tapisse l'interieur si désiré
d'une pisse de ma joie
tandis que tu pisses la tienne.
La ressens-tu S** cette symphonie bestiale ?
2/
sens-tu le bonheur poindre dans mon coeur ?
une pointe, une épine qui pousse dans mon boxer ?
le bonheur de t'écarquiller le cul
fou de ton corps
rugissant
de mes deux mains fermes
telles deux pinces étirant de part en part ton fessier
tenu entre la paume et 4 doigts
sans égard pour ta peau tannée rouge et endolorie déjà
je t'écarte aussi violemment que la faim de toi m'éreinte
et fait ressortir l'objet tant convoité qui se cachait
une petite bague de chair que mon membre survolté défroncera à son heure
mais que ma bouche et ma langue rêve d'enfiler, il est si prêt !
après m'être abreuvé au miel de ta chatte
je pars sans plus attendre (j'en meurs) convoler à la chair tendre et si secrète
de tes fesses
ma langue surexcité te parcours la raie toute entière, je te sens déjà chavirer
puis les pinces qui t'esquintent te font t'ouvrir davantage en plongeant
à plein visage les joues dans le matelas, tu n'es plus qu'un trou du cul
petite salope ! qu'un trou du cul que ma langue va crever.
Te souviens-tu ma fougue ?
Et bien là elle serait décuplée.
Je te lécherais, lécherais comme un fou
jusqu'à faire mouiller ton cul
je t'enfournerais ma langue
je mourrais du délice de te faire chienne et mienne
puis j'augmenterais le supplice en exigeant fermement
que tu te découvres toujours plus. J'exigerais que tu pousses
sur tes reins pour me faire ressortir la margelle de ton anneau délicieux
et là éperdu d'excitation, ivre, je t'enculerais et te lustrerais plus loin
qu'aucun savon n'a jamais atteint. Tes fragrances acres rempliront mon palais
tu seras ma reine et je te rendrais un hommage somptueux que tu quadrilleras
de gémissements et de petits bruits qui n'appartiennent qu'à l'instant.
"pousse sur tes fesses" tant qu'un pet fluet siffle sur ma langue
une décontraction qui t'électrise et te rend rouge
m'ouvrant définitivement tes sphincters ma langue rentre dans ton rectum accueillant
mimant de ses mouvements allers et retours la non moins majestueuse sodomie qui t'attend
et où je vais tout arracher sur mon passage. Si fort déjà aux parfums de ma bouche
l'envie de t'enculer et t'en faire baver noir supplanteras tes restes de femme
pour n'être qu'un animal qui jouit démentiellement, nos corps imbriqués,
s'agitant qu'on les dirait marionnettes à tringles possédées par le Dieu du foutre
la symphonie où le plus aigu et le plus grave se gavent et s'emmêlent !
Oh S***ie-Reine...
Je cherche un petit bois touffu,
Que vous portez, Aminthe,
Qui couvre, s'il n'est pas tondu
Un gentil labyrinthe.
Tous les mois, on voit quelques fleurs
Colorer le rivage ;
Laissez-moi verser quelques pleurs
Dans ce joli bocage.
- Allez, monsieur, porter vos pleurs
Sur un autre rivage ;
Vous pourriez bien gater les fleurs
De mon joli bocage ;
Car, si vous pleuriez tout de bon,
Des pleurs comme les votres
Pourraient, dans une autre saison,
M'en faire verser d'autres.
- Quoi ! vous craignez l'évenement
De l'amoureux mystére ;
Vous ne savez donc pas comment
On agit à Cythére ;
L'amant, modérant sa raison,
Dans cette aimable guerre,
Sait bien arroser la gazon
Sans imbiber la terre.
- Je voudrais bien, mon cher amant,
Hasarder pour vous plaire ;
Mais dans ce fortuné moment
On ne se connait guére.
L'amour maîtrisant vos désirs,
Vous ne seriez plus maître
De retrancher de nos plaisirs
Ce qui vous donna l'être.
(de Voltaire)
Et son cul qu'elle me tend
qu'est-ce que j'en ferais ?
Cette courbure parfaite,
ce sillon vénéneux,
ces bonds à rebonds
qu'on dirait la nature s'exprimer toute entiére sur ce drap bleu
à l'heure des vapeurs amoureuses
où le prisme de l'amour se change petit à petit en monstre de bestialité
de son cul, que ferais-je ? ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Sa nature magnifique se drape d'une innocence coupable
d'une douceur à faire affluer toute la rigueur ensanglantée
au centre bandant de mon corps.||||||||||||||||||||||||||||||||||
Oh ce que j'en ferais de ces formes nuptiales
je les mangerais toutes entiéres et disparaitrais la bouche dans un de ses plis
et pis plus bas
où sa moiteur me rendra fou.
De sa raie culière à sa chatte rasée, sa mouille m'abreuvera et je la prendrais !
Je lui rentrerais ma queue dans son con dans son cul tour à tour
je lui dirais par des coups de reins comme je suis fou d'elle et que mon couteau en elle
rêve d'assassinat qui nous ferait défaillir.
Ô comme je l'aime
je l'aime à la faire mourir !|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
je n'aime pas l'amour
c'est un sentiment qui rend pateux
qu'on tourne dans tous les genres - feminin au singulier et masculin au pluriel -
ce que j'aime c'est Maîtresse et à travers elle, rayonne le sublime amour
en préferant l'amour, je préfèrerais la coque au lieu de l'interieur abrasif
je préfère me bruler à l'intérieur de la panthére, d'un amour désinteressé (fuir la coque)
regardez plus haut ce qu'elle est belle panthére affalée de tout son long de corps de mannequin
elle dort et je dormirais en elle si je la regardais trop...
j'ai la tête en vrac
bonne à mettre dans un sac
à fourrer au zyklon B.
J'ai l'âme qui divague prés des autoroutes
qui voudrait traverser la voie
les poings et les yeux serrés,
"je suis certain qu'elle me répondra".
J'ai la tête en sac
à gonfler les bides des poissons
et à les faire s'éparpiller en morceaux écologiques
à se répandre dans le pacifique.
J'ai l'amour qui me gratte autour des couilles
j'ai l'amour qui me court de partout quand je la lis
quand je la vois
sur son sitewé B.
je me plie, me déploie et je prie pour moi :
"Ô Déesse venue pour les âmes faibles
et rabaisser celles qui se croient trop belles.
Ô Déesse descendue de la nuée pour noyer les porcinets
les hommes harams et les tribales trou de B."
"Ô Déesse supérioté
Femme de flammes
Arachnide céleste
que votre volonté s'abatte."
J'épluche les jours comme une orange
comme passe le soleil
comme un citron.
j'épluche et j'ai mal aux doigts
je coule rouge
de jamais la voir
me cogner dans le noir
je coule rouge
par la tête aussitronc.
j'ai de la peine
je me couche en boule
pose deux cierges
je prie vers elle
la reine des démones
et son parc d'excités
je prêche pour ma paroisse
je laisse couler la cire blanche sur mes phal anges.
j'épluche les jours
et les doigts me pèlent méle
j'ai mal et je pleure
encore un horizon violet
se couche sur mes desepoirs
j'ai mal de pas la voir...
Je comprends les pervers
Leurs films téléchargés
Et déchargés dans le noir
De toutes les sortes
De toutes les tailles
Je ne vous soufflerai mot
Il y en a tout un éventail
Oh je comprends les pervers
Leur besoin de se fondre
Et leur crainte de la lumière
Les vampires n’officient que la nuit
Sinon ils ne vivent pas
Muets comme leurs tombeaux
Bonjour merci et au revoir
Je comprends les pervers
Leurs besoins
Leur irrépressible
Un animal de musée
Un chaperon dans le poulailler
Le con
Qui oublie parfois sa condition
Je comprends les pervers
Les pervers sont toujours en prison
Et personne ne leur donne raison
Douche ablative
C’est pourtant à la portée de n’importe quel chrétien. Les portes du paradis se mêlent aux flammes de l’enfer. Ce n’est pas péché que se nettoyer le cul de temps en temps. Eusse t-il fallu employer vils manies rappelant la condition misérable de l’homme. Nous y voilà, un mug de thé bien chaud. La température de l’eau qui est supportable difficilement à la bouche est un supplice radical quand l’anus en est baigné. Méthodiquement, au dessus des toilettes, le derrière relevé juste au dessus de l’assise, de manière à faire un constant effort qui rongera les jambes et les pieds tandis que les nerfs seront à rude épreuve. Commodément, inutile de mettre le mug trop haut au niveau du dos car non seulement le bas du dos n’est pas l’objectif mais en plus la déperdition de chaleur serait importante jusqu’à atteindre le cercle noueux. Reprenez une gorgée de thé, après tout c’est fait pour ça, puis le dos cambré coller le bol à la naissance de la raie. Au fur et à mesure la main sera fébrile tant la vapeur bronze la peau de pèche. Sensation de brûlure au passage du liquide, il ne faut pas cesser le mouvement même à regret. Ainsi le liquide suit naturellement le sillon jusqu’à cercler le trou du cul de sa cuisante. Vous voudrez hurler comme un fauve et sans cesser le jet continu du thé, les sphincters se raidiront jusqu’à ce qu’il éructe pet ou bien merde séance tenante. La margelle, chair la plus tendre, se fera jour et sera plus gravement incendié. N’y coupez pas, la brûlure est intense et le ravissement mélangé divin. Aussitôt l’anus se fermera fort et emprisonnera quelques gouttes de feu en lui. Quel délice ! Remontant la colonne vertébrale, l’orgasme sera aussi puissant qu’inattendu. Vous pouvez cesser et ravaler les larmes de thé auquel votre cul a échappé.
Réunis tous dans le couloir des apatrides, elle est survenue après un bon 1/4 d'heure à se les geler debout
avec 2 consoeurs la matraque à la main (déjà qu'on avait les menottes, la bougeotte et les quenottes qui cognaient...).
Elle à l'allure d'une voiture
les cheveux au vent, les boules qui roulent, la glissière beau comme un derrière de folie,
putain j'avais plus d'oeil, ils étaient scotchés sur elle...
en regardant dans la rue les passants, 20, 40, 60
on a tous les pieds dans la même gamelle
y'en a a des plus grisonnants, des plus beaux, des sents-bons, des plus clinquants
et puis y'a les moins
mais ça reste homogène, les pieds dans la même soupe
mais elle...
c'est une Bentley à toît ouvert !
un bolide qui dévale des monts et qui prend les virages ras la chaussette, ras le string
elle c'est une extraterrestre par kaléidoscope
son regard à le poids d'une coloscopie
quand elle m'a regardé j'avais les tempes au fond du placard, j'entendais plus rien et j'avais l'oeil de Ray Charles (le bon)
je me sentais muer en carpe et idem, je me suis dit qu'elle allait me broyer
même pas me faire la bise au moment de m'enculer avec son god tronc d'arbre !
... y'a pas de mal.
Elle est passé sans me voir et m'a remis dans ma piaule. Mon placard blanc.
J'étais blême !
"1 Avé et 3 mater
et va te faire... "
Mai 2025 | ||||||||||
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