L’homme devait s’étendre à même le carrelage car l’endroit serait plus facile à nettoyer après l’opération.

Miss Jessica lui lia les pieds et les mains et le coucha sur le dos de manière à ce que la peur se mêle au froid de la pierre. Miss trinity lui passa même un bandeau sur les yeux pour que le malheureux ignore tout de ce qui se tramait.

Miss Jessica s’étendit en chien de fusil, complètement nue, miss trinity lui apporta le bock fumant comme si ç’avait été le saint sacrement. Elle sentait les doigts de maîtresse lui écarter les fesses et plus particulièrement lui mettre un doigt dans le fondement pour la préparer à la canule. Puis le tuyau de caoutchouc rouge vif s’enfonçait dans l’anus. Passant le  sphincter, envahissait le rectum et poussait jusqu’au centre des intestins. Maîtresse étant une spécialiste, elle procédait à l’introduction avec lenteur et en faisant tourner le tuyau afin d’augmenter les sensations éprouvées. Après que Miss Jessica se fut tortillée en gémissant, et alors que le long serpent de caoutchouc était bien en place dans ses boyaux, déesse du lavement tourna un robinet et l’eau tiède se rua en cataracte dans son ventre. Elle ressentait le même choc que lorsqu’elle est enfilée par la bouche et que le mâle éjacule. Elle poussa un couinement plaintif tant l’eau s’écoulait avec abondance, puis succéda un long gémissement qui exprimait le plaisir.

Lorsque Miss Jessica fut empli, miss Trinity retira avec précaution le long tube de caoutchouc interdisant la moindre faiblesse rénale qui gâcherait la salace fête. Dégueulasse fête plutôt. Miss Jessica se leva avec précaution, veillant continuellement à ne rien perde au cours de son déplacement jusqu’à l’homme étendu que j’étais. S’accroupissant au dessus de ma poitrine, miss Trinity ordonna que j’ouvre la bouche sans jamais la refermer. Miss Jessica libéra alors ses intestins. La matière fécale gicla de son trou du cul agrandi par la violence de l’effort. Je fus noyé dans le caca qui coula sur mon visage puis sur mes seins. Des jets anaux répétés ainsi que l’irrépressible plaisir de Miss Jessica monté à ses lèvres teignaient la pièce de perversité extrême. Miss Trinity veilla à ce que je ne ferma ni la bouche ni les yeux et que ma chevelure fut shampouinée à la merde.

Photos d'illustrations

Cruelle geôlière

Maîtresse, absolu

vous m'offrez comme mort à votre Erèbe

pièce de pierres immense s'ouvre un enfer

pièce de fenêtres ferrées à la nuit

où l'écho atroce des suppliciés lui sont renvoyés

gît là jeunes femmes encagées torturées

homme plié en Saint André nos sorts ignobles vont croiser

mon corps nu accroché au mur de la continuité

les pieds dans la pierre ; les chaînes chevillés.

M'arrachez des agonies sanglantes

les tranchées sur la chair tracées

le sifflet effroyable que font vos fouets

la peur congestionné changée en douleurs

yeux cousus d'effroi

trop de ténèbres d'Hadès à volte-face

dos et fesses calcinés

bariolés de rouge, puis violet

au corps qui se pend ne peut plus se porter

insupportable au-delà

Maîtresse, la connaissance perdue est une fuite

les courants ranimés pinces tétons survoltés

et sot d'eau glacial Achéron tétanique.

Spasmes de sanglot, panique, spasmes gastriques

pisse à mes pieds

fureurs abdominales

teintent carrelage.

Quel délice vous pensez à vos cuisses monté

qu'improvisés jeux amusée laminent dédale anal

halos de feu maîtresse ivresse des profondeurs

quand reprend battant votre rythme de mort

jusqu'à fatiguer les poignés à l'assaut

canes et cuir s'abattent à trouer

et trouent rouge tant les lianes traversent.

Maitresse Trinity votre esclave à bout

gémissant pleurant beaucoup

qu'à vos lèvres honneur infini naissent

rires et plaisirs à vos commissures.

Quel régale de cuir vêtues pour vous vos tortures

pour moi misérable agonie supplices horreurs

qu'à l'excès les forces me quittent

dés demain

qu'un plein sot de pisse pour me réveiller ma cage suspendue

Malicieuse maîtresse

ouvre ma bouche à son sexe

elle tourne tourne ma langue

dans ses moiteurs parfumées

spiritueuse maîtresse

m'a gavé de whisky Bowmore

elle tourne tourne ma tête

elle m'écrase les lèvres

Je suis entonnoir gavé

ces larmes sont élixir

putain chuis là à 4 pattes

elle me chevauche comme un animal

elle m'entaille la nuque

m'arrache les cheveux

s'essuie comme on se torche

dans son plaisir éclaboussant

Facétieuse maîtresse

qui me largue pantelant

elle tourne tourne ma tête

je vomis jaune sur les pierre

Photo : Scotch Bowmore

M'arrachez des agonies sanglantes

les tranchées sur la chair tracées

le sifflet effroyable que font vos fouets

la peur congestionné changée en douleurs

yeux cousus d'effroi

trop de ténèbres d'Hadès à volte-face

dos et fesses calcinés

bariolés de rouge, puis violet

au corps qui se pend ne peut plus se porter

insupportable au-delà

Maîtresse, la connaissance perdue est une fuite

les courants ranimés pinces tétons survoltés

et sot d'eau glacial Achéron tétanique.

Spasmes de sanglot, panique, spasmes gastriques

pisse à mes pieds

fureurs abdominales

teintent carrelage.

Quel délice vous pensez à vos cuisses monté

qu'improvisés jeux amusée laminent dédale anal

halos de feu maîtresse ivresse des profondeurs

quand reprend battant votre rythme de mort

jusqu'à fatiguer les poignés à l'assaut

canes et cuir s'abattent à trouer

et trouent rouge tant les lianes traversent.

Quand les phrases ne sont plus pré-machées

l’esprit relit et relie encore.

Que la double ou triple interprétation

déchire lentement vos chairs intérieures,

que s'illuminent plus beau, plus loin que mon poème

vos tréfonds et les troublent

de la profondeur assombrie de votre être.

Un travail de l'esprit et du coeur

les deux fondus divine déesse

des secondes d'illumination

aux longues heures à marchander.

Combien votre "donjon opérationnel" me charge

et me fasse fondre

Ainsi soit-Elle

Divine-Belle