Lundi 18 mai 1 18 /05 /Mai 11:05




Vous tissez rouge sur ma peau

Maîtresse Trinity

De bord à bord,

de plis à plis.

Et qu’importe

mes cris :

Il y a un sang pour tout.

Julien pour Maîtresse

Par julien - Publié dans : SALLE DES TORTURES
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Dimanche 17 mai 7 17 /05 /Mai 20:05


|||L|E|||B|L|O|C|||N|O|T|E|||D|E|||M|A|Î|T|R|E|S|S|E|||T|R|I|N|I|T|Y|||


Suivant ce qu'elle a ecrit le 06 Fevrier 2009 dans son bloc note, maîtresse nous renseigne sur sa personnalité et ses goûts. Particuliérement dans ses reponses au questionnaire de Proust. J'ai retenu un petit peu tout dans les recoins de ma mémoire mais, point trop n'en faut, je n'en renseignerai ici que deux aspects remarquables. Quoiqu'il me plairait à souligner que Rabelais écrirait sans doute une ode gargantuesque à celle qui en plus d'avoir "une tête bien faîte" s'avére avoir une "tête bien pleine". Ce en quoi elle me surpasse en tous points et surpasse de loin la bave de crapeaux échouée ça et là par divers internautes dans des forums de discussions à la con et des blogs et sites persos si pôôôvres.

Elle m'en dégouterait de regarder autre chose qu'elle-même tellement sa LUMINOSITE efface toutes la médi-OCRE-ité du world wide web. La "web", c'est elle qui la tisse, et pour cause !

Bref,
le premier aspect

Proust : Quel serait votre plus grand malheur ? Maîtresse : Top secret.


Quel pourrait être ce grand malheur ?

1) Mourir ?
Maîtresse me fendrait le visage en me rappelant que c'est le sort des vivants. Cette réponse ne serait d'aucune finesse car c'est la réponse de tout le monde et, à moins de considérer que maîtresse est comme tout le monde...
2) Vieillir ?
Pareillement. Bien que ******** ********* **** *********** **********.
3) Son secret révélé ?
Et bien quoi ? Querrez donc auprés d'un autre quelconque pareille information car qui vous dit que j'en ai la moindre idée ?
4) Qu'il arrive quelque chose à sa fille ?
5) Que son chateau, sa vie, soient révélés au grand jour ?
6) Perdre la mémoire et devoir tout réapprendre ?
7) Que le Saint-Emilion ait le goût de pisse ?



Je cherche dans ce qui pourrait l'atteindre, ce qu'elle pourrait être. Car derriére cette réponse il pourrait s'y trouver un indice supplémentaire à découvrir ce qu'elle est. Et dans ce qu'elle EST je veux mourir. Au propre. Au figuré. Même si ce qu'elle EST n'assassine pas. C'est là toute la finesse élégante....

Mais dans cette exercice (à trouver le "grand malheur") où j'apparais surement ridicule, je ressemble au petit poucet qui séme ses cailloux. Mais, foi de ogresse, je sais qui me boufferait pour avoir eu autant de maladresse !

Rien à ajouter.


Le second,
Proust : Personnages historiques que vous méprisez le plus
Maîtresse : Adolphe Thiers.


Rien à ajouter.


Par julien - Publié dans : ADORATIONS
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Jeudi 14 mai 4 14 /05 /Mai 10:55

MERCREDI 13 MAI 2009






dernier jour pour les saints de glace.





et, allez savoir pourquoi,
dernier jour également pour la "lune rousse"






sources images : lune = google divers ; alaska = memoclic.com
Par julien - Publié dans : TE ENCULO
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Jeudi 14 mai 4 14 /05 /Mai 08:54

J’ai besoin de savoir où,

Et quand.

Comment était-elle assise déjà ?

J’ai le souvenir qui enfle ma joue

Et balafre mon corps

J’ai besoin de savoir

Comme pour le revivre

Comme un parent torturé revit toutes les nuits l’idée qu’il se fait du calvaire de son fils

Là, le souvenir il s’élève vivant comme un pilier d’esthète

En m’ouvrant la porte de ce sous-sol

 les odeurs rémanentes

La froide terreur de cette nuit là

Où elle se tenait là, dans l’ombre menaçante

Assise me fixant

Puis debout, perchée au dessus des chaînes

Avec ses fouets, ses pinces, ses cordes, ses joujoux


Je veux revivre ces moments là, laissez-moi respirer

Elle n’y est plus, mais moi je suis encore là

Je l’ai vécu j’en ai le souvenir ému

Ce foin sur le sol humide était ma chambre

Ce bol en plastique était mon abreuvoir

Et je m’abreuvais de sa pisse

Moqueuse, ricaneuse, humiliante

Mais en même temps soleil inextinguible

Femme inatteignable

Quiconque la placerait sur un piédestal et en ferait une icône

Une sainte-sadiqk

Tomberait de haut

Elle est femme, humaine, elle a ses faiblesses

Elle a ses hésitations

Elle n’est pas comme vous croyez

Elle n’est pas ce que vous pouvez imaginer

ni sa douceur, sa violence, sa perversité salope

ni son goût du jeu

Elle m’a fait crier

Elle aimait ça, je crois

Elle s’en donnait à cœur joie

parfois impressionnait plus qu’elle ne faisait

Mais ce qu’elle faisait déchirait

Et ma voix finissait éraillé

maîtresse trinity - somptueuse - serpente - sadique

Et elle perçait, elle recommençait

Aiguilles fines après aiguilles fines

Elle scrutait

Elle aimait ma douleur

Elle était heureuse de me l’affliger

Elle avait ses hésitations aussi vous dis-je

Terribles

je craignais qu'elle ne maitrisa pas le sujet

et que sa folie l'égare et qu'elle me brule, me fouette, m'étrangle et que je meurs

terribles hésitations

mais pires au final, sa terrible dexterité à m'affliger

et à me fouetter tout le corps de bas en haut

j'en ai perdu la respiration

et elle n'a jamais perdu le nord malgré l'excitation qui l'a traversé


La nuit, la chaleur et sa perversité tremblante

Elle était branlante

Elle officiait de cuir vêtu

Je crois qu’elle a beaucoup hésité

Quand son fer au feu marinait

Pour marquer de sa cruauté mes malheureuses fesses offertes

Elle a aimé me mordre

Elle a aimé me tordre les seins à me les déformer

Transpercés et ulcérés, ils gouttaient rouges dans ses gants noirs

Et elle les tordait encore

J’ai aimé son parfum tout prés

Elle a retiré son haut et m’a collé ses seins

Faisaient des ronds autour de ma poitrine

Ils rougissaient

Jamais elle n’aurait pu m’aimer plus d’une minute

Mais son baiser avait le goût de la cendre et le goût d’elle

C’était enivrant

Si je vous répétais qu’elle est si différente me comprendriez-vous ?

Elle est une fable et chacun est libre d’y croire

J’ai chaussé mes bottes de sept lieux et je l’ai suivi

Voudriez vous voir les marques du fer ?

Mais l’a-t-elle simplement offert aux prémices incendiaires ?

En se régalant de mon corps enchaîné tournoyant sur lui-même pour fuir son feu ?

M’a-t-elle brûlé par endroit seulement et couvert du sel de son rire humiliant les multiples pics de brûlures ?


Je voudrais maîtresse m’offrir entièrement à votre démon

Intégralement à votre déraison

J’aurai toujours devant vous la naïveté du débutant

les balbutiements du froussard

et les atermoiements du supplicié qui refuse

même quand il sera trop tard

pour qui désirerait fuir les boucles de métal qui cercleraient pieds et poings

rat de laboratoire

qu’elle scruterait, démone,

serais le triste invité dans les terrains bourbeux de l’enfer


Bienvenue puceau

puceau des vices

des vices pointus

des vices dans ton cul

que maîtresse déteste

ton cul d’homme

à lécher L déteste

mais elle aime à s’avilir

si belle si chienne

et me régale tant que possible à élargir les ronds jusqu’à lécher mes fesses toutes entiéres

et le haut du dos

si embrasantes voluptés

et finalement se délecte d’aller si loin jusqu’à la

merde

que je finisse par en jouir par le cul

perdue dans les nervures anales éclosent sous sa bouche ravageuse

qui fouille, perfore et n’en peut plus d’allers et venus précipités

au rythme tachycardique

son souffle haletant buait le fond de mon cul,

de bonheur, rosisait de la couleur de ses lévres

son souffle déchaîné

elle me bouffe

me bouffe

mon petit trou

quelle grace, quelle grace, du bout des lévres, du bout de la langue

profondément réptilienne

quelle grace ! quelle grace ! quelle grace !

suspendu à ses lévres j'étais la femme qui venait d'accoucher et oublier ls douleurs précédentes du travail

j'étais de celle que l'accouchement rend victorieuse

et je jouissais

ma candeur et mon éducation coincée ne vous dévoilent tous les pans de cette extase

j'étais victorieuse

les doigts

nombreux, trop

souillés, léchés

j'étais victorieuse

et maîtresse : un aspic

mais je savais... que tout se paye


maîtresse est une reine de contrastes

et son con il a faillit m’étouffer

et son anus a bouffer aussi

m’étouffé

ce qu’elle aimait, mais ça sans doute vous ne pouviez l’ignorer

maintenant que vous voyez

ce sous-sol et entendez mes horreurs, mon bonheur

et mon souffle coupé

vous racontez ces deux jours

et cette heure du jeudi

et celle du vendredi

où maîtresse a daigné poser la main les doigts sur moi


et

j’ai baigné dans les orties

oui nu, les couilles consumées par les urtica urens, une espece d’orties brulante qu’elle cultivait pour les hommes dans son jardin en haut

et elle m’a excité tout le corps alors que mes liens interdisaient toutes défenses

elle remplissait la pièce que voilà de son rire sadique

on l’aurait dit de plus en plus experte de mes douleurs les minutes passants

et prenaient gare à faire toujours plus mal crescendo

et rechargeaient de nouvelles plantes quand les premiéres étaient des lambeaux verts et rouges sur mon corps

et éparpillés sur la paille

l’attente était mon beffroi

ses pas sur la pierre mouillée quand elle redescendait

les mains pleines de plantes

sonnait mon beffroi


comprenez-vous qu’elle est insaisissable ?

j’ai dit, j’ai beaucoup dit mais jamais son image ne s’est figé en moi

et j’ai gardé éloigné les prétentions de la connaître sans même l’avoir entendu

j’ai beaucoup dit, j’ai beaucoup pensé mais jamais illusionné

M’entendez-vous maîtresse ? Entendez-vous le chant du fond de ma gorge et de mon âme, je ne peux pas me tromper sur vous en ne vous ayant jamais figé dans la pierre, piedestalé, *****, ******. Je m’étais affranchi de toutes duperies. Les miennes. Les vôtres. Les autres. Maîtresse du jeu. Du Je. Vous me comprenez si bien…

et quand j’ai pensé l’avoir saisi

dans ce qui la meut intérieurement

et qui s’articule en débordant sur ses lévres suaves

saisit dans tout ce que son être fédère d’ombre et clarté

et bien … c’est à ce moment qu’elle m’a torturé

et qu’un voile sur moi s’est posé

elle s’est envolé

dans les plaisirs, le vice et la volupté

et quand elle m’a relâché

J’étais un aveugle errant, enfant nu, lâché au Bouscat, humilié, éreinté, la tête vide

Jamais vous ne me comprendrez

le bruit que fait un fantôme quand il vous abandonne

 

 

J’ai besoin de tout savoir

 

source image : maîtresse Trinity

Par julien - Publié dans : SALLE DES TORTURES - Communauté : SECRETS INTIMES SEXE SM EXHIB
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Lundi 11 mai 1 11 /05 /Mai 19:45


J’ai commencé une analyse psychanalytique du blog de maîtresse

(j'y reviendrai)

Bien-sur, comme son nom l’indique, avec beaucoup de vanité

Me lançant dans ce projet j’ai levé des tombereaux

Exhumé des lettres mortes

Et me suis émerveiller des roses et épines parsemées dans son expression :


Mon Dieu qu’elle est femme !


Mon Dieu, parfaite !


Non dans ce qu’elle est, vermisseau

Mais dans ce qu’elle EST

Elle EST

Et quand je la trouve

Je SUIS


Et je tombe ma condition

J’aimerai qu’elle me voie ainsi nu

Pour me coller contre *** comme un papier calque

Car dans ma nudité parfaite je ne fais qu’un avec ce qu’elle EST.


photo : le plus réussi des "montages" que j'ai réalisé. Sa poitrine habille les mots tout autour (à moins que ça ne soit l'inverse) et son regard leur donne le sens de l'évidence (n'est-ce pas évident ?).

Par julien - Publié dans : ADORATIONS
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Dimanche 10 mai 7 10 /05 /Mai 17:17

 



Fumez

Fumez

Maîtresse

Fumez

Par mes trous de nez.

Chère adorée

 

Fumez

Mon corps

Vous m’avez mis le cul en enfer

Je siége

Par où je fume

Par le siége

Par les cierges

Les saintes.

 

Je fume

Vous me fumez

Par la bouche

Par la bite

Bout rouge.

Cigarette ?

 

illustration nc

Par julien - Publié dans : ADORATIONS
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Dimanche 10 mai 7 10 /05 /Mai 14:01




Avant de poster un nouveau message je fais une prosternation intellectuelle devant maîtresse. Eviter un traintrain des messages, du fonctionnement du blog. Ne jamais écrire sans avoir à dire quelque chose. Réfléchir à l’utilité de ce message dans l’autel. Et enfin qu’il soit moi.

Qu'il soit moi pour elle.

 

Je prends tous les droits sur ce blog. Y compris, comme Voltaire le suggéra qu’on le rajoute à la nouvelle constitution, puis Tzara, le droit de me contredire. Tous les droits. Celui d’être nase, prétentieux, cruel… voire celui d’être bon. Celui de me démasquer et de faire tomber tous les voiles. Celui de tout expérimenter, je ne connais tellement rien.

Je ne veux me passer d'aucun.

 

Mais avant tout PRENDRE TOUS LES DROITS A BRAS LE CORPS c’est celui de franchir les caps du possible, du conventionnel. Maîtresse m’a aidé en bien des occasions, d’abord en m’accordant toutes les libertés. Toutes. Je les prends toutes quitte à tout saccager ! Quitte à la décevoir, oui. Quitte à l’éblouir, si je peux oui. Et c’est pourquoi ce blog perdure, et c’est par elle, pour elle, qu’il va flamboyer de 1000 feux.

 

Je ne veux décidemment pas d’un blog impersonnel et/ou insipide.

 

Je veux l’hommage le plus grand à maîtresse

Par tous les biais que je trouve

Qui m’inspirent

Et que je connaisse.

 

Sans restriction à mon imagination

Sans limite à ma morale

Sans frein au réel non plus.

Par julien - Publié dans : JULIEN
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Samedi 9 mai 6 09 /05 /Mai 08:17

 

Maîtresse

Je suis subite

Je

Vous

Vous êtes la flamme naissante

Un incendie


Je me réjouis au brasier de me brûler un peu

 

Je serai subite autant que je le peux

Même si un fantôme méconnu

Lève les voiles

Au premier coup de vent venu            ........

Qu’il envoie son drap en pleine figure

Avec gracilité pour ne pas froisser

Et que s’en allant

Je reste là pleurant

Son parfum volant dans la pièce

Je ne mérite rien

Je le sais

 

J’ai la vanité aigue

Qui me souffle queue

Je vous connais quelque part

Et quelque part c’est ailleurs.


Par julien - Publié dans : ADORATIONS
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Vendredi 8 mai 5 08 /05 /Mai 03:41



Cette sueur j’en suis esclave.


Cette sueur qui luit sous votre aisselle me donne une fringale sexuelle dévastatrice.

Je voudrais m’enivrer de votre sueur et que vous refermiez votre bras sur moi.


Le galbe de ce sein parfait en dessous et sa veine bleuté qui le traverse, son téton érigé est un appel à ma bouche. Saisir votre sein à pleine main c’est saisir le cœur en dessous et le coeur de mon propos serait de vous dévaster tellement, tellement, mon trouble s’en trouverait immense.


A la faveur de la fragrance forte qui effleure votre peau je forerai de ma langue comme sous votre peau pour m’enivrer encore et trouver votre saveur originele débarrassée des effluves qui la troublent. Aussi bon que sente votre Hermès, aussi forte votre cigarette, jamais pour moi ne vaudra ce qui émane de votre corps vivant, mouvant, suant merveilleusement.


Il y a plus de vous dans votre merde et votre pisse que dans tout ce qui vous habille. Dans votre merde et votre pisse je trouverais votre fragrance I****, elle saoulerai mon bonheur et défigurerai ma bite prisonnière de son pantalon tant dans ce moment là il pourrait sembler trop court.


Dans votre baiser une saveur tabac, je ne saurai m’en contenter sans vous manger l’intérieur de votre bouche et boire la salive naissante sous votre langue, fouiller l’intérieur de vos joues et remonter jusqu’au palais où nos langues batailleraient, sublimes, incontrôlées. La sodomie, elle commence là. Le don de vous commence là, dans la charge sexuelle de nos salives échangées, dans l’imprégnation de votre saveur véritable qui me coule dans la gorge comme un filet d’huile. Parfait onguent. J’ai le goût de vous. Honneur et gloire. J’ai le goût d’********* et donnez-moi encore de vos divines émanation que ma langue tournoyante débusque jusque sur vos amygdales mygales, que ma langue affolée comme mon rythme cardiaque, comme je n’en peux plus de vous serrer et comme je veux ce soir déchirer les mystères de la vie. Avec vous. Par vous. Vous griffer, vous mordre, vous prendre, vous faire mal,

si mal. Et du bien,

si bien.


C’est la naissance du monde. Une bouchée d’éternité. Une gravité sous mes pieds, abandonnée. Une cuisante pointe incandescente qui excite cœur, con et bite. Votre palais, un encensoir, mon corps un brasier qui vous brûle avant qu’il ne soit que cendres. 


Oh maîtresse que vous êtes belle.


Ce mot là vous habite.

Par julien - Publié dans : ADORATIONS
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Mercredi 6 mai 3 06 /05 /Mai 16:06

Magnifique. Sensuelle. Dévastatrice. La beauté l'habite.

 


Quel insistant bonheur tapageur

Que celui de revenir à l’expression simple

Et directe

De ma dévotion à maîtresse Trinity.

 

J’ai peut-être beaucoup écrit ces derniers temps

Mais j’ai si peu dit.

Je veux délier les mots coincés dans ma gorge

Libérer mon expression

Pour dire tout ce qui m’habite.

 

Je vais ouvrir grandes les fenêtres

De l’autel.

 

Ce n’est pas maladif, ce n’est pas puéril. J’en étudie de près et en conscience les mécanismes. Si beaucoup m’échappe, cette adoration n’appartient pas à de basses catégories. Et si c’était le cas d’ailleurs je m’en foutrais. Je me régale d’écrire tout à maîtresse  avec passion. Dégorger tout ce que j’ai de meilleur en moi pour le lui offrir.

Qu’importe tout le reste.

Je lui dédie chaque mot.

Mon inspiration toute entière lui est dédiée.

C’est un vase clôt  parfait qui me fait m’abreuvoir à ses mots, à ce qu’elle transparaît, à ce que je ressens profondément

Pour les lui jeter comme bouquet de fleurs.

Puis je repars m’abreuver et fleurir de nouveaux textes, de nouvelles idées.


 

Ô maîtresse comme j’ai envie

De tellement mieux faire

De repartir de zéro

Car tout n’était que brouillon

Et vous exprimer tout ce qui bouillonne

Que votre grâce,

Votre intelligence

Votre perspicacité

M’accaparent

Me tranchent en deux

Tant vous êtes tant …


Par julien - Publié dans : AMOROSA
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Mercredi 6 mai 3 06 /05 /Mai 07:45




J’ai été accaparé par l’écriture du 4éme livre. Plus que je ne l’aurai pensé. Son articulation a sans cesse changé car je trouvais toujours quelque chose à modifier. Je trouve aujourd’hui encore qu’il pourrait être remanié et largement amélioré. Je reviendrai sur l’écriture du texte plus tard.

En attendant, il y avait longtemps que je n’avais pas permis à mon blog dédié de s’offrir une respiration.

Alors je respire avec lui.

Un jour sans message.

Sans message lourd.

Respirez aussi.

Il n’y a rien de mieux que de respirer l'oxygene sous l’aisselle de maîtresse quand celle-ci sue.

Quel délice je vais vous raconter. Tout ce qui m’a traversé quand j’ai vu cette photo. Je l’ai consigné par écrit le jour de son arrivée. Elle m’a transporté. Et toute la nuit sur chacune d’elles j’ai laissé mon inspiration expirer et souffler sur le papier.

Maîtresse… quel honneur que d’avoir ces photos !

Je me suis essayé à quelques photos "artistiques" aussi.

 

Mais aussi je viendrai vous parler

Je n’ose encore

D’une chose qui pourrait faire interdire ce blog

Ce que j’ai reçu m’accable

De tous les maux

Et m’accable de tous les vices.

 

Il faudra bien que le rideau se lève.

Et il se lèvera

Avec horreur

Bientôt.

Par julien - Publié dans : ADORATIONS
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Lundi 4 mai 1 04 /05 /Mai 17:19



Je veux m’évanouir, tellement persécuté.


Montés tous quatre et à l’étroit sur l’échafaudage on me demandait de ne pas gesticuler en me passant des cordes à chaque poignée. A la quatrième vitesse tout se passa ! Par un tourniquet placé de côté les deux cordes se tendaient vers le plafond m’obligeant à écarter et lever symétriquement mes bras jusqu’à ce que je me trouve sur la pointe des pieds. Mes pieds justement Francis les ferrés. Une fois à la limite de me tenir sur la pointe des pieds, la traction qui élevait mes bras stoppa net pour que maîtresse trinity saisisse mon pied droit, le colle à la fesse droite et l’immobilisa par une sorte de tendeur métallique, puis de même le pied gauche à ma fesse gauche. Immobilisés. Un fil de fer galvanisé passa dans chacun des interstices intérieurs de mes genoux. L’effroi me saisit et mouilla de sueur mon front et mon dos quand je vis que ces fils étaient  reliés à deux crochets situés à droite et à gauche du pal en contrebas. Ils serviraient de fil à plomb pour me passer à l’aguille du pal de manière parfaitement verticale.

Rectiligne.

Encastrer le cul.

Je restais suspendu en l’air tiré par les bras. J’avais déjà mal. Francis actionna une autre poulie pour me faire avancer vers le pic bandé. Je fermais les yeux et des spasmes de terreur me parcouraient tout le corps. Maîtresse Trinity voyant que le manége avait pris s’en trouvait fort excité et en faisant pivoter mon corps tenu par les câbles me rentra violemment un doigt dans l’anus. Puis deux. Puis trois. Je m’agitais avec fureur. Ce n’était pas la douleur de l’écartèlement, c’était la peur de mourir. Puis me retournant face à elle, elle fut prise d’une frénésie inattendue. Elle m’embrassa le sein droit. Passa une langue attentionnée sur le téton. Je n’avais aucun plaisir surtout que son souffle répandue sur ma peau était si accélérée qu’on pouvait l’imaginer avoir fait le 100 mètres. C’était l’excitation folle qui lui faisait tourner le sang ! Elle n’en pouvait plus et mordit à pleines dents ma poitrine. Je gueulais tant surpris que supplicié. La folle s’accrocha à mon téton avec une telle furie qu’une horrible sensation de déchirement accompagnait les petites giclées de sang qui coulaient de sa bouche. Je gesticulais comme un demeuré que j’étais. Maîtresse passa à l’autre sein se passant de toute sensualité cette fois pour me vider l’autre sein de tout son sang. « Salope ! Sale pute ! » Je sentais un doigt de nouveau se faufiler dans mon cul et c’est la crevure de maîtresse Isabelle qui me garnissait le cul de piments. Dés la première poussée, j’entrais en combustion. En combustion par les seins et par l’anus. Les tétons extirpés par ses dents sans pitié, je crevais. J’aurai deux trous rouges qui couleront jusqu’à mon sexe et je pleurerai comme le Christ. Lâché de mes assaillantes, je mouvais comme un désarticulé au dessus du pal. Francis essaya de m’immobiliser tant bien que mal en cerclant mon ventre de ses bras musclés. Maîtresse m’orientait le cul pour procéder à l’empalement avec bave aux commissures.

 

Ce pal de bois pour moi apprêté était tellement acéré qu’au passage de mes fesses au dessus de lui, le bout du pic m’a strié jusqu’au sang. Ce qui a ravi maîtresse quand, enfin fixé, elle m’a enfiché la pointe dans l’anus en contemplant mes soubresauts. Pointe dont mon anus est l’écrou. Déjà la déchirure anale abreuve le pal de fines coulées rouge se mélangeant subtilement au rouge Bhut Jolokia qui tente de s’échapper dans des poussées vinaigrées (Il fallait faire vite, pensait-elle, avant que tout le feu et les piments ne m’aient quitté. Leurs délicieuses fontes sont un feu de joie !). Et plus je pousse, plus mon cul s’ouvre et plus le pal millimètre par millimètre se fraye le chemin de mon rectum. Les feux de brûlures intenses, inimaginables, sont des braises rouges coincés dans le rectum et me percent l’estomac. Mon ventre alors lui aussi s’est mis à chanter.

 

 

Maîtresse rapidement assuré que mon corps était suffisamment bien fixé est redescendue de l’échafaudage et se tenait face à moi à deux mètres environ. Contemplant la saillie. Francis lui s’activait sur les poulies qui entraînaient mes pieds vers le bas afin que je passai par le fil du pal rectilignement. L’ignominie de ma fin me faisait vomir. Les endorphines inondaient les cellules de mon cerveau pour tenter de calmer les douleurs anales. Peine perdue, je vais crever dans un supplice volcanique. Sans force, je fermais les yeux pour une dernière fois.


 

 


"" Brutalement la sensation était trop vive.

Voir ce chien essayer de s’extirper du pal qui le défonçait m’excita au plus haut point. Il dandinait sur une braise et éructait de fumées noires que si j’y songeais je voyais sortir de tout son corps mourant.

N’y tenant plus je me suis mis à quatre pattes devant le spectacle et j’ai exigé qu’on me batte. Vite qu’on me batte !

Maîtresse Isabelle sorti du coté de sa botte deux tiges de bambous fines et se servit d’une pour me mettre une puissante volée. Je voyais cet esclave crever et un rêve s’accomplissait. Je lui hurlais « plus fort ! plus fort ! » même si mes bras peinaient à me porter sous une giclée appuyée de bambou.

Je contemplais les mille souffrances de Julien et crevait littéralement sous les coups qui me tringlaient le cul. Je hurlais et me maintenait les fesses bien ouvertes pour Isabelle. Avec fracas la tige se cassa sur mon derrière rouge sang. Elle s’assit à mes côtés et se fraya un chemin jusqu’à l’anus pour m’enfoncer, sans que je ne l’y ait autorisé, une graine de piment. Mais ma pensée était folle et s’accouplait à la sienne.

Un flot d’adrénaline inondait mon cerveau comme pour mon accouchement. L’anus me brûlait et le ventre aussi. Les yeux me piquaient.

La deuxième tige de bambou s’abattit sur mes fesses et je tombais quasi inconsciente sur le sol tellement Isabelle frappa démesurément.. Elle avait tapé tellement fort ! A moins que ce ne soit l’émotion. C’est si bon ! C’est si douloureux ! Mon Dieu que j’ai mal pour lui. Il est mort déjà. Que j’ai mal. Que le cul me brûle.

Isabelle me voyant les yeux plein de larmes reprit avec déraison la branlée qu’elle avait commencé. Je valdinguais et suppliais de stopper. Elle pleuvait de force et de tyrannie sur mon dos mes côtes et les hauts de mes jambes incendiées. Je lui suppliais sans formuler des mots comme jamais je n’ai fait depuis mon apprentissage.

J’ai souffert comme jamais. Le cul en sang et en feu, les cotes cassées le dos strié en sang également.

Je voyais le pic de l’empalé pleuvoir son sang également. Je tombais d’inanition pour de bon mais je crois qu’elle m’a frappé longtemps encore, même si mon corps ne répondait plus que par des soubresauts mécaniques. Et son deuxième bambou s’est cassé.

Elle aurait pu me tuer.

Je me suis réveillé dans la chambre au premier étage sous des soins qu’elle me prodiguait.

Isabelle était nue. Comme je l’étais.

Elle était pleine de grasse. Me passant un linge pharmaceutique humide sur le dos et les fesses. Elle m’a embrassé. Nous avons fusionné comme la terre et la lave. Comme tout ce qui était de bon en moi fusionnait avec tout ce qui était de mauvais en elle.

Je l’ai embrassé, bouleversée encore de tout ce qui se passait. Isabelle ne faisait qu’une. La grosse, la laide, la magnifique, la déesse. Des instants de voluptés insensés après cette montagne d’horreur ou le corps de l’homme gisait encore pantelant sur le poteau. Ces instants dépassent dans sa frénésie, sa beauté, son ignominie tout ce que tout le monde peut imaginer.

Jamais la vie ne m’a fait plus jouir.

Je suis folle, folle. Je suis tellement … et je me laisse faire… Je suis folle. Mon cœur veut sortir de ma poitrine. Je ne l’ai même pas vu expiré que j’expirais moi-même. Quelle beauté ! Quelle beauté ! Son baiser sur mes seins. Ma main se perd dans son humidité et je me fais du bien. Ô. Ô Ô Ô Ô… ""


 

...


Comme un damné je me trémoussais quand à deux doigts de perdre la raison et m’évanouir une giclée de coups de fouets surgirent de partout. Maîtresse Isabelle. Je perdais la tête et rapidement m’évanouissait pour mourir.

...

Par julien - Publié dans : BACCHANALES
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