j'ai la tête en vrac
bonne à mettre dans un sac
à fourrer au zyklon B.
J'ai l'âme qui divague prés des autoroutes
qui voudrait traverser la voie
les poings et les yeux serrés,
"je suis certain qu'elle me répondra".
J'ai la tête en sac
à gonfler les bides des poissons
et à les faire s'éparpiller en morceaux écologiques
à se répandre dans le pacifique.
J'ai l'amour qui me gratte autour des couilles
j'ai l'amour qui me court de partout quand je la lis
quand je la vois
sur son sitewé B.
je me plie, me déploie et je prie pour moi :
"Ô Déesse venue pour les âmes faibles
et rabaisser celles qui se croient trop belles.
Ô Déesse descendue de la nuée pour noyer les porcinets
les hommes harams et les tribales trou de B."
"Ô Déesse supérioté
Femme de flammes
Arachnide céleste
que votre volonté s'abatte."
Mai 2025 | ||||||||||
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(En vous priant de goûter ce fond de pastiche comme une forme dommage d'hommage "ânisé" à "Crying Horse".)
J'ai, en tête, du vrac;
Du con à sortir du sac.
Défourrés, nozigues qu'l'on B.
J'suis âne qui dit "vagues prés" des autoroutes,
qui voudrait verser de la voix:
"L'est point, elle, les yeux fermés"
incertain de ce qu'elle répandra...
J'ai la gueule patraque,
dégonflée du bidet poisseux.
Allez faire de ces parts pillées un monceau déco-logique!
A se reprendre dans le pas silique...
J'ai l'A.d'y qui me gratte, vautour-arsouille;
j'ai l'autour qui me détoure partout, egolalie,
quand je la bois
(sous le sit we B.)
Je me strie, me dépoli et je prie pour toit.
...[sangsuret]...