Immobiles sur une plate forme en face de moi chacun des colosses s’appliquaient à me tenir le dos droit étant entendu qu’une fois inséré correctement la course du pal dans mes entrailles obligera mon corps à se raidir et s’enficher droit dedans.
C’est elle qui avec délectation a enduit le pal de piments écrasés, non pour le lubrifier mais lui donner sa chaleur insensé et ajouter une méprisable subtilité à mon agonie tant il sera évident
que la vague brûlante plongée dans les sphincters obligera mon corps à chier (ce qui sera rigoureusement impossible) et par extension obligera l’anus et tout le conduit anal à faire des efforts
insensés pour rejeter les mannes de piments. Et cercle vicieux, l’écartèlement de mon trou du cul pour chier l’impossible incendie permettra au pal un
enfilement plus rapide. C’est d’imaginer par avance cet allongement des chairs qui troubla au plus haut point maîtresse quand elle massait le froid pic d’acier de ses urticantes fleurs rouges
orangés.
Les colosses avaient fort à faire pour me tenir droit sur l’affreuse bite bandée car des ressources musculaires me firent m’ agiter en tout sens. Malheureusement plus je gesticulais plus le dard
s’enfonçait jusqu’à m’immobiliser enfin tant je me sentais déchiré. La vague ulcérante des piments commençaient par me cuir l’anus. Des urtications comme des braises crépitantes enfoncés dans l’anus. Un vomissement incontrôlé, signe de mort, remplissait mon masque de cuir. Immédiatement il me fut arraché pour ne pas que je m’y
noie. De ma tête pendue contre mon torse dégoulina de longs jets jaunes le long du ventre, sur mon sexe et sur la planche de bois. Et vomissait encore à chaque
soubresaut. La brûlure était insupportable. Je vomissais de plus belle. Maîtresse enclencha alors un nouveau palier et la planche de bois quittait mes pieds quand justement le
pal m’avait suffisamment pénétré. La dégueulasserie atteignit son point de non retour. Par la force de mes doigts de pieds j’essayais de retenir l’enfilage anal, mais le jeu ne
durait que peu de temps quand la planche descendit encore de quelques centimètres et que la force d’attraction m’attirait toujours plus bas. Le pal métallique élargi alors mon anus jusqu’à me le
déchiqueter complètement. Mes beuglements résonnaient dans l’abattoir. Mes deux fesses englobaient le pieu qui, en s’enfilant, déchirait comme du papier la
chair de bas en haut de mes fesses, sinuant lentement jusqu’à mes couilles en enfilade. Il était entendu maintenant que mon trou suffisamment élargi par l’horrible broche poursuivait sa chute
millimètre par millimètre. Le cul en feu et le corps écartelé. Les plus horribles souffrances. Mon corps d’homme était on ne peut plus Rigide tant le supplice et l’arrachage progressive des chairs
me crevaient. Quelle régalade de lâcher ce corps en proie aux seules lois de la physique et le voir s’effondre et s’asseoir sur sa propre mortification.
La vessie proche d’être transpercée libéra un jet de pisse à mes pieds au beau milieu du déguli. Avant que, le pieu déchirant n’ordonne un jet plus rougi dont on imagine sang et piment mélangé.
Maitresse Trinity n’y tenant plus pissa elle-même droit devant sur le pic sans qu’on sache la part de jus de jouissance dans ce qui m’éclaboussait pieds
et jambes. L’agonie se poursuivi peu de temps le pieu rentrant dans la chair et les organes vitaux à plus vives allures, aucun muscle solide ne résistant plus.
suite le 04/09 à 13h00
IMAGE 1 SOURCE http://www.heresie.com/pal.htm
IMAGE 2 GOOGLE (pal non mortel)
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Blog entièrement dédié à Splendide Maîtresse Trinity.
Libre, Anale et Raffinée.
Tout ce qu'elle me procure. Infiniment & intensément. Sans aucune limite.
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