Les liens du mal
Prenez-moi !
Je me donne à vous comme un homme que l’on va fusiller,
Qu’il soit celui des « francs-tireurs »
Ou bien juif Ukrainien que l’envahisseur par choix va ou bien flinguer ou bien immoler.
Prenez-moi maîtresse.
Votre perversion est un foyer lumineux qui grandit en moi.
Vous me l’avez instillée.
Je me sens larve aux pieds de vos désirs les plus ragoûtants et les plus insultants !
Prenez-moi maîtresse,
Je ne rêve que d’être à vous définitivement.
Brûlez mes ailes !
Attachez moi pour me briser mes résistances.
Tour à tour camisole de force pour me brimer ou cordes serrées pour me torturer.
Faîtes clinquer votre briquet
Et passez moi les couilles à la flamme insoutenable !!!
Je m’agite et je hurle
Ne m’entendez-vous pas ?
Je suis votre chose que vous retournez
Vos doigts sans gant partent se souiller à l’intérieur de mon cul.
Je suis comme puceau de ce côté-là
Bien-sur… god…
Mais votre main entière qui me rentre et m’encule
C’est une soumission sans précèdent
Une humiliation dans la douleur et dans les larmes
Et faîtes gicler cette merde qui vous coule aux poignets
Vous êtes si bonne maîtresse que vos allers et venus sont des crépitements insensés où se mêle un plaisir innéfable avec la sensation d’être ouvert par un bazooka !!!
Prenez-moi !
Qu’importe le reste !
Foutez-moi dans votre cave encore et encore
Que j’y dorme
Que je m’y ennuis
Que j’y craigne ce qui grouille la nuit et qui monte sur mon corps nu gelé
Que je respire la moisissure de vos bois et l’odeur dégueulasse de votre paille où tout un peuple d'hommes et de femmes soumis ont fini par y chier et pisser.
J’y sens même le pestilentiel de la gerbe que vous avez provoquée à un irréductible souillon que vous aviez bourré à la folie avec vos comparses. J’imagine sans le voir votre rire et votre entonnoir poussé au fond du gosier du malheureux. Et vos litres d’alcool mélangés. Et la pisse et le sperme d'esclave à avaler aussi. Vous ne reculez devant rien, surtout devant ceux qui vous narguent je le sais bien.
Cette paille sur laquelle mes pieds et mains attachés à de lourdes chaînes doivent trouver position pour dormir
Prenez-moi,
Je suis à bout !
Sortez votre fouet bull-whip si il vous plaît.
Celui pour votre cheval. Je le crains tellement que j'en pisserai sous moi de vous voir avec.
La symphonie claquante de votre cuir sur moi
Fera l’effet d’un serpent qui s’enroule autour de mes fesses et me pique et me brûle.
Fouettez-moi jusqu’à mon épuisement :
Devant, sur la poitrine et le sexe
J’en suis affolé !
Et derrière mon dos, mes cuisses et mon cul martyrisé.
Putain...
Selon votre desir,
Que je m’en évanouisse de douleur
Et selon votre excitation
Que vous me pissiez sur la gueule.
photos persos- dévotion totale
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les fesses gagneraient à se mucler
et puis les posts sont bien écrits
si je vous avais sous la main, je vous ferai valser
una maitresse amatrice de 56 ans
noel.ensemble@gmail.com