Lundi 4 mai 1 04 /05 /Mai 17:19



Je veux m’évanouir, tellement persécuté.


Montés tous quatre et à l’étroit sur l’échafaudage on me demandait de ne pas gesticuler en me passant des cordes à chaque poignée. A la quatrième vitesse tout se passa ! Par un tourniquet placé de côté les deux cordes se tendaient vers le plafond m’obligeant à écarter et lever symétriquement mes bras jusqu’à ce que je me trouve sur la pointe des pieds. Mes pieds justement Francis les ferrés. Une fois à la limite de me tenir sur la pointe des pieds, la traction qui élevait mes bras stoppa net pour que maîtresse trinity saisisse mon pied droit, le colle à la fesse droite et l’immobilisa par une sorte de tendeur métallique, puis de même le pied gauche à ma fesse gauche. Immobilisés. Un fil de fer galvanisé passa dans chacun des interstices intérieurs de mes genoux. L’effroi me saisit et mouilla de sueur mon front et mon dos quand je vis que ces fils étaient  reliés à deux crochets situés à droite et à gauche du pal en contrebas. Ils serviraient de fil à plomb pour me passer à l’aguille du pal de manière parfaitement verticale.

Rectiligne.

Encastrer le cul.

Je restais suspendu en l’air tiré par les bras. J’avais déjà mal. Francis actionna une autre poulie pour me faire avancer vers le pic bandé. Je fermais les yeux et des spasmes de terreur me parcouraient tout le corps. Maîtresse Trinity voyant que le manége avait pris s’en trouvait fort excité et en faisant pivoter mon corps tenu par les câbles me rentra violemment un doigt dans l’anus. Puis deux. Puis trois. Je m’agitais avec fureur. Ce n’était pas la douleur de l’écartèlement, c’était la peur de mourir. Puis me retournant face à elle, elle fut prise d’une frénésie inattendue. Elle m’embrassa le sein droit. Passa une langue attentionnée sur le téton. Je n’avais aucun plaisir surtout que son souffle répandue sur ma peau était si accélérée qu’on pouvait l’imaginer avoir fait le 100 mètres. C’était l’excitation folle qui lui faisait tourner le sang ! Elle n’en pouvait plus et mordit à pleines dents ma poitrine. Je gueulais tant surpris que supplicié. La folle s’accrocha à mon téton avec une telle furie qu’une horrible sensation de déchirement accompagnait les petites giclées de sang qui coulaient de sa bouche. Je gesticulais comme un demeuré que j’étais. Maîtresse passa à l’autre sein se passant de toute sensualité cette fois pour me vider l’autre sein de tout son sang. « Salope ! Sale pute ! » Je sentais un doigt de nouveau se faufiler dans mon cul et c’est la crevure de maîtresse Isabelle qui me garnissait le cul de piments. Dés la première poussée, j’entrais en combustion. En combustion par les seins et par l’anus. Les tétons extirpés par ses dents sans pitié, je crevais. J’aurai deux trous rouges qui couleront jusqu’à mon sexe et je pleurerai comme le Christ. Lâché de mes assaillantes, je mouvais comme un désarticulé au dessus du pal. Francis essaya de m’immobiliser tant bien que mal en cerclant mon ventre de ses bras musclés. Maîtresse m’orientait le cul pour procéder à l’empalement avec bave aux commissures.

 

Ce pal de bois pour moi apprêté était tellement acéré qu’au passage de mes fesses au dessus de lui, le bout du pic m’a strié jusqu’au sang. Ce qui a ravi maîtresse quand, enfin fixé, elle m’a enfiché la pointe dans l’anus en contemplant mes soubresauts. Pointe dont mon anus est l’écrou. Déjà la déchirure anale abreuve le pal de fines coulées rouge se mélangeant subtilement au rouge Bhut Jolokia qui tente de s’échapper dans des poussées vinaigrées (Il fallait faire vite, pensait-elle, avant que tout le feu et les piments ne m’aient quitté. Leurs délicieuses fontes sont un feu de joie !). Et plus je pousse, plus mon cul s’ouvre et plus le pal millimètre par millimètre se fraye le chemin de mon rectum. Les feux de brûlures intenses, inimaginables, sont des braises rouges coincés dans le rectum et me percent l’estomac. Mon ventre alors lui aussi s’est mis à chanter.

 

 

Maîtresse rapidement assuré que mon corps était suffisamment bien fixé est redescendue de l’échafaudage et se tenait face à moi à deux mètres environ. Contemplant la saillie. Francis lui s’activait sur les poulies qui entraînaient mes pieds vers le bas afin que je passai par le fil du pal rectilignement. L’ignominie de ma fin me faisait vomir. Les endorphines inondaient les cellules de mon cerveau pour tenter de calmer les douleurs anales. Peine perdue, je vais crever dans un supplice volcanique. Sans force, je fermais les yeux pour une dernière fois.


 

 


"" Brutalement la sensation était trop vive.

Voir ce chien essayer de s’extirper du pal qui le défonçait m’excita au plus haut point. Il dandinait sur une braise et éructait de fumées noires que si j’y songeais je voyais sortir de tout son corps mourant.

N’y tenant plus je me suis mis à quatre pattes devant le spectacle et j’ai exigé qu’on me batte. Vite qu’on me batte !

Maîtresse Isabelle sorti du coté de sa botte deux tiges de bambous fines et se servit d’une pour me mettre une puissante volée. Je voyais cet esclave crever et un rêve s’accomplissait. Je lui hurlais « plus fort ! plus fort ! » même si mes bras peinaient à me porter sous une giclée appuyée de bambou.

Je contemplais les mille souffrances de Julien et crevait littéralement sous les coups qui me tringlaient le cul. Je hurlais et me maintenait les fesses bien ouvertes pour Isabelle. Avec fracas la tige se cassa sur mon derrière rouge sang. Elle s’assit à mes côtés et se fraya un chemin jusqu’à l’anus pour m’enfoncer, sans que je ne l’y ait autorisé, une graine de piment. Mais ma pensée était folle et s’accouplait à la sienne.

Un flot d’adrénaline inondait mon cerveau comme pour mon accouchement. L’anus me brûlait et le ventre aussi. Les yeux me piquaient.

La deuxième tige de bambou s’abattit sur mes fesses et je tombais quasi inconsciente sur le sol tellement Isabelle frappa démesurément.. Elle avait tapé tellement fort ! A moins que ce ne soit l’émotion. C’est si bon ! C’est si douloureux ! Mon Dieu que j’ai mal pour lui. Il est mort déjà. Que j’ai mal. Que le cul me brûle.

Isabelle me voyant les yeux plein de larmes reprit avec déraison la branlée qu’elle avait commencé. Je valdinguais et suppliais de stopper. Elle pleuvait de force et de tyrannie sur mon dos mes côtes et les hauts de mes jambes incendiées. Je lui suppliais sans formuler des mots comme jamais je n’ai fait depuis mon apprentissage.

J’ai souffert comme jamais. Le cul en sang et en feu, les cotes cassées le dos strié en sang également.

Je voyais le pic de l’empalé pleuvoir son sang également. Je tombais d’inanition pour de bon mais je crois qu’elle m’a frappé longtemps encore, même si mon corps ne répondait plus que par des soubresauts mécaniques. Et son deuxième bambou s’est cassé.

Elle aurait pu me tuer.

Je me suis réveillé dans la chambre au premier étage sous des soins qu’elle me prodiguait.

Isabelle était nue. Comme je l’étais.

Elle était pleine de grasse. Me passant un linge pharmaceutique humide sur le dos et les fesses. Elle m’a embrassé. Nous avons fusionné comme la terre et la lave. Comme tout ce qui était de bon en moi fusionnait avec tout ce qui était de mauvais en elle.

Je l’ai embrassé, bouleversée encore de tout ce qui se passait. Isabelle ne faisait qu’une. La grosse, la laide, la magnifique, la déesse. Des instants de voluptés insensés après cette montagne d’horreur ou le corps de l’homme gisait encore pantelant sur le poteau. Ces instants dépassent dans sa frénésie, sa beauté, son ignominie tout ce que tout le monde peut imaginer.

Jamais la vie ne m’a fait plus jouir.

Je suis folle, folle. Je suis tellement … et je me laisse faire… Je suis folle. Mon cœur veut sortir de ma poitrine. Je ne l’ai même pas vu expiré que j’expirais moi-même. Quelle beauté ! Quelle beauté ! Son baiser sur mes seins. Ma main se perd dans son humidité et je me fais du bien. Ô. Ô Ô Ô Ô… ""


 

...


Comme un damné je me trémoussais quand à deux doigts de perdre la raison et m’évanouir une giclée de coups de fouets surgirent de partout. Maîtresse Isabelle. Je perdais la tête et rapidement m’évanouissait pour mourir.

...


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