Lundi 1 septembre 1 01 /09 /Sep 11:51
Retour du 1er septembre.

Définitivement joyeux de revoir déesse et de la lire.

Absolument l'envi de faire briller ce blog dans son éxagération, dans sa perversion, dans sa cruauté, dans sa poésie dédiée, dans son introspection dans sa liberté... comme est belle la liberté de maîtresse.

Jamais de train-train. Un blog sur maîtresse Trinity se doit d'être vivant et de ne pas s'enfermer dans un processus de création. Alors surprises, changements, originalité avec pour point culminant le respect et le desir de faire honneur à maîtresse avec toute ma subjectivité, toute mon envie, toute la liberté qu'elle m'ait donné.

Car je brûle de l'écrire : maîtresse est libre ! Elle le prouve à chaque page de son blog et dans les morceaux qu'elle donne de sa vie.

Libre qu'elle est de s'affranchir des régles du monde BDSM et de tous les crétins qui vont avec. De ne pas être une pièce à un jeu planifié mais d'être MAITRESSE DU JEU ELLE-MÊME.


Libre, libre, libre, libre... que la liberté vous va bien.



Blog : http://mtrinity.over-blog.com/
Par julien - Publié dans : CAVE
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Lundi 1 septembre 1 01 /09 /Sep 10:56

En quoi maîtresse, puis-je vous divertir ?

 

Déesse, je me sens bien démuni de vous divertir avec toute votre expérience.

 

Peut-être jugerez-vous que ma candeur, ma totale inexpérience et ma soif d’absolu auprès de vous seront un bon divertissement. Et j’ose avancer, puisque vous demandez de ne rien retenir,  que les poésies, les textes les plus réalistes et les plus crus que je vous écrirai sauront vous divertir. J’ose, vous plonger dans un bain délicieux. Vous qui aimez Baudelaire, connaissez le charme subtil de l’écriture, bien qu’évidemment je ne me compare en rien. J’espère vous amener sur vos lèvres douces, des fleurs sucrés dont le nectar gonfle le cœur, endolori la tête d’endorphine et durci le ventre électrisé de tant d’excitation. Qu’il est bon encore. Sifflent le fouet et les cris désespérés mêlés dans les cliquetis des chaînes que l’on traîne. Oh bon, si bon. Qu’il ne sert à rien de les soulever. Que le cuir rentrant dans la chair irradie l’âme dans son agonie.


Et si je mourrais pour vous maîtresse, de la plus hideuse et douloureuse des morts ?


Qu’aucun supplice ne me soit épargné tant qu’il vous réjouira et montera un délirant et exquis rel. Que vos cuisses tremblent même de bonheur et faire si mal, si mal. Comme un aboutissement.


 

 

 

 

 

 

 

 

 


image blog Trinity

Par julien - Publié dans : BACCHANALES
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Vendredi 29 août 5 29 /08 /Août 14:45
Ecrasez moi de vos fesses
quel sort est plus divin ?
quelles fragrances plus ensorcellantes ?
Etouffez-moi de vos fesses Déesse


































Superbe photo de Maîtresse qui trône comme une reine, avec la posture d'une reine dominante qu'elle est. Nouvelle photo ajoutée sur ce blog que vous trouvez sur le site de maîtresse Trinity.
Que celui ou celle qui n'a pas d'yeux ne puisse pas cerner tant de grace et de volupté, tant d'assurance et de fermeté dans son assise et dans son regard passe encore, les autres mériteraient un long séjour à Barcelone ou à Bordeaux dans les jardins de maîtresse. Jardins suspendus !





Par julien - Publié dans : TE ENCULO
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Mercredi 27 août 3 27 /08 /Août 01:24
 

Par où commencer ? Sous le jet de douche tout à l’heure, le flot des idées s’est enchaînée naturellement. J’ai fait cette courte introspection. Je me suis plongé en moi-même. Et les racines de toutes ses réflexions ménent, sans ambiguïté, dans les ondes de choc de ma rencontre virtuelle avec Déesse Trinity.

 

En ayant vu, lu son blog et son site, d’inextinguibles flammes se sont réveillées. Le choc m’a traversé la poitrine, m’a raidit le sexe et m’a plongé dans un état difficilement descriptible. Une sorte de don de soit jusqu’à la mort. Maîtresse, cette femme-là, me comble comme personne ne pourrait.

 

Je suis heureux. J’ai un beau mariage. Une femme qui m’aime et des enfants, que j'aie eu tôt, très proches également. Une maîtresse de temps en temps. Mon job me plaît, je gagne plus que la moyenne et il me donne une grande liberté. Je ne suis pas endetté et pas du genre déprimé. J’aime bouger, me cultiver, patati patata. Bref, une image d’Epinal du « bonheur made in France ». Mais c’est oublié ma nature profonde.

 

Celle depuis toujours. Bouleversé, adolescent, par les romans SM ils orientaient ma sexualité vers un dualisme qui allait me poursuivre jusqu’à peu. Ma nature serait-elle de dominer les femmes ou d’être dominé ? J’avais toujours penché pour les deux solutions. Dieu sait pourtant que, dans la lecture, l’identification à la femme torturée, fouettée, humiliée et battue laissait présager plutôt que ma nature était d’être dominé.

 

Mais une domination totale.

 

Un esclave.

 

Un romantique comme au sens premier, 19éme, celui de la bravoure, de donner sa vie pour une cause qui nous cheville l’âme et le corps. De se donner soi-même en s’effondrant sciemment le cul sur son rôle sociale. Cette voix grave et douce que j’aie n’est qu’un gadget. Elle revêt d’une importance que pour le(s) superficiel(s) et berne les sots, dupes dans un monde de dupes. Idem les costumes et tous les jeux auxquels nous jouons. Il y a un vide derrière tout cela. En tout cas chez moi. Et la sommité de ce don de soit : n’être qu’un passe-temps, un homme dédié au plaisir d’une autre. Une autre comme s’est ouvert maîtresse. Il ne pouvait s’agir que d’elle car elle seule incube la liberté. La liberté d’arnaquer. Celle d’enculer. D’envoyer balader. De fouetter. De foutre sa main dans un cul et d’ouvrir son baisodrome aux plus belles filles de la terre qu’elle se sera régalée à dresser.

 

Baiser les pieds de la vie comme on remercie sa maîtresse d’exister.

 

Tout en moi aspire à servir maîtresse. Mais pas un don « intéressé », formidable contresens. Un don qu’elle seule saurait saisir si l’envie lui en prenait. Je la lis, elle ne fait pas de soumission ou de jeux « à la carte » ce qui ferait d’elle une actrice, c’est elle qui choisit. Elle choisit, qui et ce qu’elle inflige. Elle a aussi la psychologie et la finesse de cerner à qui elle a à faire. Mais nul doute que c’est selon son bon plaisir, selon sa volonté que tout se passe. Et je ne l’entendrai pas autrement face à elle, que cela me plaise ou non. Je contraindrai mon habitus aux abysses pour qu’il coule. Car ma volonté serait de ne plus en avoir face à la sienne. Que de son ventre, de sa tête sorte l’éducation que je mérite.

 

Le don de soi.

 

C’est bien plus en dedans. Pas une soumission aux sévices simplement, bien que je mesure d’ici ma très faible faible résistance. Mais l’enjeu à dépasser est autre : Une soumission de l’intérieur. Que tout mon être ploie devant sa majesté. Pas par crainte seulement, c’est plus que ça. C’est le sens de la vie. Ma vie. Plonger dans l’inconnue de ses désirs et faire corps du mieux que je puisse pour les satisfaire SI elle en avait la volonté.

 

J’ai vu les jolies jeunes filles de « Mood Pictures », comment elles se font battre et fouetter au-delà des limites raisonnables par une maîtresse excessivement dur ! Ce n’est pas qu’un film BDSM. C’est sans compromission des filles non aguerries et à la recherche d’argent à Budapest. Leur sort est horrible ! Fouettées jusqu’au sang. Broyées, malaxées, les seins percés. Remonte de mes abysses la conviction de n’exister que pour maîtresse. Tout en moi se répand et s’identifie aux sorts des jeunes filles martyrisées. Sorts qui leurs déforment le cul et le dos à force d’être fouetté, sorts qui les décharnent et les morceaux de peau en lambeaux, sorts qui les crucifient harnachées solidement elles voudraient se libérer en hurlant.

 

Je donnerai ma vie pour Son plaisir divin. Je suis né pour ça !

 




 Photos films - mood pictures

Par julien - Publié dans : JULIEN
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Mardi 26 août 2 26 /08 /Août 15:24


 

 

 

 

 

 

"Ôde au corps parfait de maîtresse Trinity"

 


J’ai troué le ciel par son string noir

Elle fait des ronds de fumée élégamment

Gantée noire

Agile panthère

 

Ses seins me donnent le vertige          

Comme je me sens petit devant ce monde là

Ses hanches, ses fesses graciles

Ahurissantes pointes de désirs

 

Epuisantes rien qu’en les voyant

Gonflant les voiles…

 

Les parfums de son corps embuent mes narines animales

Une houle me saoul d’endorphines

Je baise vos pieds avant que vos talons me ridiculisent

 

Maîtresse Trinity

Nue au fouet

Ou couverte de cuir

Sa corolle s’habille selon ce qui la pique

La gonfle et la noie

 

Le magnifique est invariable

 

Maîtresse, devant vous je suis arrivé au bout du monde

Que mon âme peureuse et ma chair lépreuse s’inclinent devant vos volontés

Sans raison et sans cause

Dans ce couloir noir où j’ai échoué

J’ai trouvé la raison et la cause :

 

Maîtresse,

Maîtresse, que vous êtes belle !


 














Photos du blog de Maîtresse Trinity

Par julien - Publié dans : AMOROSA
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Mardi 26 août 2 26 /08 /Août 00:02



Des fleurs de paille m’incendient

J’ai le corps flasque

Jeté dans ses geôles à l’abri des regards

 

Une prison froide

Une torche au fond

Et la paille pour se torcher

La pisse des précédents pour se coucher

 

Dieu que cet endroit est sal

Qu’est-ce qu’il pue le moisi

Je n’en peux plus

Je vis en enfer

 

Je gueule les forces qu’il me reste

D’avoir été suspendu si longtemps m’arrachent les os

 

Des marques affreuses me garnissent le corps

Des odeurs de cuir, de sueur et d’immenses traînées de chaleur qui me font me courber encore

Des morceaux de peau ça et là

A croire que je vais   p o u r r i r , immobile

 

Je suis pétrifié

Cassé en deux

Insulté,  h u m i l i é   au plus haut point

 


 

Ai-je mérité pareille sanction ?

Je me sens humilié

Moins qu’un déchet

Pourquoi suis-je là ?

Mon estime s’est fait bouffé en régal

Je n’ai plus de dignité

Plus rien.

 

Je suis un homme brisé

 

Mon désespoir hurlant alimente la fatigue de mes membres

J’ai mal de tout

Lentement je me tue

Personne ne m’écoute supplier   m e r d e

 

Et si maîtresse m’entendait peut-être lézarderai t-elle mon corps toute une interminable nuit

Ou bien encore en suspension dans ses cages

Dans cette salle où l’écho sourd répond à mes tortures

Comme j’ai mal, comme j’ai mal !

Je préfère me taire et crever là.

 

 

 

















Photos d'illustrations - Ce n'est pas maîtresse Trinity.

Par julien - Publié dans : SALLE DES TORTURES
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Dimanche 24 août 7 24 /08 /Août 11:29
Chose exceptionnelle, je remercie les quelques emails que j'aie reçu suite à l'article

Maîtresse Trinity, s'il n'y en avait qu'une...

Je réponds rarement aux emails - ce site n'est qu'un autel à Maîtresse et je vous renvoie au blog et site officielle de MTrinity, moi je ne suis qu'un apprenti "tailleur de pierre" et je remets sans cesse mon travail sur la planche. Je veux perfectionner cet autel. En fait, je veux simplement aller au bout du bout. Emprunter ce tunnel sans fin et aller au bout de mon ame, décrire avec passion, déraison et ammoralité la variété la plus étendue de textes, d'imagina, de poésies et de tout ce qui peut s'écrire afin de rendre compte tout ce don Maîtresse Trinty me procure - Par son âme, sa beauté et ses écrits.

 Effectivement, certains ont visiblement été touché, ils ont compris le sens profond de mon attachement (et de mon désattachement progressif à moi-même), et c'est vers eux que vont mes remerciements. Ils ont saisi les braises qui crépitent en moi.

"
En la voyant, la lisant, elle m'emmène au plus profond de mon être. Dans le sillage de son ton d'écriture, de son caractère unique (mais je sais que j'en devine que très partiellement les contours), de sa beauté qui lui sied comme à un trône de reine et de sa liberté qu'elle saisit avec poigne,. Et cela n'est qu'un début."

Ils vont crever de lire le prochain Imagina.

Et je fleuris de poésies fiévreuses... et de mélodies chatoyantes...


















Ô dIVINE
Par julien - Publié dans : AMOROSA
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Vendredi 22 août 5 22 /08 /Août 08:49

J'ai cherché par Google des sites, des blogs concernant d'autres maîtresses. Pour moi, très loin du monde "sm", j'ai eu la surprise de découvrir des sites de toutes les sortes répondant à toutes sortes de demande. Et dans les quatre coins de la France. Je n'imaginais pas qu'il y avait une demande masculine si forte !


Maîtresse ci, maîtresse ça, alors que pour moi il n'y avait que Maîtresse Trinity.

Et bien au sortir de toutes ses visites sur la toile, aucun site ni aucun blog n'arrive à sa cheville. Certes, il y a bien des maîtresses belles, des maîtresses exigeantes mais aucune n'emploie la pleine liberté comme Maîtresse Trinity ne l'emploie. Et c'est avant tout ce qui me subjugue chez Maîtresse.

Aucune par exemple n'annonce le programme des pratiques comme elle le fait (voir l'encart en bas de chaque page de mon blog). Très peu pratique le scato et l'uro, n'annonce la zoophilie. Très peu sont originales (gavage, électricité,
Passages à tabac, séquestration, etc.). Aucune ne s'assume comme vénale, ou au moins sans aucune gène et aucune pitié pour l'exploitation. Et enfin la plupart semble être au service des soumis... ce qui n'est pas inclus dans le programme de Déesse, vous en conviendrez ! Bref, maîtresse ne s'assume comme aucune autre.

Et bien au-delà encore quand elle déclare n'avoir pas de limite et pas de tabou. Que serait sa liberté sinon ?  La liberté d'explorer, de goûter à tous les vices ?


Et pour la beauté aucune n'a ce que Déesse dégage. Et moi je n'ai d'yeux que pour elle. Ce n'est pas du domaine du fantasme, c'est pire que ça. Je ne sais qui peut comprendre cette adulation qui n'appartient pas au superficiel ni à l'obsession. Le fantasme passe quand il est réalisé et il a soif de l'être. Moi ça n'est pas ça, c'est pire qua ça !

Ce que représente maîtresse est la réponse à ma quête d'absolu. D'ailleurs maîtresse l'évoque en chaque homme, quand elle parle de Baudelaire notamment, "cette soif d'absolu". Cette soif est réalisée chez quelques esclaves et quelques soumis quand il l'a rencontre dit-elle. C'est mon cas également, maîtresse en la lisant, la voyant, Maîtresse épanche ma soif. En la voyant, la lisant, elle m'emmène dans le sillage de son ton d'écriture, de son caractère unique (mais je sais que j'en devine que très partiellement les contours), de sa beauté qui lui sied comme à un trône de reine et de sa liberté qu'elle saisit avec poigne, au plus profond de mon être. Et cela n'est qu'un début. Je sais combien ça n'est qu'un début. Ô combien en écrivant tout ça je rends grâce à maîtresse d'exister. Combien, combien... Quel délice, quel plaisir. Je suis sous l'ombre de ses bottes. Je suis la chose qu'elle veut et je suis ce qu'elle veut. Elle chamboule tout !

Je ne dis pas que je comprends tout. Que je m'accorde avec tout ce qu'elle dit. Essentiellement dans sa manière de voir les hommes. Je ne rentre pas dans les casiers des hommes les plus vides qu'elle peut rencontrer (cadre sup' qui s'emmerde, bedonnant et complexé de la bite, etc.), même si, bien sûr, dans le descriptif global des défauts masculin qu'elle fait, je m'insère hélas sans problème ! Mais quand je ne comprends pas ou que je ne m'accorde pas, je me garde d'avoir un raisonnement obtus. Je m'autorise aussi à penser librement mais avec un respect profond de ce dont maîtresse parle avec expérience.


La liberté, la liberté. Concernant maîtresse je n'ai que ce mot à la bouche. mais c'est parcequ'elle l'habite comme aucune autre. Ces visites à ces blogs m'ont confirmé que : Ce monde SM avec ses codes, je n'en ai rien à foutre !  D'ailleurs Maîtresse le dit-elle même quand elle se montre à nue sur son blog :"
J'aime également rompre avec une certain folklore SM qui représente toujours la Maîtresse en Vampirella sinistre et coincée. Ainsi, poser nue ne me pose aucun problème, et je ne me sens pas moins dominatrice sans cuir ou latex sur la peau."


N'agit-elle pas, là, en pleine liberté ? C'est toute l'admiration que j'ai pour elle. Maîtresse Trinity que votre liberté de femme domine celle des hommes. Il me semble que les mâles ne trouvent pas la liberté mais qu'ils la cherchent continuellement. Qu'ils tournent en rond. Alors que, pour moi, ma liberté serait dans vos chaînes en vous tournant autour... selon vos envies. N'être là que pour votre bien-être.


Votre liberté, c'est votre vie. Normal que vous envoyez balader les codes. Comment cela pourrait-il être autrement ? Rentreriez-vous dans une tribu ? Que nenni, vous formez la tribu. La dressez ! C'est tellement naturel. La liberté chez vous, vous la dévorez avec appétit.

"Si certains ont une vie ennuyeuse, qu'ils ne viennent pas me le reprocher."

Enfin, je le dis comme je le ressens. J'ai une confiance infinie à la psychologie que se targue d'avoir maîtresse. J e le lis et le ressens ça et là au détour d'une phrase. C'est une qualité que je pense avoir : le discernement. L'attention aux petites choses. Comprendre sous les mots, sous les expressions bien plus qu'ils semblent vouloir dire. Un feeling. Une impression d'ensemble. C'est à l'intérieur que cela se passe, je n'y suis pour rien, je le ressens comme je respire.

"Il est courant que certaines personnes ne supportent pas la décomplexion qui émane de femmes totalement heureuses de l'être, et qui ont décidé un jour que le monde tournerait autour de leur nombril."
Hormis la finesse d'écriture et la tournure remarquable elle en dit long, dans l'article intégralement mais dans cette phrase.


Pour revenir à la psychologie, le plus bel exemple est cet article où Maîtresse évoque le dressage particulier fait aux femmes. "Mes soumises ne sont pas toutes homosexuelles, et aiment prendre aussi du plaisir avec des garçons, ce qui me ravit, car je ne cherche pas à faire de ségrégation. Cependant, dans ma hiérarchie de l'esclavage, elles ont une place à part, c'est un sérail privilégié, "VIP", fait de complicité et de sensualité, d'harmonie retrouvée malgré quelques orages épars, mais avec des objectifs clairs : le plaisir décomplexé, l'épanouissement de leur féminité, la conscience de soi." Tout est dit.

 


Citations en jaune : Miss Trinity sur son blog.

Par julien - Publié dans : TE ENCULO
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Jeudi 21 août 4 21 /08 /Août 16:04

D’être à vos pieds votre chose.

Et qu’un met onctueux saisit votre ventre

De douceur, de mal, de délectation du mal

Oh comme c’est bon.

 

Que ces mots ravivent le caractère


Que ces mots

 

 

Textes & poésies puisés au plus profond

A la Gloire de Gracieuse et Magnifique Déesse

 

DEDIE

D2DIE

 

 

Absolument

ABSO7U

Par julien - Publié dans : AMOROSA
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Jeudi 21 août 4 21 /08 /Août 08:25

Texte d’une affreuse crudité en préparation.

 

Il sera temps de savoir si j’ai assisté à pareil sort pour m’en imaginer telle victime avec un tel soucis du détail.

 

Je n’ai jamais rencontré Déesse Trinity pour les inconscients qui ne comprennent rien, Mais mourir pour maîtresse est un projet sain tant que c’est avec totale dévotion ! Signée sur le papier, dans ce "récit imagina" choquant à l’extrême, que j’ai souffert réellement de pondre !

 

Extraits :

 

XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX Je suis déjà au bord de l’épuisement et le sac de cuir coule des jets de salive crachée pour tous les coups reçus tout à l’heure de maîtresse déchaînée. XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX

XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX Je hurlais de plus belle craignant q’un katana sombrement aiguisé me coupe les testicules et le sexe, mais il n’en fut rien, j’échappais à l’émasculation pour trouver pire sort par derrière. XXXXXXXXXXXXXXXX

XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX. J’allais crever comme un chien dans des souffrances horribles !XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX Mes beuglements résonnaient dans l’abattoir. XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX Que votre bonheur se propage en intraveineuse dans les poussées ineffable de votre cœur palpitant, on ne peut plus, de savourer ce premier instant où vos yeux brûlent des feux de Carthagène et où vos mains déjà moites d’impatience voudraient m’étrangler sans attendre pour me rendre telle jouissance incomparable. XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX Maîtresse m‘avait prévenu quant à l’extrême agonie à laquelle je concourais en lui donnant mon âme. La plus extrême en fait. J’imaginais un bûché où le feu aurait commencé par me bouffer les pieds puis m’arpenter horriblement en me lézardant le corps de remontées de flammes. J’oubliais que ce supplice mortel se devait d’être des plus chatoyants pour ma maîtresse. Un régal inégalable. Le feu n’en était pas. Les supplices anaux en étaient. XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX

Texte achevé dans les prochains jours
Quand les souffrances et vomissements m'auront faits des leurs
et quand satisfaction d'un texte abouti
d'une terreur et d'une horreur
ABSOLUES !




image blog MTrinity
Par julien - Publié dans : TE ENCULO
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Vendredi 15 août 5 15 /08 /Août 19:54
  UNE DEESSE A RESPECTER ABSOLUMENT


Rappel Série 1

On me vouvoie, on garde une attitude humble et polie.
On garde les yeux baissés en ma présence.
On ne discute aucun de mes choix ou de mes décisions.
On ne croise pas ses jambes, on ne se touche pas.
On accepte la sanction sans rechigner.
On consacre son temps à mon bien être et mon confort.
On se montre prêt à tout moment.
On ne me ment pas, on me dit tout ce que je veux savoir.
On ne me refuse rien.
On me remercie pour mon existence.
On est fier de me connaître.

---------

Rappel Série 2

- Passages à tabac, Fouet, Ecrasement, Face-sitting
- Séquestration, encagement, insultes
- Travestissement, Humiliation
- Châtiments : cire, pinces, poids, aiguilles, flagellation, fessée
- Sodomie, dilatations anales,
Fist-fucking, Lavement
- Tortures du sexe et des seins
- Alcoolisation, tabac, gavage
- Uro et scato,
Offrandes de sperme
- Moneyslavery sur ordre,
Corvées
- Electricité, Bondage
- Zoophilie
- Jeux de rôles
- Fétichisme chaussures, cuir, latex, vynile, pieds



Par julien - Publié dans : CAVE
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Vendredi 8 août 5 08 /08 /Août 16:20

Cela peut paraître redondant mais c'est toute la forme d'expression de son regard, de son corps mouvant et de ses mots jetés sur son blog qui tiennent en ces mots : BELLE ET MAJESTUEUSE.

C'est comme un autel que je monte, et je veux le monter trés haut.

Les textes germent. Vont chier de leurs encres de tous côtés. Somptueux, ils ne peuvent venir de moi. Je n'écris pas si bien. Serais-ce donc "l'écriture automatique" de ces poétes maudits ? Deferlants en plein coeur de la nuit ils m'arrachent à mon monde pour me plonger dans un bain de luxure, d'immondices et de délicieux supplices.

Plus rien ne ressemblera à rien.

Ils viennent...
---i-l-s---v-i-e-n-n-e-n-t---

Leur mise en forme aiguisée comme un laguiol tranchera les liens de la pudeur, de la retenue.

---d-é-s-t-a-b-i-l-i-s-e---

Plus rien en ressemblera à rien et maîtresse Trinity siégera au coeur du moindre mot. C'est elle l'esprit et la lame du laguiol.

-E-X-X-X-T-R-E-M-E---


Et mon hommage qui s'apprête...


J-E---L-A-I-S-S-E---L-'---I-N-S-P-I-R-A-T-R-I-C-E---M-E---G-U-I-D-E-R---
s-o-n---e-m-p-l-o-i---d-u---t-e-m-p-s---n-'---e-s-t---p-a-s---d-e---c-e---m-o-n-d-e---
c-o-m-p-r-e-n-n-e---c-e-l-u-i---q-u-i---l-'---o-s-e---

---S-E-X-E---
---L-U-X-U-R-E---
---A-N-A-L---G-O-D---C-E-I-N-T-U-R-E---
---V-E-N-A-L-E---M-A-I-T-R-E-S-S-E---
---C-R-O-I-X---E-T---L-E---F-O-U-E-T---
---C-H-E-V-A-L-E-T---A---T-'---A-T-T-A-C-H-E-R---
---E-S-C-L-A-V-E---
---B-O-N---Q-U-'---A---L-E-C-H-E-R---L-E-S---B-O-T-T-E-S---E-T---L-E---C-U-L---
---C-A-G-E---E-N---F-E-R---S-U-S-P-E-N-D-U-E---
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Par julien - Publié dans : AMOROSA
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