Evidemment vous savez déjà tout ça...
Je loue d’abord votre intelligence. Vos raisonnements taillés dans du marbre. Froids et solides.
Je loue celle qui lit les mots et qui en saisit le sens jusqu’aux lettres.
Je loue, celle enflammée, que rien n’arrête et que si peu perturbe.
Je loue celle qui paraît et la reine dedans. Je la loue de tout mon cœur contrit. Je la loue car dans mon orgueil, j’ai ce feu qui s’agite profondément en moi, qui vient de je ne sais où, et qui me traverse de toutes part comme si je n’était qu’une feuille balancée par le vent. Ce feu qui m’unit à vous. Pardon. Il me semble dans un orgueil éhonté vous comprendre mieux qu’aucun autre. Il me semble parfois vous percevoir. Oui vous comprendre. Je ne sais si l’on vous comprend et qui vous connaît vraiment. Par je ne sais qu’elle magie. Une compréhension aséxué, inimagée, sans discernement. Rien d’autre que vous. Il me semble respirer par votre bouche vos espoirs, vos desepoirs. C’est une coupe fraîche à mes lèvres. Une hallucination céleste… mais c’est un feu intérieur. Je ne le décide pas. Je vous lis. Je vous lis attentivement. Et parfois (...). Et une étincelle. Et tout s'embrase. Et je sors de là un litre de sueur au front et au dos.
Mais vous saviez déjà tout ça.
Je vous lis. Toute l’armée de couillons la queue à la main que j’imagine attendre son tour sur MSN pour vous parler. Cette armée dont vous décrivez les affres. Les fuyards, les mythos, les vantards… Oui j’ai mon ticket à prendre dans cette queue là… lamentable ! Je suis lamentablement à inscrire dans cette colonie.
Et dans cette queue là je serai le pseudo-intello. Je serai celui qui vous comprend le mieux. Je serai meilleur que les autres.
"C'est une flaque d'eau qui se prend pour la
mer"
Ah ! Vous connaissez la vantardise des hommes. Je serai aussi passablement con que ceux-là qui disent vous comprendre et qui y croient. Je serai un couillon dans cette queue là.
Il me prend à rêver, pour une première MSN, dans la spontanéité du propos, vous illuminer, vous surprendre comme parfois sur ce blog, vous amuser comme parfois m’aviez vous dit sur ce blog. Il me prend à rêver qu’un rideau de fumée se lève et que celui-ci ajour un feu imprévisible. Imprévisible que je suis. Un feu délicieux.
Moi je mesure chaque chose que je reçois de vous. Je fais attention à tout. Rien n'échappe à ma mémoire. Chaque mot, chaque chose. Et tout est reçu comme un honneur.
Moi je vous aime, je vous adore. Les mots ne sont pas galvaudés.
Voilà que je recommence…
Mais vous saviez déjà tout ça… ma vantardise comme celle des autres. Les autres qui pensent être meilleurs que les
autres. Ah ! je suis bien de ceux-là…
Moi je.
Moi je..
Moi je...
"T’as qu’à la voir la frime quand tu te prends pour qui, quand tu te crois bien"
_________________________________________________________________________________
/note/
_________________________________________________________________________________
Mai 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | 4 | |||||||
5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | ||||
12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | ||||
19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | ||||
26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | |||||
|
Commentaires