Mercredi 14 mars 3 14 /03 /Mars 19:44

cubozoa1.jpg

 

Chaque mâle sera suivi par une maîtresse (cumulatrice matrice), certains auront l'apparente chance de tomber sur une des apprenties, mais attention car pour bien faire elles risquent d'aller juste un peu trop loin... Ne pas avoir le dosage et vous faire tomber en syncope.

Et les plus malchanceux tomberont sur Bertha (la grosse), qui affale son gros derrière sur les têtes (elle peut en étouffer 3 d'un coup et ... sans un bruit !). Elle a un bon esprit et ne manquera de rafraîchir le votre. Car il se dit même qu'elle chierait et s'essuierait sans compassion sur ces mêmes têtes. Et vu ce qu'elle va manger ce sera ni beau à voir ni bon à sentir !

Les autres, toujours plus malchanceux, tomberont sur...

Oh ! il faut la surprise aussi et toutes les magnifiques n'ont pas arrêté leurs pendules sur mon cadran. Viendra, viendra pas ? Qui, mais qui ?

Et bien-sûr j'aurai mon lot, mais je ne parlais pas du pire jusqu'à présent !

Par Julien - Publié dans : CUBOZOA
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 14 mars 3 14 /03 /Mars 14:53

La somme de 3.000€ est révisable. En effet, mieux vaut pour l'intérêt du séjour pour nous toutes, avoir quelques gueules sympathiques et des trous duc qui sentent encore la naphtaline que ceux tout hémorroïdés. Par conséquent il y aura un tarif étudiant "à la tête du client (au propre comme au figuré)" pour les moins de 25 ans, et un tarif carte vermeille (augmenté s'entend) pour les plus de 55 ans. Un email pour les résas ainsi qu'un numéro de téléphone sera mis en place dans les jours prochains.


pq.jpg

Par Julien - Publié dans : CUBOZOA - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 14 mars 3 14 /03 /Mars 13:41

D'un côté la mise en place du séjour d'été à Cubozoa  avec tous les détails,

de l'autre "l' Angoulême Trinity" vont animer le blog.

fig.jpg

Par Julien - Publié dans : CAVE
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 14 mars 3 14 /03 /Mars 09:38

 

 

le nécessaire pour venir :

votre pièce d'identité et le formulaire d'admission complété ;

la somme de 3.000 euros en liquide pour le coût du séjour ainsi qu'un chèque, ou rib couvrant les frais de libération au dernier jour si vous deviez être le "saint couplé" ;

le cas échéant, vos 3 dernières feuilles d'impôt (voir règlement) ;

une valise contenant un habit complet de fête. Vous avez par la grâce de maîtresse, toute liberté de choisir ce qui vous va bien. Même les "sans goûts" (ou peut-être de chiotte) auront le privilège de choisir la tenue festive idéal du 7ème jour (tout se paye un jour...) ;

vos couilles et votre tête.

 

 

 

Par Julien - Publié dans : CUBOZOA - Communauté : Couples candaulistes
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 14 mars 3 14 /03 /Mars 09:25

cubozoa2.jpg

 

Le nombre de participant est limité à 30. Si vous étiez chauve et bedonnant, inscrit parmi les premiers, et même confirmé par les soins de maîtresse et que, un jeune étudiant se présentait (ou même un africain (noir ou maghrébin), pratique de la discrimination positive !) : vous seriez retiré de la liste sur le champ au profit du jeune aventurier ou de l'appelée diversité. Bien-sur vous seriez remboursé et auriez pour seul mot d'excuse d'aller vous faire mettre ailleurs... et de vous atteler aux salles de gyms pour blaireaux !

 

La durée du séjour tient en 11 jours (10 nuits). Ouverture des portes à 9h le 09 Juillet, fermeture à 10h. Vous serez relâché à un moment ou un autre le 19 juillet.

Dés votre arrivée vous prendrez un habit au hasard dans la pendrie que l'on vous montrera. Chacun est pourvu d'un dessin d'un animal ou insecte au dos. Il servira comme vous ne pouvez pas imaginer !

Les 3 premiers sans boire ni manger et enfermé dans l'écurie. 

Chaque jour réservera son lot de surprises et de jeux. Ne rêvez pas, ce seront les maîtresses qui s'amuseront, vous, les objets.

 

Par Julien - Publié dans : CUBOZOA - Communauté : salope soumise
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Lundi 12 mars 1 12 /03 /Mars 17:48

C'est bon de pleurer devant ceux qu'on enterre

surtout ceux partis trop tôt

ça fouette comme un vent glacial

on est heureux de vivre et on s'étonne de se voir encore debout

on pleure à chaudes larmes

un peu sur soi

on mesure le temps et ce qui reste n'est plus que souvenirs, déjà,

on se trouve con de s'être crus tous eternels

les querelles et les rires n'ont qu'un temps

j'ai les mots bloqués au fond de la gorge

m'étrangle de ne pas les avoir sortis à temps

à quoi bon maintenant ?

debout devant ton bois je me prends pour un arbre

inerte comme le caveau qui descend sous terre

je me sens prendre racine...

 

et nous ?

que restera -t-il de nous ?

un grand voile ?

une nuit blanche ?

...de s'être croisés, bizarres, entre des mots

maîtresse des lettres...

 

ent.jpg

Par Julien - Publié dans : GRENIER - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 14 février 2 14 /02 /Fév 10:43

Tu vois où le bonheur soudre ?

Dans la tête que tu perds ?

dans les flammes qui t'agitent et qui brûlent jusqu'aux poils de ta nudité ?

Tu vois où soudre le bonheur qu'à grandes eaux déployées décrassent la roche du malheur ?

 

Il est dans l'abandon.

La tête que tu perds.

L'oubli de toi. Et toi c'est aussi ton monde autour qui s'agite. Oublier tout pour elle.

 

Je ne veux être rien

où un élève de Krishnamurti.

Lui qui n'apprenait rien.

Mais même lui, même le Divin, je veux tout oublier dans sa divine échancrure.

 

Celle qui m'afflige.

Je ne veux exister que par elle

par ses prunelles.

Qu'elle joue ou pas, je n'existe que par elle.

Sans LSD pour m'identifier. Atteindre le même renoncement à moi-même

en sortant de ma cage.

 

Rhaa les mots me pèsent.

Je m'essaye tantôt à exprimer prosodique les formes de ma pensée

mais voilà qu'elles s'agrippent

et j'écris mal

j'écris moi

alors que je voudrais écrire Elle

ou moi dans Elle.

 

Je bute sur des expressions bien filées

mais ça ne donne rien

l'abandon

lâcher-prise

aimer comme un fou

les 3

qui l'a bien écris que je m'efface ?


Par Julien - Publié dans : AMOROSA - Communauté : L'art de s'offrir
Ecrire un commentaire - Voir les 11 commentaires
Samedi 4 février 6 04 /02 /Fév 17:50

J'avais la douleur d'être quand mes parents celle de devenir.

 

Je les ai vu et n'y ai jamais cru

qu'un pied si près du fossé.

 

Il est vieux Chronos, il a perdu la boussole

quand il me les a arraché.

 

new-141.jpg



Par Julien - Publié dans : GRENIER
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Vendredi 3 février 5 03 /02 /Fév 16:06

j'ai choisi ma potence maîtresse Trinity
j'ai choisi le chemin de la pluie
j'écris comme je crie
et je tente la poésie comme d'autres s'enflamment ou s'agenouillent dans la boue
je suis à bout.

j'ai choisi ma potence
un chemin de silence
je marche le long d'une fumerolle
avec aux mains une vasque de pétrole
je m'évertue et me tue
à faire rimer Ste Ephanie aux oiseaux.

ma potence
un chemin larmoyant
je marche sur les lacs blancs que survolent nombreux rapaces
guettant que je chute ou que je meurs de faim
je traverse
pour vous voir
les clapotis
et le froid
j'en ai cure !

image11

Par Julien - Publié dans : AMOROSA
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 24 janvier 2 24 /01 /Jan 02:32

Si pour maîtresse, le chanteur le plus notable est le grand Léo, la graine d'anar', pour moi j'y vois dans la même onde que les deux agitent d'un bord à l'autre de la vie, chacun dans sa partie, celui qui se trouve sur "notre" bord : Gérard Manset.

Bien que j'abhorre le petit Raphael et sa voix de pinson, j'y vois là encore un lien entre les goûts de maîtresse et les miens... puisqu'elle l'aime... et puisque Manset écrit pour lui et que je leur crois un lien même plus important entre eux...

Bref, bien-sûr Léo est un monstre et je l'ai déjà dit il y a quelques années (le blog autel-trashland-trinity date un peu et je le protège des rides !) la chanson "on est pas sérieux quand on a 17 ans" (mon fils à 17 ans aujourd'hui !) a bercé mon adolescence-little-beat-trashland. Mais de très loin, et même musicalement, je lui préfère le Gérard. Léo, c'était quelqu'un à voir, et je ne l'ai pas vu. Gérard sans doute aussi, mais ne s'est jamais produit. Décidément, l'un l'autre se partage ombres et lumières. Lumières...

Gérard Manset est, de ce que je lis et écoute, un des derniers poètes français. Vivant, le seul peut-être mais je ne connais pas tout... Parfois je m'en vais vers Mollat au rayon des livres "a-normés" des poètes. Là, il y a à lire... Et je m'étonne... Et là je serais un petit Dumas à prosodier des heures dans ma petite bulle, ma petite lune. A faire se batailler et babiller les mots et les phrases entre eux pour en sortir une substance poétique à envoyer, toute liquide qu'elle serait, à grands jets sur maîtresse chérie, sur Lady Trinity.

Manset est donc un des derniers poètes français. Sa distance. Ses mots singuliers. Et parfois ses musiques qui collent comme du chewing gum à son liquide prosodique. 

Ce que j'aimais chez Léo c'est sa proximité élégante avec la mort. Sa manière (matière) de le (la) raconter. Tout ce qui colle aux cordes de ses violons, à ses cheveux de vieux grisons. Et tout ce qui pénètre les chanceux visités qui l'écoute. J'aime. Me rapprocher de la faux, c'est un peu me rapprocher de la vie ICI ET MAINTENANT. C'est une conscience sourde qui me parle le soir quand je mets ses oeuvres sur ma platine. C'est pleurer que je vive si bien. C'est chercher la douleur que le sel dans les plaies révélait à Saint Jean, à François D'assise. A la tuberculose de la petite Thérèse. C'est considérer le bonheur qui m'accable et le regretter "ai-je mérité pareil sort ? N'est-ce pas que je vais perdre ma fille, mon fils ? que je vais en perdre 3 une nuit ? que je vais payer ce bonheur, cette odieuse chance qui me frappe depuis l'enfance ?". Va t-elle me faire perdre la vue et le goût à force de trop en manger ? ö maîtresse vous êtes mon chemin, mon coeur, pour réparer l'irréparable et odieux bonheur... Vous êtes lumière supplémentaire mais vous pouvez en être le juste abat jour. Abajournez mes journées, que je ne sois redevable de rien aux cieux ! Que j'aie mangé mon pain noir avant d'être trop fripé. Que j'aie mangé, peut-être un peu, comme j'aurais destin lié et peines communes avec les petites soudanaises retranchées et qui se font coupe-coupées par des hordes aussi débiles et cruelles que noires. J'aurais destin lié, un peu, en rendant de ce bonheur inique dans les larmes et le sang, avec la peine de la mère juive dont on met le bébé, encombrant, au feu. Destin lié, un tout petit peu à ce petit bébé enflammé. De tous ceux qui ne se posent plus la question du "comment je vais mourir", chiche interrogation, quand tout nous tire par les pieds au fond, Monte-Cristo, quand on n'a plus que la peau sur les eaux. De tous ceux qui sourient les dents voyantes, voyants de la vie comme au fond d'un puits. Quand tout nous tire vers le fond. La corde jetée dans l'onde et personne pour y répondre. Tu restes au fond, seul ou avec ta progéniture que tu couvres d'effroi malgré toi, et tu coules...

Manset, comme Ferré, ne nous joue pas les fesse matthieu quant aux profondes interrogations. Pas avares dans les violons à me mettre dans les cordes. 

Les petits destins dont il parle sont les grands élans vautrés. Tout va tomber. La balise sur le bas côté, le fossé. Me voilà mal. "Vahiné ma soeur" ; "finir pêcheur" ; "quand on perd un ami"... n'en jetez plus, il a tout dit ! Il a tout chanté jusqu'à s'étrangler ! "Quand on perd un ami" nous plonge dans l'infini. Un bain froid à -273° selon la norme du zero absolu.  "Le chant du cygne". Putain... C'est fou ce qu'en quelques chansonnettes je vois rappliquer les lions dans l'aréne, et moi et moi : l'étouffe chrétien ! Je ne vaux rien sinon ma filiation ! Mange-moi connard de lion !

 

STA_7157.JPG

autoportrait de fille

 

Par Julien - Publié dans : アナル拷問 - Communauté : LES PORTES DU PARADIS
Ecrire un commentaire - Voir les 5 commentaires
Vendredi 13 janvier 5 13 /01 /Jan 10:01

Je ne connais rien au jour qui se lève,

maîtresse apprenez-moi,

depuis ma chambre se découpe la lumière par mes barreaux.

Apprenez-moi le jour après la nuit...

 

Je ne connais pas le goût, dans notre société nous avons tout oublié

du fruit vitaminé tombé de l'arbre et du légume enterré

de la rencontre des deux

à nos papilles sont volées les saveurs au profit de l’insipide industriel,

apprenez-moi maîtresse,

l’âcreté du goût au cul des vaches de Cubozoa !

 

Apprenez-moi la religion

les gens du livre, les monos et les ploutos

ou pire les hâtés de tout rejeter,

apprenez-moi l'art d'aimer

dans l’infinité des sensations que votre sourire et votre démarche font gicler sur moi

et font trembler mon âme !

 

gaelle.jpg

Par Julien - Publié dans : AMOROSA
Ecrire un commentaire - Voir les 5 commentaires
Jeudi 12 janvier 4 12 /01 /Jan 14:19

...ou le temps du court.

 

Tant de tant.

 

EMOIS

Par Julien - Publié dans : AMOROSA - Communauté : Couples candaulistes
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

A WAY OF LIVE

 Felinia06.jpg   

 

 

 

 

 

Felinia07.jpg

 

 

 

 

 

FETICH.jpg

 

 

 

 

 

isabL.jpg

 

 

 

 

 

mtgris6

 

 

 

 

 

 

mtgris5

 

 

 

 

 

Julien

 

 rousseur.png

Texte Libre

Maîtresse Trinity

MaitresseBallerinesNue.jpg

Calendrier

Mai 2025
L M M J V S D
      1 2 3 4
5 6 7 8 9 10 11
12 13 14 15 16 17 18
19 20 21 22 23 24 25
26 27 28 29 30 31  
<< < > >>

Catégories

Recherche

Derniers Commentaires

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés