Avis sans connaissance de cause(s) des pratiques de Maîtresse. L'inifinité de ses supplices conjuguée à son imagination font d'elle la femme la plus libre. Définitivement !
Pratiques / Peur (oui ou non) / Commentaires
PRATIQUE : Crachat
PEUR ? Non
COMMENTAIRES -
Pisse, merde
Non
Mais ça doit vraiment être dégueulasse !!!
Fist
-
J’imagine pas que ça puisse marcher si facilement chez moi
Electro
Oui
Zoo
Oui
Et je vois pas non plus de quoi il s’agit. Sucer un chien ? un cheval ? …
Avaler cendre
Non
Lavement
Non
Brulures de cigarettes
Oui
Fouets, cravaches, etc.
Oui
Je n’ai évidemment jamais goûté à quoi que ce soit dans ce genre mais certainement vu le nombre d’instruments différents les douleurs
doivent être parfois bien intenses
Humiliations verbales
Non
Pinces sur les seins et sur le corps
Oui
Encager
Non
Suspendu
Non
Maîtresse a parlé des soumises qu’il fallait laisser parfois suspendu des heures. Cela semblait être énorme. Je sous-estime peut-être
la chose.
Face sitting
Non
Strangulation
Non
perçé
Oui
Ecraser sexe et couilles
Oui
Se faire marcher dessus
Non
De tout son poids avec talon
Oui
Ça doit-être insupportable
Sodomie
Non
Féminisation
Non
Ça me ferait bizarre…
Cire, Bougies
Non
Mais il paraît qu’il y a différents types de bougies dont certaines extrémements brulantes..
Je trouvais vraiment sans intérêt les films où les hommes se faisaient méchamment dominer par leurs
maîtresses. Ridicule même. Autant pour les filles subissant canes et fouets le plaisir est grandiose, autant voir ses paires de couilles, ses poilus se faire tripotter et maltraiter me
laissait complètement indifférent.
Je trouve vraiment regrettable que ce soit très souvent des vieux, des gros, des sales têtes voir parfois les trois
à la fois (sic). Je m’identifie simplement à la maîtresse en question (mais je n’ai pas dit avoir raison) et me dit qu’ils sont bon à fouetter et… qu’il y n’y a aucun plaisir à le faire en dehors
du plaisir financier. En m’identifiant d’ailleurs, je ne trouve pas de plaisir à la soumission d’une grosse ou moche dans le visionnage de mes films SM. Ces mecs sont sûrement les cadres sup’ à
la recherche d’émotions dont parle Maîtresse Trinity assez souvent. A part l’argent, je ne vois pas quel est l’intérêt que les maîtresses trouvent à corriger un bedonnant. Mais je me trompe
peut-être et dans tous les cas chacun fait comme il veut.
Du fait du ruissellement de sa beauté, je ne doute pas que maîtresse Trinity trouve une fontaine de mecs très
bien foutus pour lui donner tous les plaisirs qu’elle pourrait quémander. Maîtresse demande à tout nouveau de décliner l’intérêt qu’elle pourrait trouver à le prendre pour soumis ça n’est pas
pour rien. Là aussi, selon ses « envies capricieuses » et ses exigences elle pioche aisément.
Par ailleurs je trouverais avoir un bien triste sort à cumuler telles avanies…
« Miss chambers : cruel punishment vol.2 » sur cruella.com
m’a fait changé d’avis.
D’abord le model est convenable et surtout… tout a fait apprenti !
Il est fouetté et torturé par deux maîtresses (dont Miss Chambers mise en avant et dont je ne connaissais rien
avant). Dressé comme un chien !
Elles ont du mal à le tenir tant il souffre mais elles le corrigent encore plus fort alors il est bien obligé de se
soumettre quitte à enfreindre la loi de ne pas gueuler quand il est battu à mort.
Ce film là est délicieux.
Pour toutes ses raisons et aussi car les deux maîtresses y prennent visiblement un grand plaisir. Ah oui, fameux
plaisir qu’elles en jubilent parfois silencieusement mais c’est perceptible quand on a les yeux rivés à elles.
Je m’identifie totalement.
Je prends plaisir à les regarder car ils en prennent (je devrais dire « elles »). Bander oui, mais pas mûr
pour la masturbation. Le plaisir est plus psychique. Il me rapproche toujours de mon état à venir.
Ce soumis là c’est presque mon autre… Il se défend, désobéit malgré toute la bonne volonté qu’il peut y mettre
les coups et les supplices sont trop douloureux pour rester de marbre. Les maîtresses sont parfois agacés et le jeu se fait encore plus dur. Plus outrageant. Plus humiliant. Derriére
l’agacement la jouissance. Quand l’une l’étouffe entre ses cuisses et l’immobilise, Miss Chambers s’occupe de choisir avec soin un fouet à multiple lianes déchirantes pour lui fouetter les jambes
et le cul. Le malheureux se recroqueville, coincé qu’il est, mais que nénni Miss Chambers appuie encore plus ses coups et déploie elle-même les jambes du supplicié pour lui fouetter même les
couilles. Ces cris sont étouffés sous une paire de fesses écrasante. Quel jeu ! Quelle soumission !
Maîtresse Trinity il me revient les mots sur votre apprentissage. (...)
Maîtresse Trinity, cela doit tellement être ineffable d’être votre soumis. Que sont
chanceux vos esclaves.
La premiére photo est un montage personnel. Il ne concerne en
rien les soumises de Maîtresse, c'est mon propre montage.
Maîtresse Trinity
la définition qu'elle a probablement elle-même écrit pour se définir.
"Maîtresse éduque ses soumis à distance puis les reçoit en son donjon à Bordeaux. Maîtresse agit pour son plaisir et son confort, elle n'est ni une amatrice ni une prestataire de services.
Maîtresse est capricieuse, violente, exigeante, et redoutable."
Les adjectifs sont si bien choisis...
Capricieuse Désir, volonté subite, irréfléchie et passagère. "Oh oui, que tout lui soit donné sans restriction selon sa volonté ! Plus cela peut sembler dérégler plus cela doit lui être donné avec application car seule ses envies comptent
!"
Violente Qui est fait avec brutalité. "Sadique, brutale. Qu'elle fasse mal !"
Exigeante Demander impérativement.
"Définition de merde. Exigeante selon maîtresse c'est vouloir tout. Qu'elle veuille tout et que son cheptel réponde à toutes ses demandes."
Redoutable Terrible, dangereux. "Oh oui ! Cette peur... J'en pisserai d'effroi. Elle ouvre à l'inconnu et la terreur qui glace les os."
Il n'y a qu'une femme aussi géniale. Démesurément forte et sublime.
Je me réjouis qu'elle soit en dehors du monde SM (cf. avant dernier post : "qui m'expliquent que je les fais "vomir" et que je "déshonore le SM.""). Anormée. Si je dois m'offrir entièrement
que ce soit avec la meilleure. Je ne vais pas faire le tour du monde, tout ce qu'elle explique sur son blog, sa manière d'être, sa liberté, sa perversion et sa cruauté, résonnent en moi. Fait
écho au plus profond de mes entrailles de mec déchiré par tant et tant de µµµµµµ*.
Je surf sur d'autres sites SM. Certains sont bien foutus. Ils reprennent en choeur la thèse qu'un homme "a besoin de visiter plusieurs maîtresse pour s'attacher à celle qui lui ira". Ce
ne sera pas mon Cas, conneries ! D'abord je ne me reconnais pas dans le troupeau impersonnel, ensuite je ne vois pas ce que j'irai chercher ailleurs. Au fond du fond ce n'est pas souffrir qui
m'importe ou manger de la merde ou de la bite de chien, cela me fait plutôt gerber quand j'y pense, au fond du fond, la seule chose qui m'importe serait de lui appartenir. Et mon plus grand bonheur serait qu'elle y prenne du plaisir. Je veux plonger mon ego dans l'acide pour ne laisser chez moi qu'une place pour
elle.
J'adore maîtresse Trinity. Je ne la connais pas mais je la connaîtrai si elle le veut. Je veux poursuivre de psalmodier. Attacher du vécu, y laisser mon cul je prendrai le risque. Combien mieux
je psalmodirai.
Votre regard de feu possède mon sang vous marchez ballerine sur un volcan et mes musclent se tendent à votre
passage Un briquet d’or illumine les pierres pleureuses je ne sais qui d’elles ou de moi suinte d’efforts vous allume, un bâton de joie qui coule au ventre la cire vénéneuse m’arrache des cris de
l’âme ce sont des mini lacs de lave déposés sur ma peau Chaque goutte m’entaille comme à la torche Et vos horribles outils me pincent à la lueur de la flamme Un tapis de roses rouges me couvre la
chair brûlures de bougies et mes seins que vous écaillez
Votre regard de feu possède mon sang vous marchez ballerine sur un volcan et mes musclent se tendent à votre passage Un briquet d’or illumine les pierres pleureuses je ne sais qui d’elles ou de moi
suinte d’efforts vous allume, un bâton de joie qui coule au ventre la cire vénéneuse m’arrache des cris de l’âme ce sont des mini lacs de lave déposés sur ma peau Chaque goutte m’entaille comme à
la torche Et vos horribles outils me pincent à la lueur de la flamme Un tapis de roses rouges me couvre la chair brûlures de bougies et mes seins que vous écaillez
Votre regard de feu possède mon sang
vous marchez ballerines sur un volcan
et mes muscles se tendent à votre passage
Un briquet d’or illumine les pierres pleureuses
je ne sais qui d’elles ou de moi suinte d’efforts
vous allume, un bâton de joie qui coule au ventre
La cire vénéneuse m’arrache des cris de l’âme
ce sont des mini lacs de lave déposés sur ma peau
Chaque goutte m’entaille comme à la torche
Et vos horribles outils me pincent à la lueur de la flamme
Un tapis de roses rouges me couvre la chair
brûlures de bougies et mes seins que vous écaillez
photo de mtrinity.over-blog.com couplée avec photo de bougies
La très chère était nue, et, connaissant mon
coeur, Elle n'avait gardé que ses bijoux sonores, Dont le riche attirail lui
donnait l'air vainqueur Qu'ont dans leurs jours heureux les esclaves des Maures. Quand il jette en dansant son bruit vif et moqueur, Ce monde rayonnant de métal et
de pierre Me ravit en extase, et j'aime à la fureur Les choses où le son se mêle à
la lumière. Elle était donc couchée et se laissait aimer, Et du haut du divan elle
souriait d'aise A mon amour profond et doux comme la mer, Qui vers elle montait comme vers
sa falaise. Les yeux fixés sur moi, comme un tigre dompté, D'un air vague et rêveur elle
essayait des poses, Et la candeur unie à la lubricité Donnait un charme neuf à ses
métamorphoses ; Et son bras et sa jambe, et sa cuisse et ses reins, Polis comme de l'huile, onduleux
comme un cygne, Passaient devant mes yeux clairvoyants et sereins ; Et son ventre et ses seins, ces
grappes de ma vigne, S'avançaient, plus câlins que les Anges du mal, Pour troubler le repos où mon
âme était mise, Et pour la déranger du rocher de cristal Où, calme et solitaire, elle
s'était assise. Je croyais voir unis par un nouveau dessin Les hanches de l'Antiope au
buste d'un imberbe, Tant sa taille faisait ressortir son bassin. Sur ce teint fauve et brun, le
fard était superbe ! Et la lampe s'étant résignée à mourir, Comme le foyer seul illuminait
la chambre, Chaque fois qu'il poussait un flamboyant soupir, Il inondait de sang cette peau
couleur d'ambre !
Je signe ce papier maîtresse, que mon âme soit livré à votre dépravation. Que je sois cet os dont les hyènes déchireront la chair restante. Que votre bonheur se
propage en intraveineuse dans les poussées ineffable de votre cœur palpitant, on ne peut plus, de savourer ce premier instant où vos yeux brûlent des feux de Carthagène et où vos mains déjà
moites d’impatience voudraient m’étrangler sans attendre pour me rendre telle jouissance incomparable. Mon sort boue déjà dans les marmites d’huiles bouillantes de votre conscience et votre
imagination sans frein. Leurs bulles éclatent au fur et à mesure que vous dessinez les contours de mon martyr effroyable. Vos deux lèvres n’en peuvent plus de s’humidifier, le plaisir n’en sera
que plus grand.
Qu’il est bon encore.
Sifflent le fouet et les cris désespérés mêlés dans les cliquetis des chaînes que l’on traîne.
Oh bon, si bon !
Qu’il ne sert à rien de les soulever.
Que le cuir rentrant dans la chair irradie l’âme dans son agonie.
Je veux mourir pour vous maîtresse,
de la plus hideuse et
douloureuse des morts.
Qu’aucun supplice ne me soit épargné tant qu’il vous réjouira.
Que vos cuisses tremblent même de bonheur et faire si mal,
si mal.
Comme un aboutissement DELIRANT.
EXODE
Maîtresse m‘avait prévenu quant à l’extrême agonie à laquelle je concourais en lui donnant mon âme. La plus extrême en fait. J’imaginais un bûché où le feu
aurait commencé par me bouffer les pieds puis m’arpenter horriblement en me lézardant le corps de remontées de flammes. J’oubliais que ce supplice mortel se devait d’être des plus chatoyants pour
ma maîtresse. Un régal inégalable. Le feu n’en était pas. Les supplices anaux en étaient. Maîtresse avait bien pensé rougir à blanc le pic de métal avant de me l’insérer dans le cul. Mais outre
que la chose aurait été difficilement réalisable, il y avait de nombreux inconvénients. D’abord le corps ne tiendrait jamais en place, les bonds qu’ils feraient rendraient pénibles les tentatives
pour l’installer sur le pieu, gâchant même la fête. Ensuite, maîtresse se devait elle-même d’installer l’anus sur le bout du pic et de l’enficher partiellement. Avec ces gesticulations, elle
aurait risqué elle-même de se brûler au dard où même les centurions qui l’accompagnaient. Enfin, plus inélégant encore, le supplicié risquerait de s’évanouir rapidement tant le crépitant supplice
était insupportable, voire même de périr très rapidement.
Voilà pourquoi, contre mauvaise fortune bon cœur, maîtresse à passer un temps important à cajoler le froid aluminium pour lui redonner un peu de vie. C’est la
fête bon sang ! Chargé de piments importés du Mexique et de Chine, parmi les plus coûteux, forcément les plus piquants, le dard de métal tapissé de rouge ressemblait à une ogive incendiée
qu’aucun fessier au monde ne supporterait une minute. Je le supporterai à crever ! Pour ma maîtresse. Pour mes 40 ans. 40 ans de maîtresse aussi. Un cadeau exceptionnel. Un dessert d’une
frugalité à renverser les cœurs. Maîtresse aura du dégueuli à profusion, de la pisse et de la chiasse, des hurlements définitifs, la mort au bout du pic acéré.
CHRONIQUES I
Deux colosses me décrochent sanguinolent et m’amènent au centre de la pièce où un drame se joue. La tête dans une mentonnière de cuir avec deux petits trous
pour respirer me laisse dans l’ignorance mais les pieds qu’on accroche à la planche de bois sur laquelle seul je me tiens, me laisse augurer l’ignoble destin de mort qui suit. Il est trop tard
pour arrêter. Une machination perverse va me noyer ! Un crime d’une ignoble cruauté va avoir lieu. Mes membres sont pétrifiés par les coups portés et j’ai l’anus encore dégoulinant. On
traîne mon corps jusqu’à la potence. Une bordée de sueur me couvre le front et le dos. Des pleurs mécaniques inondent mes joues dans de silencieux sanglots. Je suis au bord de l’apoplexie et
préférai crever d’étouffement de suite que de vivre le viol éternel que maîtresse a élaboré savamment.
Maîtresse justement avec toute sa gracilité et sa finesse. Son goût pour les supplices raffinés. Et son imagination débordante. Elle pouvait l’exercer sans
limite du mauvais goût. Quelles douleurs fatales m’avait-elle préparé ?
Les mains liées par des menottes dans le dos me bloquent et m’irritent les poignets tant elles sont serrées. Visiblement, il ne fallait pas que j’oppose la
moindre résistance. Du sac de cuir collé à la tête coule des jets de salive crachées pour tous les coups reçus tout à l’heure de maîtresse déchaînée. Je suis déjà au bord de l’épuisement. Une
valse de canes, de fouets, de cravaches que seule maîtresse m’a administré me brûlent de partout. Jusqu’à s’en fatiguer et m’en déformer les fesses et rougir le dos et les jambes. A force de
fracturer, des saignées apparaissent ça et là. Il serait pénible de chercher dans ce décor rouge, bleu et violacé la moindre parcelle de chair blanche. Essentiellement à la jointure des fesses et
des jambes qui eurent une dose irraisonnables de coups de canes noires.
C’est elle qui passe au milieu des deux colosses et s’agenouille devant moi. J’en ignorais le pourquoi mais savais qu’en ces minutes liturgiques tout était
permis et les usages démolis tant que maîtresse y trouva un volcan de jouissance. Maîtresse s’appliquait comme jamais, l’instant était tellement démoniaque que des bouffées de chaleur
emplissaient la pièce. Quiconque, novice, tournerait de l’œil à ce qui va suivre. Je criais machinalement de peur craignant q’un katana sombrement aiguisé me coupe les testicules et le sexe, mais
il n’en fut rien, j’échappais à l’émasculation pour trouver pire sort par derrière.
D’être à vos pieds votre chose.
Et qu’un met onctueux saisit votre ventre
De douceur, de mal, de délectation du mal
Oh comme c’est bon.
CHRONIQUES II
Me soulevant le plus qu’elle puisse et soutenu par un des deux colosses qui me tirait affreusement les cheveux je me tenais en souffrance sur la pointe des
pieds sur cette planche de bois que je sentais bancale. Puis maîtresse m’a violemment pris le sexe en me décalottant à l’excès le gland pour me faire reculer le ventre de façon à ce que je me
tienne les fesses en arrière. Remplir son office macabre. Je sentais sur mes bourses une pointe, ce qui me fit craindre le pire et l’émasculation encore. Mais le pire du pire c’était ici, quand
avec une dextérité insensée et malgré les efforts que je faisais en m’agitant en tout sens, maîtresse me plaça le trou du cul sur le bout du dard (que j’ignorais encore étant dans l’affolement
incapable de placer deux idées correctes).
Il était aisé de cibler mon troufignon grand ouvert par le lavement aigre que m’administra une esclave du donjon avant de me faire fouetter. Une aigreur qui me
remontait de l’estomac jusque dans l’œsophage et qui me fit déféquer mon trop plein des intestins. Cet aigreur j’en ai encore la nausée jusque sur la pointe des lévres.
Maîtresse avait du ajouter ces frugalités au dessert que constituait mon agonie alors que le contrat ne prévoyait qu’un supplice pour ma fin ! Maîtresse voulait probablement se régaler de
divers canules et cordes avant de m’engloutir. Prolonger l’excitation pour provoquer un plaisir inénarrable. Sitôt placé donc, maîtresse, pour me maintenir, me griffait les hanches et les fesses
en tremblant tant elle usait d’efforts.
Efforts exaltant au plus haut point quand on connaît la suite ! Ce qui me faisait hurler de plus belle !
Elle déchirait ma peau du cul alors que celle-ci, par ces canes et ce fouets, partait déjà en lambeaux. La douleur était insupportable. J’avais l’impression
qu’elle me retirait toute ma peau et que des flots de sang me coulaient des cuisses. Je ne pouvais plus exercer la moindre résistance et appliquait mon corps à contre cœur à suivre sa volonté. Je
gueulais et tentais de sursauter comme par reflex. En vain. Fatigué d’être sur la pointe des pieds et le colosse ayant relâché mes cheveux, je n’avais que pour appuis cette pointe que je sentais
légèrement bombée au creux de mes fesses. Résigné un instant je la laissais me sodomiser et m’élargir en posant mon corps dessus. J’avais beau refusé, ainsi maintenu avec délectation par
maîtresse, la force de graviter faisait le reste et je m’enfichais sur le pic sans présager même qu’il allait m’enculer en long en large et en travers. J’étais poupée désarticulée. La fine pointe
avait le froid du métal et glissait doucement jusqu’à m’écarquiller le cul au plus que je puisse et que m’y contraignait toute la force de maîtresse qui tirait mon corps vers le bas maintenant
afin de trouver le bon axe et de ne pas gâcher le feu d’artifice qui la faisait saliver éhonteusement. A peine eu-je compris ce qui m’arrivait que l’horreur me glaça le cœur. Ah ! Un spasme
d’une violence incroyable me fit serrer les sphincters sur le pal qui stoppait sa lente progression. C’était la survie. J’allais crever comme un chien dans des souffrances horribles !
Empalé ! Sodomisé ! Enculé !
J’ignorais sa grosseur mais malgré les sphincters archi contractés, le pal progressait en déchirant les muqueuses. Petit à petit. Dixiéme de millimétre par
dixiéme de millimétre. Je sentais bien une matière gluante me rentrer dans le fondement en même temps. Mais l’heure était à la survie la plus animale et j’en avais cure. J’étais une bête en
souffrance à qui l’on a brisé les pattes. Je veux pas crever. Je vais trop souffrir ! Je vais trop souffrir ! Je vais crever de trop souffrir ! Je voulais prendre appui sur la
planche pour me libérer et de la pointe des pieds me dévisser. Ce que je réussi presque malgré d’effroyables souffrances tant la partie qui m’enculait m’avait déjà sacrément ruiné l’anus par son
diamètre. Mais la planche s’échappa de mes pieds et je ne savais par quel sortilège sadique, quelqu’un la faisait descendre d’un cran. De sorte que je n’avais plus rien pour me sauver du supplice
du pal. Le lent empalement qui augmentait la douleur de l’écartèlement à chaque seconde devait se poursuivre jusqu’à ma mort.
LES LAMENTATIONS
Immobiles sur une plate forme en face de moi chacun des colosses s’appliquaient à me tenir le dos droit étant entendu qu’une fois insérée correctement la course
du pal dans mes entrailles obligera mon corps à se raidir et s’enficher droit dedans.
C’est elle qui avec délectation a enduit le pal de piments écrasés, non pour le lubrifier mais lui donner sa chaleur insensé et ajouter une méprisable subtilité
à mon agonie tant il sera évident que la vague brûlante plongée dans les sphincters obligera mon corps à chier (rigoureusement impossible) et par extension obligera l’anus et tout le conduit anal
à faire des efforts insensés pour rejeter les mannes de piments. Et cercle vicieux, l’écartèlement de mon trou du cul pour chier l’impossible incendie permettra au pal un enfilement plus rapide.
C’est d’imaginer par avance cet allongement des chairs qui troubla au plus haut point maîtresse quand elle massait le froid pic d’acier de ses urticantes fleurs rouges orangés. Les colosses
avaient fort à faire pour me tenir droit sur l’affreuse bite bandée car des ressources musculaires me firent m’ agiter en tout sens. Malheureusement plus je gesticulais plus le dard s’enfonçait
jusqu’à m’immobiliser enfin tant je me sentais déchiré. La vague ulcérante des piments commençaient par me cuir l’anus. Des urtications comme des braises crépitantes enfoncés dans
l’anus.
Un vomissement incontrôlé, signe de mort, remplissait mon masque de cuir. Immédiatement il me fut arraché pour ne pas que je m’y noie. De ma tête pendue contre
mon torse dégoulina de longs jets jaunes le long du ventre, sur mon sexe et sur la planche de bois. Et vomissait encore à chaque soubresaut. La brûlure était insupportable. Je vomissais de plus
belle. Maîtresse enclencha alors un nouveau palier et la planche de bois quittait mes pieds quand justement le pal m’avait suffisamment pénétré. La dégueulasserie atteignit son
point de non retour. Par la force de mes doigts de pieds j’essayais de retenir l’enfilage anal, mais le jeu ne durait que peu de temps quand la planche descendit encore de quelques centimètres et
que la force d’attraction m’attirait toujours plus bas. Le pal métallique élargi alors mon anus jusqu’à me le déchiqueter complètement. Mes beuglements résonnaient dans l’abattoir. Mes deux
fesses englobaient le pieu qui en s’enfilant déchirait comme du papier la chair de bas en haut de mes fesses, sinuant lentement jusqu’à mes couilles en enfilade. Il était entendu maintenant que
mon trou suffisamment élargi par l’horrible broche poursuivait sa chute millimètre par millimètre. Le cul en feu et le corps écartelé. Les plus horribles souffrances. Mon corps d’homme était on
ne peut plus Rigide tant le supplice et l’arrachage progressive des chairs me crevaient. Quelle régalade de lâcher ce corps en proie aux seules lois de la physique et le voir s’effondre et
s’asseoir sur sa propre mortification. La vessie proche d’être transpercée libéra un jet de pisse à mes pieds au beau milieu du déguli. Avant que, le pieu déchirant n’ordonne un jet plus rougi
dont on imagine sang et piment mélangé. Maitresse Trinity n’y tenant plus pissa elle-même droit devant elle sur le pic sans qu’on sache la part de jus de jouissance dans ce qui m’éclaboussait
pieds et jambes. L’agonie se poursuivi peu de temps le pieu rentrant dans la chair et les organes vitaux à plus vives allures, aucun muscle solide ne résistant plus.
Je hurle ce qui me reste à hurler.
Un désespoir à ruiner tous les cœurs sensibles.
Mais maîtresse, loin d’être insensible, se gargarise de mon « chant du signe » désharmonieux et déchirant.
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