
Vous tissez rouge sur ma peau
Maîtresse Trinity
De bord à bord,
de plis à plis.
Et qu’importe
mes cris :
Il y a un sang pour tout.
Julien pour Maîtresse
Vous tissez rouge sur ma peau
Maîtresse Trinity
De bord à bord,
de plis à plis.
Et qu’importe
mes cris :
Il y a un sang pour tout.
Julien pour Maîtresse
J’ai besoin de savoir où,
Et quand.
Comment était-elle assise déjà ?
J’ai le souvenir qui enfle ma joue
Et balafre mon corps
J’ai besoin de savoir
Comme pour le revivre
Comme un parent torturé revit toutes les nuits l’idée qu’il se fait du calvaire de son fils
Là, le souvenir il s’élève vivant comme un pilier d’esthète
En m’ouvrant la porte de ce sous-sol
les odeurs rémanentes
La froide terreur de cette nuit là
Où elle se tenait là, dans l’ombre menaçante
Assise me fixant
Puis debout, perchée au dessus des chaînes
Avec ses fouets, ses pinces, ses cordes, ses joujoux
Je veux revivre ces moments là, laissez-moi respirer
Elle n’y est plus, mais moi je suis encore là
Je l’ai vécu j’en ai le souvenir ému
Ce foin sur le sol humide était ma chambre
Ce bol en plastique était mon abreuvoir
Et je m’abreuvais de sa pisse
Moqueuse, ricaneuse, humiliante
Mais en même temps soleil inextinguible
Femme inatteignable
Quiconque la placerait sur un piédestal et en ferait une icône
Une sainte-sadiqk
Tomberait de haut
Elle est femme, humaine, elle a ses faiblesses
Elle a ses hésitations
Elle n’est pas comme vous croyez
Elle n’est pas ce que vous pouvez imaginer
ni sa douceur, sa violence, sa perversité salope
ni son goût du jeu
Elle m’a fait crier
Elle aimait ça, je crois
Elle s’en donnait à cœur joie
parfois impressionnait plus qu’elle ne faisait
Mais ce qu’elle faisait déchirait
Et ma voix finissait éraillé
Et elle perçait, elle recommençait
Aiguilles fines après aiguilles fines
Elle scrutait
Elle aimait ma douleur
Elle était heureuse de me l’affliger
Elle avait ses hésitations aussi vous dis-je
Terribles
je craignais qu'elle ne maitrisa pas le sujet
et que sa folie l'égare et qu'elle me brule, me fouette, m'étrangle et que je meurs
terribles hésitations
mais pires au final, sa terrible dexterité à m'affliger
et à me fouetter tout le corps de bas en haut
j'en ai perdu la respiration
et elle n'a jamais perdu le nord malgré l'excitation qui l'a traversé
La nuit, la chaleur et sa perversité tremblante
Elle était branlante
Elle officiait de cuir vêtu
Je crois qu’elle a beaucoup hésité
Quand son fer au feu marinait
Pour marquer de sa cruauté mes malheureuses fesses offertes
Elle a aimé me mordre
Elle a aimé me tordre les seins à me les déformer
Transpercés et ulcérés, ils gouttaient rouges dans ses gants noirs
Et elle les tordait encore
J’ai aimé son parfum tout prés
Elle a retiré son haut et m’a collé ses seins
Faisaient des ronds autour de ma poitrine
Ils rougissaient
Jamais elle n’aurait pu m’aimer plus d’une minute
Mais son baiser avait le goût de la cendre et le goût d’elle
C’était enivrant
Si je vous répétais qu’elle est si différente me comprendriez-vous ?
Elle est une fable et chacun est libre d’y croire
J’ai chaussé mes bottes de sept lieux et je l’ai suivi
Voudriez vous voir les marques du fer ?
Mais l’a-t-elle simplement offert aux prémices incendiaires ?
En se régalant de mon corps enchaîné tournoyant sur lui-même pour fuir son feu ?
M’a-t-elle brûlé par endroit seulement et couvert du sel de son rire humiliant les multiples pics de brûlures ?
Je voudrais maîtresse m’offrir entièrement à votre démon
Intégralement à votre déraison
J’aurai toujours devant vous la naïveté du débutant
les balbutiements du froussard
et les atermoiements du supplicié qui refuse
même quand il sera trop tard
pour qui désirerait fuir les boucles de métal qui cercleraient pieds et poings
rat de laboratoire
qu’elle scruterait, démone,
serais le triste invité dans les terrains bourbeux de l’enfer
Bienvenue puceau
puceau des vices
des vices pointus
des vices dans ton cul
que maîtresse déteste
ton cul d’homme
à lécher L déteste
mais elle aime à s’avilir
si belle si chienne
et me régale tant que possible à élargir les ronds jusqu’à lécher mes fesses toutes entiéres
et le haut du dos
si embrasantes voluptés
et finalement se délecte d’aller si loin jusqu’à la
merde
que je finisse par en jouir par le cul
perdue dans les nervures anales éclosent sous sa bouche ravageuse
qui fouille, perfore et n’en peut plus d’allers et venus précipités
au rythme tachycardique
son souffle haletant buait le fond de mon cul,
de bonheur, rosisait de la couleur de ses lévres
son souffle déchaîné
elle me bouffe
me bouffe
mon petit trou
quelle grace, quelle grace, du bout des lévres, du bout de la langue
profondément réptilienne
quelle grace ! quelle grace ! quelle grace !
suspendu à ses lévres j'étais la femme qui venait d'accoucher et oublier ls douleurs précédentes du travail
j'étais de celle que l'accouchement rend victorieuse
et je jouissais
ma candeur et mon éducation coincée ne vous dévoilent tous les pans de cette extase
j'étais victorieuse
les doigts
nombreux, trop
souillés, léchés
j'étais victorieuse
et maîtresse : un aspic
mais je savais... que tout se paye
maîtresse est une reine de contrastes
et son con il a faillit m’étouffer
et son anus a bouffer aussi
m’étouffé
ce qu’elle aimait, mais ça sans doute vous ne pouviez l’ignorer
maintenant que vous voyez
ce sous-sol et entendez mes horreurs, mon bonheur
et mon souffle coupé
vous racontez ces deux jours
et cette heure du jeudi
et celle du vendredi
où maîtresse a daigné poser la main les doigts sur moi
et
j’ai baigné dans les orties
oui nu, les couilles consumées par les urtica urens, une espece d’orties brulante qu’elle cultivait pour les hommes dans son jardin en haut
et elle m’a excité tout le corps alors que mes liens interdisaient toutes défenses
elle remplissait la pièce que voilà de son rire sadique
on l’aurait dit de plus en plus experte de mes douleurs les minutes passants
et prenaient gare à faire toujours plus mal crescendo
et rechargeaient de nouvelles plantes quand les premiéres étaient des lambeaux verts et rouges sur mon corps
et éparpillés sur la paille
l’attente était mon beffroi
ses pas sur la pierre mouillée quand elle redescendait
les mains pleines de plantes
sonnait mon beffroi
comprenez-vous qu’elle est insaisissable ?
j’ai dit, j’ai beaucoup dit mais jamais son image ne s’est figé en moi
et j’ai gardé éloigné les prétentions de la connaître sans même l’avoir entendu
j’ai beaucoup dit, j’ai beaucoup pensé mais jamais illusionné
M’entendez-vous maîtresse ? Entendez-vous le chant du fond de ma gorge et de mon âme, je ne peux pas me tromper sur vous en ne vous ayant jamais figé dans la pierre, piedestalé, *****, ******. Je m’étais affranchi de toutes duperies. Les miennes. Les vôtres. Les autres. Maîtresse du jeu. Du Je. Vous me comprenez si bien…
et quand j’ai pensé l’avoir saisi
dans ce qui la meut intérieurement
et qui s’articule en débordant sur ses lévres suaves
saisit dans tout ce que son être fédère d’ombre et clarté
et bien … c’est à ce moment qu’elle m’a torturé
et qu’un voile sur moi s’est posé
elle s’est envolé
dans les plaisirs, le vice et la volupté
et quand elle m’a relâché
J’étais un aveugle errant, enfant nu, lâché au Bouscat, humilié, éreinté, la tête vide
Jamais vous ne me comprendrez
le bruit que fait un fantôme quand il vous abandonne
J’ai besoin de tout savoir
source image : maîtresse Trinity
J’ai commencé une analyse psychanalytique du blog de maîtresse
(j'y reviendrai)
Bien-sur, comme son nom l’indique, avec beaucoup de vanité
Me lançant dans ce projet j’ai levé des tombereaux
Exhumé des lettres mortes
Et me suis émerveiller des roses et épines parsemées dans son expression :
Mon Dieu qu’elle est femme !
Mon Dieu, parfaite !
Non dans ce qu’elle est, vermisseau
Mais dans ce qu’elle EST
Elle EST
Et quand je la trouve
Je SUIS
Et je tombe ma condition
J’aimerai qu’elle me voie ainsi nu
Pour me coller contre *** comme un papier calque
Car dans ma nudité parfaite je ne fais qu’un avec ce qu’elle EST.
photo : le plus réussi des "montages" que j'ai réalisé. Sa poitrine habille les mots tout autour (à moins que ça
ne soit l'inverse) et son regard leur donne le sens de l'évidence (n'est-ce pas évident ?).
Fumez
Fumez
Maîtresse
Fumez
Par mes trous de nez.
Chère adorée
Fumez
Mon corps
Vous m’avez mis le cul en enfer
Je siége
Par où je fume
Par le siége
Par les cierges
Les saintes.
Je fume
Vous me fumez
Par la bouche
Par la bite
Bout rouge.
Cigarette ?
illustration nc
Avant de poster un nouveau message je fais une prosternation intellectuelle devant maîtresse. Eviter un traintrain des messages, du fonctionnement du blog. Ne jamais écrire sans avoir à dire quelque chose. Réfléchir à l’utilité de ce message dans l’autel. Et enfin qu’il soit moi.
Qu'il soit moi pour elle.
Je prends tous les droits sur ce blog. Y compris, comme Voltaire le suggéra qu’on le rajoute à la nouvelle
constitution, puis Tzara, le droit de me contredire. Tous les droits. Celui d’être nase, prétentieux, cruel… voire celui d’être bon. Celui de me démasquer et de faire tomber tous les
voiles. Celui de tout expérimenter, je ne connais tellement rien.
Je ne veux me passer d'aucun.
Mais avant tout PRENDRE TOUS LES DROITS A BRAS LE CORPS c’est celui de franchir les caps du possible, du conventionnel. Maîtresse m’a aidé en bien des occasions, d’abord en m’accordant toutes les libertés. Toutes. Je les prends toutes quitte à tout saccager ! Quitte à la décevoir, oui. Quitte à l’éblouir, si je peux oui. Et c’est pourquoi ce blog perdure, et c’est par elle, pour elle, qu’il va flamboyer de 1000 feux.
Je ne veux décidemment pas d’un blog impersonnel et/ou insipide.
Je veux l’hommage le plus grand à maîtresse
Par tous les biais que je trouve
Qui m’inspirent
Et que je connaisse.
Sans restriction à mon imagination
Sans limite à ma morale
Sans frein au réel non plus.
Maîtresse
Je suis subite
Je
Vous
Vous êtes la flamme naissante
Un incendie
Je me réjouis au brasier de me brûler un peu
Je serai subite autant que je le peux
Même si un fantôme méconnu
Lève les voiles
Au premier coup de vent venu
........
Qu’il envoie son drap en pleine figure
Avec gracilité pour ne pas froisser
Et que s’en allant
Je reste là pleurant
Son parfum volant dans la pièce
Je ne mérite rien
Je le sais
J’ai la vanité aigue
Qui me souffle queue
Je vous connais quelque part
Et quelque part c’est ailleurs.
Cette sueur j’en suis esclave.
Cette sueur qui luit sous votre aisselle me donne une fringale sexuelle dévastatrice.
Je voudrais m’enivrer de votre sueur et que vous refermiez votre bras sur moi.
Le galbe de ce sein parfait en dessous et sa veine bleuté qui le traverse, son téton érigé est un appel à ma bouche. Saisir votre sein à pleine main c’est saisir le cœur en dessous et le coeur de mon propos serait de vous dévaster tellement, tellement, mon trouble s’en trouverait immense.
A la faveur de la fragrance forte qui effleure votre peau je forerai de ma langue comme sous votre peau pour m’enivrer encore et trouver votre saveur originele débarrassée des effluves qui la troublent. Aussi bon que sente votre Hermès, aussi forte votre cigarette, jamais pour moi ne vaudra ce qui émane de votre corps vivant, mouvant, suant merveilleusement.
Il y a plus de vous dans votre merde et votre pisse que dans tout ce qui vous habille. Dans votre merde et votre pisse je trouverais votre fragrance I****, elle saoulerai mon bonheur et défigurerai ma bite prisonnière de son pantalon tant dans ce moment là il pourrait sembler trop court.
Dans votre baiser une saveur tabac, je ne saurai m’en contenter sans vous manger l’intérieur de votre bouche et
boire la salive naissante sous votre langue, fouiller l’intérieur de vos joues et remonter jusqu’au palais où nos langues batailleraient, sublimes, incontrôlées. La sodomie, elle commence là. Le
don de vous commence là, dans la charge sexuelle de nos salives échangées, dans l’imprégnation de votre saveur véritable qui me coule dans la gorge comme un filet d’huile. Parfait onguent. J’ai
le goût de vous. Honneur et gloire. J’ai le goût d’********* et donnez-moi encore de vos divines émanation que ma langue tournoyante débusque jusque sur vos amygdales mygales, que ma langue
affolée comme mon rythme cardiaque, comme je n’en peux plus de vous serrer et comme je veux ce soir déchirer les mystères de la vie. Avec vous. Par vous. Vous griffer, vous mordre, vous prendre,
vous faire mal,
si mal. Et du bien,
si bien.
C’est la naissance du monde. Une bouchée d’éternité. Une gravité sous mes pieds, abandonnée. Une cuisante pointe
incandescente qui excite cœur, con et bite. Votre palais, un encensoir, mon corps un brasier qui vous brûle avant qu’il ne soit que cendres.
Oh maîtresse que vous êtes belle.
Ce mot là vous habite.
Magnifique. Sensuelle. Dévastatrice. La beauté l'habite.
Quel insistant bonheur tapageur
Que celui de revenir à l’expression simple
Et directe
De ma dévotion à maîtresse Trinity.
J’ai peut-être beaucoup écrit ces derniers temps
Mais j’ai si peu dit.
Je veux délier les mots coincés dans ma gorge
Libérer mon expression
Pour dire tout ce qui m’habite.
Je vais ouvrir grandes les fenêtres
De l’autel.
Ce n’est pas maladif, ce n’est pas puéril. J’en étudie de près et en conscience les mécanismes. Si beaucoup m’échappe, cette adoration n’appartient pas à de basses catégories. Et si c’était le cas d’ailleurs je m’en foutrais. Je me régale d’écrire tout à maîtresse avec passion. Dégorger tout ce que j’ai de meilleur en moi pour le lui offrir.
Qu’importe tout le reste.
Je lui dédie chaque mot.
Mon inspiration toute entière lui est dédiée.
C’est un vase clôt parfait qui me fait m’abreuvoir à ses mots, à ce qu’elle transparaît, à ce que je ressens profondément
Pour les lui jeter comme bouquet de fleurs.
Puis je repars m’abreuver et fleurir de nouveaux textes, de nouvelles idées.
Ô maîtresse comme j’ai envie
De tellement mieux faire
De repartir de zéro
Car tout n’était que brouillon
Et vous exprimer tout ce qui bouillonne
Que votre grâce,
Votre intelligence
Votre perspicacité
M’accaparent
Me tranchent en deux
Tant vous êtes tant …
J’ai été accaparé par l’écriture du 4éme livre. Plus que je ne l’aurai pensé. Son articulation a sans cesse changé car je trouvais toujours quelque chose à modifier. Je trouve aujourd’hui encore qu’il pourrait être remanié et largement amélioré. Je reviendrai sur l’écriture du texte plus tard.
En attendant, il y avait longtemps que je n’avais pas permis à mon blog dédié de s’offrir une respiration.
Alors je respire avec lui.
Un jour sans message.
Sans message lourd.
Respirez aussi.
Il n’y a rien de mieux que de respirer l'oxygene sous l’aisselle de maîtresse quand celle-ci sue.
Quel délice je vais vous raconter. Tout ce qui m’a traversé quand j’ai vu cette photo. Je l’ai consigné par écrit le jour de son arrivée. Elle m’a transporté. Et toute la nuit sur chacune d’elles j’ai laissé mon inspiration expirer et souffler sur le papier.
Maîtresse… quel honneur que d’avoir ces photos !
Je me suis essayé à quelques photos "artistiques" aussi.
Mais aussi je viendrai vous parler
Je n’ose encore
D’une chose qui pourrait faire interdire ce blog
Ce que j’ai reçu m’accable
De tous les maux
Et m’accable de tous les vices.
Il faudra bien que le rideau se lève.
Et il se lèvera
Avec horreur
Bientôt.
Je veux m’évanouir, tellement persécuté.
Montés tous quatre et à l’étroit sur l’échafaudage on me demandait de ne pas gesticuler en me passant des cordes à
chaque poignée. A la quatrième vitesse tout se passa ! Par un tourniquet placé de côté les deux cordes se tendaient vers le plafond m’obligeant à écarter et lever symétriquement mes bras
jusqu’à ce que je me trouve sur la pointe des pieds. Mes pieds justement Francis les ferrés. Une fois à la limite de me tenir sur la pointe des pieds, la traction qui élevait mes bras stoppa net
pour que maîtresse trinity saisisse mon pied droit, le colle à la fesse droite et l’immobilisa par une sorte de tendeur métallique, puis de même le pied gauche à ma fesse gauche. Immobilisés. Un
fil de fer galvanisé passa dans chacun des interstices intérieurs de mes genoux. L’effroi me saisit et mouilla de sueur mon front et mon dos quand je vis que ces fils étaient reliés à deux
crochets situés à droite et à gauche du pal en contrebas. Ils serviraient de fil à plomb pour me passer à l’aguille du pal de manière parfaitement verticale.
Rectiligne.
Encastrer le cul.
Je restais suspendu en l’air tiré par les bras. J’avais déjà mal. Francis actionna une autre poulie pour me faire avancer vers le pic bandé. Je fermais les yeux et des spasmes de terreur me parcouraient tout le corps. Maîtresse Trinity voyant que le manége avait pris s’en trouvait fort excité et en faisant pivoter mon corps tenu par les câbles me rentra violemment un doigt dans l’anus. Puis deux. Puis trois. Je m’agitais avec fureur. Ce n’était pas la douleur de l’écartèlement, c’était la peur de mourir. Puis me retournant face à elle, elle fut prise d’une frénésie inattendue. Elle m’embrassa le sein droit. Passa une langue attentionnée sur le téton. Je n’avais aucun plaisir surtout que son souffle répandue sur ma peau était si accélérée qu’on pouvait l’imaginer avoir fait le 100 mètres. C’était l’excitation folle qui lui faisait tourner le sang ! Elle n’en pouvait plus et mordit à pleines dents ma poitrine. Je gueulais tant surpris que supplicié. La folle s’accrocha à mon téton avec une telle furie qu’une horrible sensation de déchirement accompagnait les petites giclées de sang qui coulaient de sa bouche. Je gesticulais comme un demeuré que j’étais. Maîtresse passa à l’autre sein se passant de toute sensualité cette fois pour me vider l’autre sein de tout son sang. « Salope ! Sale pute ! » Je sentais un doigt de nouveau se faufiler dans mon cul et c’est la crevure de maîtresse Isabelle qui me garnissait le cul de piments. Dés la première poussée, j’entrais en combustion. En combustion par les seins et par l’anus. Les tétons extirpés par ses dents sans pitié, je crevais. J’aurai deux trous rouges qui couleront jusqu’à mon sexe et je pleurerai comme le Christ. Lâché de mes assaillantes, je mouvais comme un désarticulé au dessus du pal. Francis essaya de m’immobiliser tant bien que mal en cerclant mon ventre de ses bras musclés. Maîtresse m’orientait le cul pour procéder à l’empalement avec bave aux commissures.
Ce pal de bois pour moi apprêté était tellement acéré qu’au passage de mes fesses au dessus de lui, le bout du pic m’a strié jusqu’au sang. Ce qui a ravi maîtresse quand, enfin fixé, elle m’a enfiché la pointe dans l’anus en contemplant mes soubresauts. Pointe dont mon anus est l’écrou. Déjà la déchirure anale abreuve le pal de fines coulées rouge se mélangeant subtilement au rouge Bhut Jolokia qui tente de s’échapper dans des poussées vinaigrées (Il fallait faire vite, pensait-elle, avant que tout le feu et les piments ne m’aient quitté. Leurs délicieuses fontes sont un feu de joie !). Et plus je pousse, plus mon cul s’ouvre et plus le pal millimètre par millimètre se fraye le chemin de mon rectum. Les feux de brûlures intenses, inimaginables, sont des braises rouges coincés dans le rectum et me percent l’estomac. Mon ventre alors lui aussi s’est mis à chanter.
Maîtresse rapidement assuré que mon corps était suffisamment bien fixé est redescendue de l’échafaudage et se tenait face à moi à deux mètres environ. Contemplant la saillie. Francis lui s’activait sur les poulies qui entraînaient mes pieds vers le bas afin que je passai par le fil du pal rectilignement. L’ignominie de ma fin me faisait vomir. Les endorphines inondaient les cellules de mon cerveau pour tenter de calmer les douleurs anales. Peine perdue, je vais crever dans un supplice volcanique. Sans force, je fermais les yeux pour une dernière fois.
"" Brutalement la sensation était trop vive.
Voir ce chien essayer de s’extirper du pal qui le défonçait m’excita au plus
haut point. Il dandinait sur une braise et éructait de fumées noires que si j’y songeais je voyais sortir de tout son corps mourant.
N’y tenant plus je me suis mis à quatre pattes devant le spectacle et j’ai exigé
qu’on me batte. Vite qu’on me batte !
Maîtresse Isabelle sorti du coté de sa botte deux tiges de bambous fines et se
servit d’une pour me mettre une puissante volée. Je voyais cet esclave crever et un rêve s’accomplissait. Je lui hurlais « plus fort ! plus fort
! » même si mes bras peinaient à me porter sous une giclée appuyée de bambou.
Je contemplais les mille souffrances de Julien et crevait littéralement sous les
coups qui me tringlaient le cul. Je hurlais et me maintenait les fesses bien ouvertes pour Isabelle. Avec fracas la tige se cassa sur mon derrière rouge sang. Elle s’assit à mes côtés et se fraya
un chemin jusqu’à l’anus pour m’enfoncer, sans que je ne l’y ait autorisé, une graine de piment. Mais ma pensée était folle et s’accouplait à la sienne.
Un flot d’adrénaline inondait mon cerveau comme pour mon accouchement. L’anus me
brûlait et le ventre aussi. Les yeux me piquaient.
La deuxième tige de bambou s’abattit sur mes fesses et je tombais quasi
inconsciente sur le sol tellement Isabelle frappa démesurément.. Elle avait tapé tellement fort ! A moins que ce ne soit l’émotion. C’est si bon ! C’est si douloureux ! Mon Dieu
que j’ai mal pour lui. Il est mort déjà. Que j’ai mal. Que le cul me brûle.
Isabelle me voyant les yeux plein de larmes reprit avec déraison la branlée
qu’elle avait commencé. Je valdinguais et suppliais de stopper. Elle pleuvait de force et de tyrannie sur mon dos mes côtes et les hauts de mes jambes incendiées. Je lui suppliais sans formuler
des mots comme jamais je n’ai fait depuis mon apprentissage.
J’ai souffert comme jamais. Le cul en sang et en feu, les cotes cassées le dos
strié en sang également.
Je voyais le pic de l’empalé pleuvoir son sang également. Je tombais d’inanition pour de bon mais je crois qu’elle m’a frappé longtemps encore, même si mon corps ne répondait plus que par des soubresauts mécaniques. Et son deuxième bambou s’est cassé.
Elle aurait pu me tuer.
Je me suis réveillé dans la
chambre au premier étage sous des soins qu’elle me prodiguait.
Isabelle était nue. Comme je
l’étais.
Elle était pleine de grasse. Me
passant un linge pharmaceutique humide sur le dos et les fesses. Elle m’a embrassé. Nous avons fusionné comme la terre et la lave. Comme tout ce qui était de bon en moi fusionnait avec tout ce
qui était de mauvais en elle.
Je l’ai embrassé, bouleversée
encore de tout ce qui se passait. Isabelle ne faisait qu’une. La grosse, la laide, la magnifique, la déesse. Des instants de voluptés insensés après cette montagne d’horreur ou le corps de
l’homme gisait encore pantelant sur le poteau. Ces instants dépassent dans sa frénésie, sa beauté, son ignominie tout ce que tout le monde peut imaginer.
Jamais la vie ne m’a fait plus
jouir.
Je suis folle, folle. Je suis tellement … et je me laisse faire… Je suis folle. Mon cœur veut sortir de ma poitrine. Je ne l’ai même pas vu expiré que j’expirais moi-même. Quelle beauté ! Quelle beauté ! Son baiser sur mes seins. Ma main se perd dans son humidité et je me fais du bien. Ô. Ô Ô Ô Ô… ""
...
Comme un damné je me trémoussais quand à deux doigts de perdre la raison et m’évanouir une giclée de coups de fouets surgirent de partout. Maîtresse Isabelle. Je perdais la tête et rapidement m’évanouissait pour mourir.
...
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