Maîtresse inconnue Maîtresse intransigeante Maîtresse géniale
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Je l’aime, je l’aime
Ce mot a tellement été galvaudé. Il a tellement de sens du plus pure au plus désuet. Qu’entendez-vous dans cette expression ?
Je l’aime, je l’aime
A la Reimoise
Dans les romans, les poèmes, trop entendu parler. On aime on se marie par amour, on choisit depuis peu, savez vous ?
Je l’aime dans la soumission de tout ce qu’elle est
D’apparent et de caché
Quand je… JE ne suis plus. JE n’ai plus.
Maîtresse inconnue Maîtresse intransigeante Maîtresse géniale Mygale de mon ame Maîtresse, drame en noir En cuir, en peau En tout ce qui peut toucher Intrinsèquement
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Paint est mon ami.
Un misérable ami. C'est un logiciel si basique et pourtant il me permet des tas de choses. Je n'ai même pas la version améliorée Vista. J'ai beau être loin de photoshop, j'en tire le maximum. Je regrette la compression des images qui affadissent les couleurs. Les couleurs que je rajoute, mais surtout celles surnaturelles qui parent déesse. Maîtresse est si belle...
Mais aucun miroir ne reflète même son expression. Sans trucage aucun constatez la différence entre le visage
reflété et celui tourné vers l'objectif --> sur cette photo (e il y en a d'autres avec le miroir avec la même caractéristique) :
http://www.maitresse-trinity.com/Cercle.htm
Rien à faire ça n'est pas le même ! On pourra m'avancer la vitesse du diaphragme ou encore la partie différente du visage reflétée, rien n'y fait, elle est bien double, que dis-je multiple et impénétrable !
Le programme me sert à réaliser tous les montages photos. J'y prends beaucoup de plaisir. Il s'agit pour moi de montrer au mieux la flamboyance de maîtresse. Faire ressortir la magnificence de son regard, de son corps et surtout de son allure. Ce qui me marque doit ressortir mieux que ce pauvre objectif n'a pu. Maîtresse est un tout de toute façon et toutes les facettes de sa personne s'imbriquent les unes dans les autres pour qu'elle paraisse telle qu'elle est. Mon Dieu, il me manque sa voix, son p***** pour donner vie à l'ensemble.
Mes montages de feu et d'eau me dévoilent chaque fois plus votre beauté. A 38 plus qu'à 20, votre maturité, votre personne provoque un effet dévastateur chez moi. Je vous lis dans mes sombres nuits. Pas que par d'augustes mots que vous écrivez, non, par les traits de votre personne et ce qui s’échappe parfois. Vous brusquez ma nature d'homme par vos jeux. Vous séduisez et confondez mon homme intérieur qui balbutie et s'extasie. Maîtresse... Maîtresse... Qui est cette mère nature pour qu'elle vous ait gainé si bien ? Son sein vous a allaité de sa perfection. Vos courbes furent ciselées dans le lait soyeux de la beauté. Mére nature, votre extravagance me fait perdre la tête... Et paint ce petit programme de merde désire vous connaître toujours mieux et épouser votre empreinte.
Et moi, de vos yeux,
de vos mots échappés,
saisir ce qui m'apparaît en songe.
Avoir la vive chance de saisir une bribe de votre intérieur royale.
Celle qui vous meut, vous inspire.
Maîtresse trinity, comment me traiterez-vous ?
Je ne suis qu'un homme.
Maîtresse, vous êtes intouchable. Au propre comme au figuré. Baudelaire disait des humains que leur plus grand
péril était l'ennui. Et vous, l'ennui glisse sur vous. S'il s'éprend de vous, comme il a semblé en Janvier, vous le rejeter avec vigueur en Février dans les affres du mouvement
perpétuel.
Maîtresse comme ballerine, virevolte et faites s'incliner têtes et manches des hommes
corrompus.
Maîtresse, comment me traiterez-vous ? Je me sens...
Moi qui peut illuminer une assemblée facile par mon
verbe en société me sens tellement une
merde à l'idée d'entendre tout de vous se mouvoir autour de mon corps et de mon âme plongés dans un drame
noir.
Drame en noir, en vinyle, que feriez-vous de moi ?
Moi, déjà si flaque d'eau devant votre incendie. Que feriez-vous de moi que je n'ose même imaginer.
Dame en noir, me cloueriez-vous au pilori de mon abîme. Je ne sens plus mon coeur mais mon squelette frémir. Le
cliquetis métallique de la clef dans la serrure m'horrifie. Je ne suis capable de rien.
Combien de fois l'ai-je déjà dit ? Je ne suis capable de rien, je ne suis capable de rien, je ne suis capable
de rien, je ne suis capable de rien...
et combien plus larve devant le moindre petit supplice, la moindre petite humiliation...
alors que je crains votre vice et votre stratagème vouloir noyer mon âme terrifié en faisant jouer les grandes eaux.
Putain, je n'ai rien, rien, rien du tout et vous vous avez tout déesse.
Je ne mérite pas d'être ici et vous allez prendre un plaisir acide et dégueulasse à me broyer. Une semaine à naviguer dans les vestiges de l'enfer. Au milieu d'yeux inconnus heureux et malheureux.
J'ai rien de beau, de bon, j'ai un physique normal, une culture normale, des rêves normaux, des enfants
normaux, une intimité normale, un boulot qui me ressemble, qui me laisse une liberté de gagner ma vie normalement. Tout normal. Je veux m'enfoncer dans vos travers
anormaux,
votre soif bestiale,
votre dégoût de ce que je suis, que votre hargne m'arrache tout sentiment, que votre beauté dansante me
désespère de par ce qui nous sépare. Que votre salive brillante sur votre rouge en dise plus long qu'un long roman sur le plaisir que vous prenez à faire monter ma douleur petit à
petit,
cran terrifiant par cran terrifiant, malodorant, douloureux, puis infiniment douloureux.
Un rictus qui masque mal le délice d’amour enrubannant votre cœur de
100 pulsations minutes.
« Et c’est toi qui veut mourir entre mes mains ? »
Détruit mon âme. Moi qui ne suis même pas capable de mettre une épingle à linge sur un téton, rigole de me le broyer entre tes dents acérés. Putain que ton acier et les supplices attablés m'accablent !
Je ne suis plus rien. Ecartelé. Maîtresse, je te donne ma vie.
Je te donne ma vie...
A la passion. A la vie. Au plus grand de ses mystéres. A toi maîtresse.
On m'avait prévenu de ce que les rousses ont de sorcière. De ce qu'elles finissaient irrésistiblement
tortillées tout autour au poteau des bûchers au saint siècle de l'inquisition, puis au saint temps de la saint Barthélemy. Comme les rouges flammèches s'enroulaient dans leurs bouches "lune
rousse tendre mousse". Comme leur sueur a un goût particulier, mais je n'en connais rien de ces fragrances, je ne connais que les brunes. Que j'aimerai respirer sous ses aisselles les parfums
acres exhalés des fleurs de l'amour et de la servitude. Ô maîtresse. Ô
maîtresse. On m'avait prévenu de l'enfer dans leurs yeux, de
leurs cerveaux malades qui amassent le pire des pires perversions de leurs temps. Maîtresse Trinity est de celles-là, maligne, tapie dans la face crade des hommes et des femmes de ce temps. Elle
en rit. Elle en jouit. Elle persécute tout les chats noirs de la terre sentant venir son règne et c’est elle qui brûle, à l’heure de la revanche, c’est elle qui
brûle. Sainte rousse, beauté éternelle.
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Elle en rit
Un viola nala réga le
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Mord son index
File tank le trou a vale
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Déserte la raison
Rafola mordla nus
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