La figue, également en italien (fica/figa), peut être la métaphore du sexe féminin.
Pour moi, et selon ce qu’un producteur m’a donné, elle ressemble davantage à un paquet de couilles.
Comme ce fruit à la particularité d’être non-autogame, chacun tirera ses propres conclusions. Les miennes, en photos, à venir. Pour le meilleur…
Et quand vous fermerez les yeux pour une dernière fois maîtresse, reine de Saba,
Tout ne semblera t-il pas futile et dépassé ?
Poursuite du vent...
Les moments de nos vies, les bons, les mauvais, nos envies ?
Tout ne sera-t-il plus qu’un tendre souvenir ?
Et l’idée de l’après que voilà,
Et la vieillesse et la jeunesse et nos amours,
Tout finalement ne sera-t-il plus qu’un tendre souvenir, le sourire en coin ?
D’un feu qui brûlait dont il ne reste que quelques cendres qui s’éteignent
Et pourquoi tout ça ?
Pourquoi ne nous sommes-nous jamais vraiment rencontré ? la paupière tremblante
Et qu’est-ce qui a le plus d’importance ?
Nos enfants qui nous suivent et qui nous voient partir
Quelle grâce que la vie nous laisse de passer le témoin
Et comme les témoins sont beaux
Et comme le jour qui se lèvera
Ressemble déjà à celui qui vous a enfanté
Ô ténèbres… « je vous emporte dans mon sarcophage »
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* YHVH
Ce sont les initiales du Dieu de la Bible apparaissant à moïse. Il s'appelle : "JE SUIS".
Concept vertical à toute religion.
Bref, intro pour le moins légère avec ce qui va suivre.
Il y a 6-7 ans j'étais en conflit avec mon propriétaire. Je ne voulais rien lâcher et lui était si pingre qu'il laissait littéralement sa maison s'écrouler.
Mon voisin (qui avait le même propriétaire et qui était en meilleur terme avec lui) m'a rapporté une phrase descriptive de l'idée que mon propriétaire se faisait de moi. Il m'appelait :
"le petit con prétentieux les mains dans les poches".
Je n'ai oublié aucun mot. Tous était bien placés (bien que "con" signifie un peu tout à la fois). Ce n'est pas une moquerie que je fais de mon propriétaire, bien au contraire. Ni de moi.
Il s'agit simplement d'un portrait, d'une facette de moi. Je l'assume et m'y retrouve. C'était tel que je lui apparaissais... C'est limpide !
Serais-je utile à maîtresse ?
A part mes compétences en informatiques et en technicien du son, je ne vois pas.
Peut-être objet de tortures, mais là je n’apporte rien de singulier.
Alors je réponds non.
Serais-je un romantique du SM ?
J’ai déjà répondu. Je note d’avance que je ne suis pas DU TOUT dans le milieu SM, il ne me connaît pas et vice versa.
Ensuite romantique au sens moyenâgeux, oui. Mourir pour une cause. Ma cause : maîtresse Trinity.
Lancelot et Guenièvre.
Serais-je un contemplatif ?
Oui, totalement. Donc là encore totalement inutile.
Mais contemplatif dans les moments de paix, sinon je serais vraiment un anti-contemplatif haineux.
Et le dégueulis je le coucherai sur le papier.
Mais comme Stendhal qui parcourait l’Italie flamboyante de la renaissance un carnet à la main. Que j’aime vaquer et écrire. M’ouvrir sans tabou toutes les portions de l’âme. Seule la prise en main de sa liberté (maîtresse trinity), son souffle vivifiant a emporté en moi toute mon adhésion. Pas que ses fesses, mais je n’ignore rien de ses fesses. Je l’écris en long en large et en travers, mais peut-être m’essoufflais-je. Je ne le crois pas homme du néolithique le silex à la main, j’ai des étincelles parfois. Oui donc, c’est ce qui transpire d’elle qui me remet en cause profondément. Je livrerai des pans supplémentaires de ma vie prochainement, expliquer ce que je suis, pour comprendre le chemin que je poursuis. Si ce n’était que de la flagornerie je jetterai tout cela à la poubelle. Je peux être fanfaron, et dans ce blog qui me représente partiellement, il ne peut en être autrement, mais ici, là, depuis le siége de secrétaire Ikea d’où je vous parle, je me dénude. Tentative originelle, originale. Tentative, comprenez bien. Maîtresse, je vous aime, comprenez bien. Aussi subitement.
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Et dire que je me croyais fort
Si tôt tirées les premières lames
Les vêtements aux pieds
Le premier sein pincé
Le premier sifflet de fouet
Le bruit noir et écoeurant de la claquette
Qui se balade et qui claque sur la tige de fibre de verre
Aussitôt les premiers tremblements
Aux jambes et le palpitant
Le premier effroi
Le premier « qu’est-ce que je fous là »
Sa cravache de notaire
T’incendiera la croupière
Et si plaisir, le corps tout entier
La bite rouge
Le paquet de couille voudrait s’enterrer dans son sac
Tellement tout le mord
Et je perds toute dignité
qu’est-ce que je fous là
qu’est-ce que je fous là
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Ils/ elles sont nombreux à m’avoir apporté leur avis. Commenté une photo, un texte. Je lis et les laisses tous mais ne réponds jamais ou presque.
J’ai recensé tout ces gens très divers avec leurs remarques en tout genre et j’ai mis un astérisque devant ceux/celles auquel(le)s j’ai répondu.
Dezing, Divine*, Fabrice, Maîtresse Daphnée, Lilipute, Stefa, Eric Sikova, Sarko, BA106, Rocky soumis, Cidoine, lili*, Sofiane, Jerem33, Sotor, Damien*, Edouarddnj*, jotisia, philon, decale44, Jennifer*, Frank, Farida44, jtc, love life, Larve à maîtresse, Gilles, DD, MD (domina toulouse), enculator, dipol, Comédia, 072585, Coralie*, Tito, deco, Arno, Minou, Aimé, Adéltahir, Victoire Dieng, Sapo, Stephane Boissier, Mhzs, John, Sandrine Ricard, pedopsy, lope à soumettre, Marc Marloneau, Guillaume Alder (interviewer de maîtresse), Yacine (photo orgie Romaine 2007)*, Caline, Cleb.
3 seulement avec qui j'ai eu un échange valable.
Je leur souhaite tous et toutes de bien se faire enculer !
Je navigue à vue
Et à lire certains commentaires et/ou email
Certains sont largués en mer.
De mon respect le plus édifiant, le plus sincère, le plus profond
Succède par moments des saloperies
Semblant entacher les hommages délivrés peu avant.
Je suis un homme contrasté
Et tout ce que j’écris
De bien de mal, d’horrible de tendre,
Sont des pierres issues du même mur.
Un mur devenant flaque d’eau
Je sais l’image est nase
Devant son intelligence et sa beauté.
Un mur raide comme une érection
Devant son intelligence et sa beauté.
Voyez,
Il s’agit toujours de sa beauté et de son intelligence
Mais pour autant vous comprenez la diversité de mes sentiments.
Pour maîtresse je veux être entier.
Entier, entier.
Je l’aime de tout mon coeur
Je l’adore
Elle me répugne
Je la déteste.
Tout pareil.
Des mots, des sentiments, enroulés autour d' un même cercle, ensembles.
Ce qui demeure dans cette diversité et sans mauvais jeu de mot
« Maîtresse est mon buisson ardent »
J’aurai mieux fait de ne pas évoquer le jeu de mot, suis couillon…
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