Dans cette vie
On fini froids et secs
Sépulcres blanchis.
On a la bonté à l’économie
D’une pensée de gauche
On s’affranchit du méchant
A peu de frais
Ce n’est pas nous le méchant !
Le miroir nous renvoit cette image difforme
Ce n’est pas nous le difforme...
A marcher sur les mains qui se tendent
C’est notre destinée que l’on fend.
Quitte à perdre mon âme
Je serai marchand d’armes
en Abyssinie
De toute maniére j’ai jamais rien compris
à ce qu’il écrivait.
Chez Lady l’ambivalence est
Comme ses deux merveilleux seins
Libres comme l’air
Se balançant comme s’ils étaient à son cou accrochés
Et qu’ils risquaient d’y tomber ;
L’ambivalence d’une vie sociale à gauche de base
A celle d’un rejet en bloc, nazie de bloc
Pour le charme d’avilir jusqu’au meurtre s’il lui passait par l’envie
Mais elle ne s’y résoudrait
Pas plus qu’une vie sociale de nase.
Lady c’est l’autarcie
C’est le rêve nazillon
C’est la culture dans le cul
C’est le raffinement dans le cul
C’est la sainte nitouche qui t’étouffe et te tue sans pitié
C’est les coups de pieds dans tes roustons
Et c’est la caresse au poéte, au génie, s’il en est.
Lady
C’est un monde de contraste
C’est les doigts qui te chatouillent la prostate
C’est son rire qui illumine, là, à l’instant,
C’est la surprise dans ses si beaux yeux
C’est la symphonie d’une vie
C’est une multitude d’envies
Lady, qui l’a connu
C’est un trésor enfoui
C’est un charme fou
C’est une rousseur
C’est le parfum qui me fait perdre pied
Parfum de sa chair
De ses cheveux sur mon visage
Lady, c’est un feu
Chouf le feu !
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