Mardi 30 mars
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Ainsi Lady a, quoi qu'elle en dise, tirée sa révérence. On peut la voir "adieux publiques" seulement, je la vois comme
"disparition" tout court. Mais dans sa disparition je ne vois pas de point de non-retour car je pense qu'elle reviendra.
Quoi qu'il en soit si je me contente de regarder aujourd'hui l'oeuvre de Lady Trinity sur la toile, elle se réduit d'elle-même à un morceau de visage et un lugubre décor sur un "site payant" où
n'apparait rien de sa magnificence ni de ses écrits. "Mon sadisme, ma
différence."
reste les seules pensées argumentées (et quelle pensées !) de Ladysabelle.(1)
Donc, je me retrouve face à moi-même avec mon blog libre à parler de 1000 sujets et en photographier, en écrire exclusivement sur Lady. Seule un peu le Robinson de la toile, c'est finalement face à
elle-même que je me retrouve. Et si mes genoux vont vers ma tâche en tremblant, j'en mesure le privilége (sied bien à Lady) et mes yeux se mouillent. Gare à tes couilles et à ta nouille, tu en fais
trop !
Oui mais je la fais rire... et j'ose, se réjouir même de me revoir...
"Immondice irrespectueux
Tes flèches fendent jusqu'à mon coeur
mais comment t'aimer mieux
pour ton cul, je ne vois que le pieux !" (2)
Revenons à ma moutonnade. Il s'avère donc que, même si ce n'est que l'articulation de ma pensée tantôt jouissive, tantôt malade, j'ai la lourde tâche de... Enfin, vous avez compris mon émois et ma
joie !
La fabuleuse ouverture est donc
non seulement l'immense chantier (à creuser l'argile pour en trouver l'or)
mais celle, à venir, que je n'aurai cesse
de conter, l'amoureuse ouverture de ses fesses.
Ô maîtresse.
(1) Qui paraît-il ne s'appelerai pas comme ça ?!?
(2) de vine
(3) Mon portait réalisé sur la place du Tertre l'été dernier.
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