Elle n’a des rides qu’à
l’expérience
et celles arrondies,
tout en haut des jambes,
qui dessinent voluptueusement ses fesses.
Et si vous en imaginez d’autres
c’est comme
une enfilade sur le marbre
qui rehausse la valeur.
Canon de beauté vous dis-je !
Vie dissolue
Vie de dix sous
Vie dissoute
Vie d’adoration
Vie d’absolution
Vie de flagellations
Trois tiers de cruautés
Trois tiers d’éternité
Sainte trinité
"O maîtresse votre dureté
Se tient droite et lacère le cul de votre mauvais élève"
du mauvais élève à Déesse
Je serai le mauvais élève
Pas par choix, malgré moi
Je la regarderai, même si je n’ai pas le droit
Pas par choix, malgré moi
Je serai son mauvais élève
J’aurai tout à apprendre du SM
Je n’en connais ni l’arbre ni la séve
Son charme fou pour abreuvoir
Et sa cruauté pour ma traversée du désert
Son désert
Où les âmes plient
Où elles supplient
Cette traversée
De cordes nouées
De ficelles de cuir acérées
Maîtresse apprendra au mauvais élève
Le chemin de la dévotion
Du don de soi jusqu’à s’anéantir
Maîtresse me fera souffrir pour son plaisir
Qu’il est excitant de me voir me tordre les tétons clipsés sans cesse
Le corps en torsion dans une harmonieuse pause obligée par les cordes
La bouche rempli de merdes de cheval et de pisse de maîtresse
Qu’il est excitant ce désert où je n’appartiendrai qu’à elle
Qu’il en faut pour éduquer un ignorant
Qu’il en faut de sueur, d’imagination et de perversion.
photos du blog de miss trinity
De Julien totalement dévoué à maîtresse.
Mygale
Anale
Infernale
Tortureuse
Rousse
Electrique
Sadique
Sodomite
Esclavagiste
Travestissement
Resplendissante
Imaginative
Nocive
Incestueuse
Tueuse
Y
Elancé au milieu, maîtresse Trinity le corps en chaleur
Dans ses halos, ses fragrances et ses yeux supérieurs
Désarme qui se croyait d’elle vainqueur
Ses reins creusés appellent toutes les bites à s’élever
Chacune voudrait y domicilier
Mais surpris détenteur serait de celle qui lui plait
Ainsi donc est maîtresse
Libre surprenante et avide d’ivresses
En découvrant négligemment ce qui lui cachait ses fesses
La beauté Natsukiss était une maîtresse nippone sans limite.
Elle a œuvré toute sa vie dans des salons privés ou pour des productions filmés.Pareillement dans l'éducation de jeunes bourgeoises japonaises en mal de devenir dominatrice.
Comme maîtresse Trinity, elle ne connaissait pas les limites de l’autre, elle n’avait que les siennes… et, justement, elle n’en avait pas !
Elle pouvait faire une initiation aux « bull whipping », les plus durs, ceux qui lacérent la peau et la marquent
immédiatement.
Elle pouvait pisser sur ses victimes. Leur défoncer l'anus. Fist, God ou autre...
Bruler à la bougie. Leurs écraser les couilles. Bondage.
Multiples aiguilles plantées dans les tétons, dans le dos, dans les lévres.
Etranglement. Noyades longues et répétées (et peu importes les suppliques des condamnés).
Et tout cela avec la bonté d’un sourire et d’un petit rire féminin enjoué. Elle traçait autour de ses prisonniers des
cercles d’infamie et de terreur. Il y avait aussi des prisonniéres et elles furent bien malheureuses aussi ! Elle ne faisait que ce qu’elle aimait.
Mais voilà en juin 2007 en sortant de son donjon, un de ses anciens adorateurs l’a mortellement poignardé. Certainement par admiration.
Semblable au Jules qui sauva Napoléon en mourant sous les balles devant lui, Julien, pour sa maîtresse mourrait.
Vos fesses sont une porte entrouverte
Qu’il faille user d’un pied de biche
De muscles et de sueur
Tant qu’à les défoncer
J'ai la trique
Je vais vous enculer
Je vais vous enculer
Vous êtes trop belle....
(1/3)
Mon estomac bruisse de son rétrécissement
Il résonne bleu entre 4 quatre murs 4 fraternels
Les pantins enfermés, attachés tout autour
Sont des arbres décharnés après la foudre
Et posent dans leur immobilité d’un tableau lugubre
Mimant les désarticulés d’un Guernica
Je ne les sentirais même pas exister
Si Leurs haleines et leurs sueurs ne m’abreuvaient
En litres marrons nauséabonds de terreur
Du sort enterré que maîtresse réserve
O maîtresse votre dureté …
Ô maîtresse, comprenez mes yeux éberlués
De vous voir au naturel si intransigeante
Comprenez d’effroi qu’ils prennent buée
Vous torturez à crever avec tant d’élégance !
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