Ainsi donc dans sa plénitude maîtresse se fait attacher, baiser méchamment et fister ( 1.
Ainsi aussi « enculé » fait son apparition dans l’écriture de maîtresse ( 2. Quel don du ciel l’a à ce point couronné que sur ses lèvres et dans son expression, les mots les plus grossiers glissent comme un saphir au bout de ses doigts ? Il y a une élégance perverse chez déesse dans l’expression de sa crudité.
Délicieuse perversité.
Un chocolat piquant sous la langue.
Seule chez une femme éloquente le mot « enculé » peut avoir un retentissement. Quoi de plus choquant qu’un tel mot dans un phrasé soigné ? Délicieux, répétais-je, délicieux !
Un peu comme si elle essuyait à la commissure de la bouche son rouge à lèvres, mais, que ce mouchoir ait d’abord servi à lustrer son trou du cul. Une perversité dans une élégance. Un gant de dentelles pour fister.
Et elle, elle sait fister les âmes et le cœur par les mots aussi bien que les vagins et les culs en réel !
Sources :
Article Bizutage sur le blog MTrinity :
(1) il peut arriver aussi que je joue un jeu de soumise, en me faisant attacher, baiser, ou fister.
(2) Troupeau baisé, enculé, chair à canon des années chômage, ils baissent continuellement leur froc avec la trouille au ventre et la chiasse dans les boyaux
Image film "Melissa P : Histoire de B"
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