Mercredi 29 avril 3 29 /04 /Avr 23:18


Maîtresse accompagnée de deux femmes revint vers moi. La première, cheveux longs et blonde, n’avait pas 20 ans et c’est presque toujours vers elle que se tournait maîtresse pour ricaner ou bavarder. Je devinas que c'était elle qui passait les plats. Elle avait le visage plein de douceur malgré ses yeux qui trahissaient des envies folles. La seconde était au contraire largement cinquantenaire, je la connaissais maintenant, c'était la grosse ! Elle était forte et une épaisse couche de graisse sortait de son ornement de cuir. Trop guindé. Si la jeune semblaient follement excitée à l’idée de ce qui se passait, la grosse me reluquait perversement et se tenait droit comme un pic. Maîtresse me parla en ces termes : « Je te présente esclave Ursula (alors la jeunette n’était même pas dominatrice. Etait-elle juste là pour témoigner auprès d’autres esclaves du théâtre insensé qui joue ce soir ? - et ecrire comme maîtresse me l'avait permis noël 2011 tout l'horreur de sa perversion). Elle aura plaisir à voir jusqu’où je peux aller pour ma jouissance. Puisque tu en doutais… » A ces mots Ursula rougit et regarda fixement par terre. Elle avait probablement irrité maîtresse Trinity en la mettant au défi. Divine reprit « Et je te présente maîtresse Isabelle. » Comme pour se moquer, maîtresse Isabelle avança d’un pas et fit une révérence théâtrale en se courbant du mieux qu’elle puisse et que ses bourrelets permettaient.

 

" Maintenant aussi, je voudrais te présenter soumis Francis qui travaillait à la BA106 de Mérignac jusqu'à sa fermeture. Il prépare à temps perdu des chiens pour des aveugles maintenant. Il aime les bonnes actions (maîtresse pouffa). Il est aussi un partouzeur invétéré. Il fait ses rencontres dans les bains douches de Bordeaux. Cela fait 3 semaines que je lui demande abstinence, et je crois pas qu’on puisse lui en demander plus pour l’instant. Je lui ai promis de lui offrir une paire de fesses dociles. Montre-toi docile Julien. » Silence. Puis gueulante : « Retourne-toi et montre lui ton cul ! ». Je n’ai pas eu le temps de tout saisir que le couillon retirait sa ceinture de guerrier, son treillis et ses vieilles chaussures. Je me retournais avec effroi. Je ne suis pas PD ! Sans prendre plus de manière délicate, dans lesquelles il échouerait de toute façon, je sentais son corps musclé prendre place derrière moi. Je restais prostré dans la boue dans laquelle il pataugeait aussi. Un doigt humide me força l’anus. Putain mon trou du cul en avait vu d’autres. Mais le dégoût que je ressentais resserra tant mes sphincters que même son doigt me fit très mal. Hélas ça n’était rien comparé à la bite énorme qui pointait déjà à l’orée du trou de balle. Une bite énorme ! Un frisson me parcouru l’échine en constatant à la louche l’immensité du gland qui butait sur mon cul et commençait à me forcer. Il allait me déchirer ! S’agrippant à mes côtes comme on le fait d’une femme, il plaça un violent coup de rein qui vint me déformer l’opercule. Il plaçait sa queue dans l’axe et comme il n’était pas dans l’axe, ce bourrin passait en force obligeant mon trou du cul à souffrir d’une contorsion phénoménale. Une pression constante me pressait l’anus maintenant. J’haletais tant et plus pressentant la douleur colossale. Sa pine se fraya un chemin dans l’orifice anal malgré la fermeture totale que je lui imposais. Un cri de douleur s’échappa quand il m’encula. Sa bite de connard déformasse littéralement le conduit et me forçate à relever plus mon cul pour qu’il ne me déchirate davantage. Sa bite était d’une longueur abominable et à la fin butait dans les cailloux de merde écrasés contre le fond de mon fion. Je craignis qu’il remonte jusqu’à la gorge tant j’avais mal. Lors du mouvement arrière il se sentit si en confiance qu’il imprégna directement un va et vient démentiel. Sa saloperie d’abstinence l’avait échauffé comme un fer rouge et il me limait avec une puissance incroyable, au point qu’à chaque fois qu’il s’écrasait au fond de mon cul j’imprimais un soubresaut de souffrance. J’étais étiré jusqu’au bide et foutu jusqu’à la gorge. Les deux maîtresses et l’esclave commentaient la joute. Francis maintenant ahanait et rapidement gicla son sperme sur mes matières fécales. Lesquels d’ailleurs ressortaient massivement de mon cul sitôt qu’il se fut retiré. Putain quelle humiliation. J’étais si saccagé que je sentais les flots de sang me taper dans les nervures de l’anus. Je me posais de côté à même la boue de peur que ne lui reprenne cette frénésie. Maîtresse Isabelle s’agenouilla à côté de moi et m’écarta une fesse. Elle repartit déçue et dit à maîtresse « il n’a même pas le cul ouvert. Et ça n’a duré que quelques minutes… ». Maîtresse s’adressa à la blonde, drôle de ballet : « et si on t’armait d’un god ceinture taille éléphant, tu irais lui déchirer le cul à cet animal (me montrant du coude à peine relevé et du regard) ». Je n’ai pas vu, ni entendu la réponse d’Ursula car tout devait se passer dans le regard ou dans l’attitude mais Divine rigola à pleins poumons suivie de prêt par maîtresse Isabelle. La blondinette restait muette.

A ce moment maîtresse Trinity menotta Ursula et la poussant au devant de moi dit :

 

« Voilà je ne t’ai pas trop abîmé pour que tu puisses t’amuser aussi. Ma bonté me perdra. » Et elle éclata de rire avec maîtresse Isabelle. Désemparé je m’approchais d’Ursula qui se tenait fière, sans montrer une once de peur. Maîtresse Isabelle renchérit «  Tu peux la tuer, tu ne seras pas poursuivi ! » Et elle pouffa comme une grosse qu’elle est. Opposant sa mocheté à la magnificence de maîtresse. Je me jeta sur la drolesse et la renversa pour la coucher dans la boue, comme j'étais. Je décidais sans savoir que faire de tirer les cheveux de l’esclave et faire bringuebaler sa tête dans tous les sens. Malgré ma dernière heure venue, je me montrais incapable d’imagination et me sentais, nu, démuni. Maîtresse Trinity s’approcha et me fixa avec un sourire enjoué « tu vas lui briser la nuque… Je te propose de la traîner avec moi jusqu’à la salle des festivités. " Pour faire bonne figure, je saisis la crinière de la belle et la traînais genoux dans la boue à mon dos comme un homme de croc-magnon que j’étais.

 

Quittant ce lieu boueux, je pénétrais dans une immense pièce lumineuse. Mon regard se troubla quand je vis au fond le pal dressé de 2 m de haut. Un pic de bois rouge au bout. J’ai cru mon cœur s’arrêter de battre pour de bon. Je voyais Reine la perversité dans l’élaboration de l’échafaudage qui entourait cet engin de mort. On avait construit tout ça dans le but d’assassiner quelqu’un, quelle folie ! Le maître chien se tenait sur la plate forme en hauteur. Entre deux cordes il ajustait des réglages. Ce plan de travail horizontal (qui permettrait de loger confortablement 3 personnes car vaste elle était) contrastait d’ailleurs avec le majestueux pal qui s’élevait tel un gros index vers les cieux. Je croyais voir l’obélisque (de la concorde) ramené en France par Napoléon sans bien savoir où iraient mes cendres à moi. Tout ça pour me faire crever ! Me crever. Par le cul. Cette préparation infâme, c’est dégueulasse ! J’avais la gorge nouée et j’avais envie de pleurer. Voyant mon cœur glacé maîtresse Trinity me dit « Et bien quoi ? Tu croyais que j’allais te farcir d’un quignon de pain et trois petits tours et puis s’en va ? » Elle retenait un rire nerveux et cruel en voyant ma mine déconfite. Elle reprit, tenant visiblement à ne pas rater sa fête à cause de saugrenues résistances : «  Ce n’est pas ton jour. Allons. »  Jamais elle ne m’a parlé avec un ton d’une telle complaisance. Je ne la croyais pas. Mais j’essayais de me persuader qu’à 52 on ne peut pas finir comme ça. Que c’est inhumain. Que je suis si **** de m’être ainsi donné en pâture. Que le diable s’habille en cuir et qu’il fouette les crédules, les naïfs, les simplets, les cons. Que je suis. Que je suis con. Mais je me répétais en traînant l'esclave qu’elle ne me tuerait pas. Au moins pas aujourd’hui. J'en arrivais presque à me convaincre et racle la blondasse !


Elle reprit la parole, en me voyant pensif et livide, en élevant le ton et avec agacement comme pour me réveiller : « Profite plutôt d’Ursula que de divaguer ! Je veux que tu me fasses honneur ! Je veux que tu la baises et que tu en fasses une merde rampante. ». Sur ce, elle m’arracha Ursula de la main en la prenant elle-même par ses cheveux. D’un grand coup de braquet elle ramenait la malheureuse à elle, manquant de peu de lui tomber le scalp. Ursula cria pour la première fois. Va s’en dire que ce n’était pas la dernière. Puis quelques mètres plus loin Trinity la laissa choir comme un vieux sac, la tête cognant violemment contre le sol. Elle dit effroyablement « je me demande si je ne veux pas qu’elle meurs aussi ». Maîtresse Isabelle se retourna aussi sec et pouffa de rire étonnement en marquant un non de la tête de droite à gauche. Comme si cela n’était pas possible. Comme si c’était trop. Comme si déjà, ici, tout n’était pas trop !

 

à suivre


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