C’est maîtresse Trinity qui passe au milieu des deux colosses et s’agenouille devant moi. J’en ignorais le pourquoi mais savais qu’en ces minutes liturgiques tout était permis et les usages démolis tant que maîtresse y trouva un volcan de jouissance. Maîtresse s’appliquait comme jamais, l’instant était tellement démoniaque que des bouffées de chaleur emplissaient la pièce. Quiconque, novice, tournerait de l’œil à ce qui va suivre. Je criais machinalement de peur craignant q’un katana sombrement aiguisé me coupe les testicules et le sexe, mais il n’en fut rien, j’échappais à l’émasculation pour trouver pire sort par derrière.
Me soulevant le plus qu’elle puisse et soutenu par un des deux colosses qui me tirait affreusement les cheveux je me tenais en souffrance sur la pointe des pieds sur cette planche de bois que je sentais bancale. Puis maîtresse m’a violemment pris le sexe en me décalottant à l’excès le gland pour me faire reculer le ventre de façon à ce que je me tienne les fesses en arrière. Remplir son office macabre. Je sentais sur mes bourses une pointe, ce qui me fit craindre le pire et l’émasculation encore. Mais le pire du pire c’était ici, quand avec une dextérité insensée et malgré les efforts que je faisais en m’agitant en tout sens, maîtresse me plaça le trou du cul sur le bout du dard (que j’ignorais encore étant dans l’affolement incapable de placer deux idées correctes). Il était aisé de cibler mon troufignon grand ouvert par le lavement aigre que m’administra une esclave du donjon avant de me faire fouetter. Une aigreur qui me remontait de l’estomac jusque dans l’œsophage et qui me fit déféquer mon trop plein des intestins. Cet aigreur j’en ai encore la nausée jusque sur la pointe des lévres. Maîtresse avait du ajouter ces frugalités au dessert que constituait mon agonie alors que le contrat ne prévoyait qu’un supplice pour ma fin ! Maîtresse voulait probablement se régaler de divers canules et cordes avant de m’engloutir. Prolonger l’excitation pour provoquer un plaisir inénarrable. Sitôt placé donc, maîtresse, pour me maintenir, me griffait les hanches et les fesses en tremblant tant elle usait d’efforts. Efforts exaltant au plus haut point quand on connaît la suite ! Ce qui me faisait hurler de plus belle ! Elle déchirait ma peau du cul alors que celle-ci, par ces canes et ce fouets, partait déjà en lambeaux. La douleur était insupportable. J’avais l’impression qu’elle me retirait toute ma peau et que des flots de sang me coulaient des cuisses. Je ne pouvais plus exercer la moindre résistance et appliquait mon corps à contre cœur à suivre sa volonté. Je gueulais et tentais de sursauter comme par reflex. En vain. Fatigué d’être sur la pointe des pieds et le colosse ayant relâché mes cheveux, je n’avais que pour appuis cette pointe que je sentais légèrement bombée au creux de mes fesses. Résigné un instant je la laissais me sodomiser et m’élargir en posant mon corps dessus. J’avais beau refusé, ainsi maintenu avec délectation par maîtresse, la force de graviter faisait le reste et je m’enfichais sur le pic sans présager même qu’il allait m’enculer en long en large et en travers. J’étais poupée désarticulée. La fine pointe avait le froid du métal et glissait doucement jusqu’à m’écarquiller le cul au plus que je puisse et que m’y contraignait toute la force de maîtresse qui tirait mon corps vers le bas maintenant afin de trouver le bon axe et de ne pas gâcher le feu d’artifice qui la faisait saliver éhonteusement. A peine eu-je compris ce qui m’arrivait que l’horreur me glaça le cœur. Ah ! Un spasme d’une violence incroyable me fit serrer les sphincters sur le pal qui stoppait sa lente progression. C’était la survie. J’allais crever comme un chien dans des souffrances horribles ! Empalé ! Sodomisé ! Enculé ! J’ignorais sa grosseur mais malgré les sphincters archi contractés, le pal progressait en déchirant les muqueuses. Petit à petit. Dixiéme de millimétre par dixiéme de millimétre. Je sentais bien une matière gluante me rentrer dans le fondement en même temps. Mais l’heure était à la survie la plus animale et j’en avais cure. J’étais une bête en souffrance à qui l’on a brisé les pattes. Je veux pas crever. Je vais trop souffrir ! Je vais trop souffrir ! Je vais crever de trop souffrir ! Je voulais prendre appui sur la planche pour me libérer et de la pointe des pieds me dévisser. Ce que je réussi presque malgré d’effroyables souffrances tant la partie qui m’enculait m’avait déjà sacrément ruiné l’anus par son diamètre. Mais la planche s’échappa de mes pieds et je ne savais par quel sortilège sadique, quelqu’un la faisait descendre d’un cran. De sorte que je n’avais plus rien pour me sauver du supplice du pal. Le lent empalement qui augmentait la douleur de l’écartèlement à chaque seconde devait se poursuivre jusqu’à ma mort.
(suite 03 septembre 01h00)
illustration de l'empalement durant l'inquisition.
Un empalement parfait est le pal qui passe entre le sexe et l'anus pour ressortir par la bouche.
Dans les pays arabes, les pals sont effilés et un empalement parfait passe par l'anus.
Source wikipedia - Google.
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