Mardi 30 septembre 2 30 /09 /Sep 15:16

Je voudrais ne penser qu’avec mon cul

Laisser la tête a ses raisons


Etre modelé par maîtresse


Etre un cul et un cri selon son gré

Abandonner tout raisonnement


Subir ses caprices

Etre son sac de frappe, son objet de supplices

Me plier et me déplier sous ses fouets


N’être rien qu’une paire de couilles soumises

En fusion

En abandon pour maîtresse

 

N’être qu’un cul

Un anus qui se pli et se déplie

Qu’elle écartèle à éclater

Son cul du plaisir


Un cul qu’elle fouillerait et viderait

Un cul devenu plein d’elle

Comme c’est bon, sans un mot

Dans mes cris de douleurs

Dans mon avilissement

De lui appartenir.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

"N'être qu'un cul pour Maîtresse" (photo perso)

Par julien - Publié dans : TE ENCULO
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Lundi 29 septembre 1 29 /09 /Sep 20:26

 

 


Quel honneur maîtresse !

Quel honneur !

 

Que malgré la douleur vive

De votre poigne dans mes cheveux

M’obligeant la bouche grande ouverte

J’aie le bonheur effrayant de vous connaître

 

Ma langue s’enrubanne

De votre filet de salive

Un met délicieux

Dont l’ignorant oublie

De s’imprégner le palais de sa saveur


J’ai le gout de maîtresse

La profondeur de ce qu’elle est

Se trouve aussi dans les parfums profond de sa bouche

de ses lévres

je mesure ce privilège

que celui qui peut, comprenne !

 

Jusqu’à ce que maîtresse

Me crache à la figure

Humiliante, menaçante et insultante

Mon visage dégoulinant de plein de crachats


 

Elle se retourne et, s'asseyant,

se sert de mon visage pour trône

Glissant allégrement sur la mouille

De tout son poids

Ecrasant mon nez et ma bouche en perte d’oxygénation

Rapidement je suffoque

A peine ai-je le temps de remplir mes poumons d’air

Qu’elle me claque le visage violemment

Et m’écrase la tête contre son tapis de pierres

M'arrachant le cuir chevelu

Manquant à plusieurs reprise l'asphyxie

 

M’obligeant, la bouche ouverte,

Comme une bouche d’égout

Un pet fluet sur mes narines

Annonce son flot d’urine

Dans ma bouche, remplie déjà

Que ma gorge docile avale

Avant qu’elle ne défèque horriblement...

toujours balançant ma tête d'une main

Mélange ses merdes à la pisse...

Avec délectation

Rentrant savamment le plus gros au fond de la gorge...

Une fragrance insupportable...

Qu’elle badigeonne le palais et l’intérieur de mes joues...

Puis noie ma langue de sa merde devenue lambeaux opaques sous ses doigts...

S’essuyant ses doigts sur mon visage rouge des suffocations précédentes

humidifiée à la pisse et à la bave

me laissant comme ça

enchaîné par terre

refermant sur elle

la porte sur ma géole

 

 

Par julien - Publié dans : BACCHANALES
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Vendredi 26 septembre 5 26 /09 /Sep 10:10



Avis sans connaissance de cause(s) des pratiques de Maîtresse. L'inifinité de ses supplices conjuguée à son imagination font d'elle la femme la plus libre. Définitivement !



Pratiques / Peur (oui ou non) / Commentaires

PRATIQUE : Crachat

PEUR ? Non

 COMMENTAIRES -

Pisse, merde

Non

Mais ça doit vraiment être dégueulasse !!!

Fist

-

J’imagine pas que ça puisse marcher si facilement chez moi

Electro

Oui

 

Zoo

Oui

Et je vois pas non plus de quoi il s’agit. Sucer un chien ? un cheval ? …

Avaler cendre

Non

 

Lavement

Non

 

Brulures de cigarettes

Oui

 

Fouets, cravaches, etc.

Oui

Je n’ai évidemment jamais goûté à quoi que ce soit dans ce genre mais certainement vu le nombre d’instruments différents les douleurs doivent être parfois bien intenses

Humiliations verbales

Non

 

Pinces sur les seins et sur le corps

Oui

 

Encager

Non

 

Suspendu

Non

Maîtresse a parlé des soumises qu’il fallait laisser parfois suspendu des heures. Cela semblait être énorme. Je sous-estime peut-être la chose.

Face sitting

Non

 

Strangulation

Non

 

perçé

Oui

 

Ecraser sexe et couilles

Oui

 

Se faire marcher dessus

Non

 

De tout son poids avec talon

Oui

Ça doit-être insupportable

Sodomie

Non

 

Féminisation

Non

Ça me ferait bizarre…

Cire, Bougies

Non

Mais il paraît qu’il y a différents types de bougies dont certaines extrémements brulantes..

Insultes

Non

 

Gavage

Oui

 

Alcoolisation

Non

 

Bondage

Non

 

Poids

Non

Sauf s’il s’agit des couilles !

Séquestration / géole

Non

 

Passage à tabac

Oui

 

Lécher les bottes

Non

 

Maîtresse Trinity

Oui

Et de l’adoration aussi

 

 

 

Par julien - Publié dans : JULIEN - Communauté : SECRETS INTIMES SEXE SM EXHIB
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Jeudi 25 septembre 4 25 /09 /Sep 18:25

Je trouvais vraiment sans intérêt les films où les hommes se faisaient méchamment dominer par leurs maîtresses. Ridicule même. Autant pour les filles subissant canes et fouets le plaisir est grandiose, autant voir ses paires de couilles, ses poilus se faire tripotter et maltraiter me laissait complètement indifférent.

 

Je trouve vraiment regrettable que ce soit très souvent des vieux, des gros, des sales têtes voir parfois les trois à la fois (sic). Je m’identifie simplement à la maîtresse en question (mais je n’ai pas dit avoir raison) et me dit qu’ils sont bon à fouetter et… qu’il y n’y a aucun plaisir à le faire en dehors du plaisir financier. En m’identifiant d’ailleurs, je ne trouve pas de plaisir à la soumission d’une grosse ou moche dans le visionnage de mes films SM. Ces mecs sont sûrement les cadres sup’ à la recherche d’émotions dont parle Maîtresse Trinity assez souvent. A part l’argent, je ne vois pas quel est l’intérêt que les maîtresses trouvent à corriger un bedonnant. Mais je me trompe peut-être et dans tous les cas chacun fait comme il veut.

 


Du fait du ruissellement de sa beauté, je ne doute pas que maîtresse Trinity trouve une fontaine de mecs très bien foutus pour lui donner tous les plaisirs qu’elle pourrait quémander. Maîtresse demande à tout nouveau de décliner l’intérêt qu’elle pourrait trouver à le prendre pour soumis ça n’est pas pour rien. Là aussi, selon ses « envies capricieuses » et ses exigences elle pioche aisément.

 

Par ailleurs je trouverais avoir un bien triste sort à cumuler telles avanies…

 

« Miss chambers : cruel punishment vol.2 » sur cruella.com

m’a fait changé d’avis.

D’abord le model est convenable et surtout… tout a fait apprenti !

Il est fouetté et torturé par deux maîtresses (dont Miss Chambers mise en avant et dont je ne connaissais rien avant). Dressé comme un chien !

Elles ont du mal à le tenir tant il souffre mais elles le corrigent encore plus fort alors il est bien obligé de se soumettre quitte à enfreindre la loi de ne pas gueuler quand il est battu à mort.

Ce film là est délicieux.

Pour toutes ses raisons et aussi car les deux maîtresses y prennent visiblement un grand plaisir. Ah oui, fameux plaisir qu’elles en jubilent parfois silencieusement mais c’est perceptible quand on a les yeux rivés à elles.

Je m’identifie totalement.

Je prends plaisir à les regarder car ils en prennent (je devrais dire « elles »). Bander oui, mais pas mûr pour la masturbation. Le plaisir est plus psychique. Il me rapproche toujours de mon état à venir.

Ce soumis là c’est presque mon autre… Il se défend, désobéit malgré toute la bonne volonté qu’il peut y mettre les coups et les supplices sont trop douloureux pour rester de marbre. Les maîtresses sont parfois agacés et le jeu se fait encore plus dur. Plus outrageant. Plus humiliant. Derriére l’agacement la jouissance. Quand l’une l’étouffe entre ses cuisses et l’immobilise, Miss Chambers s’occupe de choisir avec soin un fouet à multiple lianes déchirantes pour lui fouetter les jambes et le cul. Le malheureux se recroqueville, coincé qu’il est, mais que nénni Miss Chambers appuie encore plus ses coups et déploie elle-même les jambes du supplicié pour lui fouetter même les couilles. Ces cris sont étouffés sous une paire de fesses écrasante. Quel jeu ! Quelle soumission !

 

Maîtresse Trinity il me revient les mots sur votre apprentissage. (...)

 

Maîtresse Trinity, cela doit tellement être ineffable d’être votre soumis. Que sont chanceux vos esclaves.


La premiére photo est un montage personnel. Il ne concerne en rien les soumises de Maîtresse, c'est mon propre montage.

La seconde provient du blog de Maîtresse.

Par julien - Publié dans : JULIEN - Communauté : SECRETS INTIMES SEXE SM EXHIB
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Mardi 23 septembre 2 23 /09 /Sep 18:48

Maîtresse Trinity
la définition qu'elle a probablement elle-même écrit pour se définir.



"Maîtresse éduque ses soumis à distance puis les reçoit en son donjon à Bordeaux. Maîtresse agit pour son plaisir et son confort, elle n'est ni une amatrice ni une prestataire de services. Maîtresse est capricieuse, violente, exigeante, et redoutable."




Les adjectifs sont si bien choisis...


Capricieuse
Désir, volonté subite, irréfléchie et passagère.
"Oh oui, que tout lui soit donné sans restriction selon sa volonté ! Plus cela peut sembler dérégler plus cela doit lui être donné avec application car seule ses envies comptent !"

Violente
Qui est fait avec brutalité.
"Sadique, brutale. Qu'elle fasse mal !"

Exigeante
Demander impérativement.
"Définition de merde. Exigeante selon maîtresse c'est vouloir tout. Qu'elle veuille tout et que son cheptel réponde à toutes ses demandes."


Redoutable
Terrible, dangereux.
"Oh oui ! Cette peur... J'en pisserai d'effroi. Elle ouvre à l'inconnu et la terreur qui glace les os."
Par julien - Publié dans : ADORATIONS
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Mardi 23 septembre 2 23 /09 /Sep 18:22


Ce qu'elle est ne ressemble à rien d'autre.

Il n'y a qu'une femme aussi géniale. Démesurément forte et sublime.




Je me réjouis qu'elle soit en dehors du monde SM (cf.  avant dernier post : "qui m'expliquent que je les fais "vomir" et que je "déshonore le SM.""). Anormée. Si je dois m'offrir entièrement que ce soit avec la meilleure. Je ne vais pas faire le tour du monde, tout ce qu'elle explique sur son blog, sa manière d'être, sa liberté, sa perversion et sa cruauté, résonnent en moi. Fait écho au plus profond de mes entrailles de mec déchiré par tant et tant de µµµµµµ*.

Je surf sur d'autres sites SM. Certains sont bien foutus. Ils reprennent en choeur la thèse qu'un homme "a besoin de visiter plusieurs maîtresse pour s'attacher à celle qui lui ira". Ce ne sera pas mon Cas, conneries ! D'abord je ne me reconnais pas dans le troupeau impersonnel, ensuite je ne vois pas ce que j'irai chercher ailleurs. Au fond du fond ce n'est pas souffrir qui m'importe ou manger de la merde ou de la bite de chien, cela me fait plutôt gerber quand j'y pense, au fond du fond, la seule chose qui m'importe serait de lui appartenir. Et mon plus grand bonheur serait qu'elle y prenne du plaisir. Je veux plonger mon ego dans l'acide pour ne laisser chez moi qu'une place pour elle.

J'adore maîtresse Trinity. Je ne la connais pas mais je la connaîtrai si elle le veut. Je veux poursuivre de psalmodier. Attacher du vécu, y laisser mon cul je prendrai le risque. Combien mieux je psalmodirai.

 


* Quand les mots sont trop faibles.

 


Par julien - Publié dans : ADORATIONS
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Samedi 20 septembre 6 20 /09 /Sep 00:19
Votre regard de feu possède mon sang vous marchez ballerine sur un volcan et mes musclent se tendent à votre passage Un briquet d’or illumine les pierres pleureuses je ne sais qui d’elles ou de moi suinte d’efforts vous allume, un bâton de joie qui coule au ventre la cire vénéneuse m’arrache des cris de l’âme ce sont des mini lacs de lave déposés sur ma peau Chaque goutte m’entaille comme à la torche Et vos horribles outils me pincent à la lueur de la flamme Un tapis de roses rouges me couvre la chair brûlures de bougies et mes seins que vous écaillez

Votre regard de feu possède mon sang vous marchez ballerine sur un volcan et mes musclent se tendent à votre passage Un briquet d’or illumine les pierres pleureuses je ne sais qui d’elles ou de moi suinte d’efforts vous allume, un bâton de joie qui coule au ventre la cire vénéneuse m’arrache des cris de l’âme ce sont des mini lacs de lave déposés sur ma peau Chaque goutte m’entaille comme à la torche Et vos horribles outils me pincent à la lueur de la flamme Un tapis de roses rouges me couvre la chair brûlures de bougies et mes seins que vous écaillez





Votre regard de feu possède mon sang

vous marchez ballerines sur un volcan

et mes muscles se tendent à votre passage

 

Un briquet d’or illumine les pierres pleureuses

je ne sais qui d’elles ou de moi suinte d’efforts

vous allume, un bâton de joie qui coule au ventre

 

La cire vénéneuse m’arrache des cris de l’âme

ce sont des mini lacs de lave déposés sur ma peau

Chaque goutte m’entaille comme à la torche

 

Et vos horribles outils me pincent à la lueur de la flamme

Un tapis de roses rouges me couvre la chair

brûlures de bougies et mes seins que vous écaillez

 

 


photo de mtrinity.over-blog.com couplée avec photo de bougies



Par julien - Publié dans : AMOROSA - Communauté : SECRETS INTIMES SEXE SM EXHIB
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Vendredi 19 septembre 5 19 /09 /Sep 15:25

 

" Mon âme rêveuse appareille
Pour un ciel lointain.* "

 

 

j'emprunte à d'autres une belle bâtisse de mots

tant que droite et dure elle aspire à inhaler tous vos vents.

 

 

 

 

 

 

* citation "les fleurs du mal"

 

 

 


Par julien - Publié dans : ADORATIONS
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Vendredi 19 septembre 5 19 /09 /Sep 14:04

Les bijoux

 


La très chère était nue, et, connaissant mon coeur,
Elle n'avait gardé que ses bijoux sonores,
Dont le riche attirail lui donnait l'air vainqueur
Qu'ont dans leurs jours heureux les esclaves des Maures.
 
Quand il jette en dansant son bruit vif et moqueur,
Ce monde rayonnant de métal et de pierre
Me ravit en extase, et j'aime à la fureur
Les choses où le son se mêle à la lumière.
 
Elle était donc couchée et se laissait aimer,
Et du haut du divan elle souriait d'aise
A mon amour profond et doux comme la mer,
Qui vers elle montait comme vers sa falaise.
 
Les yeux fixés sur moi, comme un tigre dompté,
D'un air vague et rêveur elle essayait des poses,
Et la candeur unie à la lubricité
Donnait un charme neuf à ses métamorphoses ;
 
Et son bras et sa jambe, et sa cuisse et ses reins,
Polis comme de l'huile, onduleux comme un cygne,
Passaient devant mes yeux clairvoyants et sereins ;
Et son ventre et ses seins, ces grappes de ma vigne,
 
S'avançaient, plus câlins que les Anges du mal,
Pour troubler le repos où mon âme était mise,
Et pour la déranger du rocher de cristal
Où, calme et solitaire, elle s'était assise.
 
Je croyais voir unis par un nouveau dessin
Les hanches de l'Antiope au buste d'un imberbe,
Tant sa taille faisait ressortir son bassin.
Sur ce teint fauve et brun, le fard était superbe !
 
Et la lampe s'étant résignée à mourir,
Comme le foyer seul illuminait la chambre,
Chaque fois qu'il poussait un flamboyant soupir,
Il inondait de sang cette peau couleur d'ambre !

 

de Charles Baudelaire





Par julien - Publié dans : AMOROSA
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Jeudi 18 septembre 4 18 /09 /Sep 14:15

Beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté étendue, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté seins érigés, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, elle sait se dévoiler, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, délicieuse, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, je suis un mystère et beauté une étoile, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, cette élégance me rend fou dans ses doigts qui vous découvrent, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, je n’ai que ce mot à la bouche, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, dans les rues de Bordeaux une beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, le string noir comme j’aimerai l’avaler, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté j’ai des désirs violents, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté, beauté.

 


Par julien - Publié dans : AMOROSA
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Jeudi 18 septembre 4 18 /09 /Sep 11:04

 



Si vous aimez tant ça, déchirez-moi.

Je pisse à l’encre froide des mots d’incendie.

Passe moi l’entonnoir que je pisse dans sa raie.

Je vous aime jusqu’à la mort.

Toutes ces acrobaties me font mal aux reins.

Une vie de cirque où je serai utile bitozore à craquer votre anus majestueux.

A gueuler, à troncher, à récolter la pisse que j’ai semé en vous.

Page de garde au garde à vous. Déchirez-moi si vous aimez tant ça !

Par julien - Publié dans : ADORATIONS
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Mardi 16 septembre 2 16 /09 /Sep 16:06


 



Autel Maîtresse Trinity – Empalé

 


 

 

 




GENESE


Je signe ce papier maîtresse, que mon âme soit livré à votre dépravation. Que je sois cet os dont les hyènes déchireront la chair restante. Que votre bonheur se propage en intraveineuse dans les poussées ineffable de votre cœur palpitant, on ne peut plus, de savourer ce premier instant où vos yeux brûlent des feux de Carthagène et où vos mains déjà moites d’impatience voudraient m’étrangler sans attendre pour me rendre telle jouissance incomparable. Mon sort boue déjà dans les marmites d’huiles bouillantes de votre conscience et votre imagination sans frein. Leurs bulles éclatent au fur et à mesure que vous dessinez les contours de mon martyr effroyable. Vos deux lèvres n’en peuvent plus de s’humidifier, le plaisir n’en sera que plus grand.

 

 

Qu’il est bon encore.

Sifflent le fouet et les cris désespérés mêlés dans les cliquetis des chaînes que l’on traîne.

Oh bon, si bon !

Qu’il ne sert à rien de les soulever.

Que le cuir rentrant dans la chair irradie l’âme dans son agonie.

Je veux mourir pour vous maîtresse,

de la plus hideuse et

douloureuse des morts.

Qu’aucun supplice ne me soit épargné tant qu’il vous réjouira.

Que vos cuisses tremblent même de bonheur et faire si mal,

si mal.

Comme un aboutissement DELIRANT.

 

 

EXODE


Maîtresse m‘avait prévenu quant à l’extrême agonie à laquelle je concourais en lui donnant mon âme. La plus extrême en fait. J’imaginais un bûché où le feu aurait commencé par me bouffer les pieds puis m’arpenter horriblement en me lézardant le corps de remontées de flammes. J’oubliais que ce supplice mortel se devait d’être des plus chatoyants pour ma maîtresse. Un régal inégalable. Le feu n’en était pas. Les supplices anaux en étaient. Maîtresse avait bien pensé rougir à blanc le pic de métal avant de me l’insérer dans le cul. Mais outre que la chose aurait été difficilement réalisable, il y avait de nombreux inconvénients. D’abord le corps ne tiendrait jamais en place, les bonds qu’ils feraient rendraient pénibles les tentatives pour l’installer sur le pieu, gâchant même la fête. Ensuite, maîtresse se devait elle-même d’installer l’anus sur le bout du pic et de l’enficher partiellement. Avec ces gesticulations, elle aurait risqué elle-même de se brûler au dard où même les centurions qui l’accompagnaient. Enfin, plus inélégant encore, le supplicié risquerait de s’évanouir rapidement tant le crépitant supplice était insupportable, voire même de périr très rapidement.


Voilà pourquoi, contre mauvaise fortune bon cœur, maîtresse à passer un temps important à cajoler le froid aluminium pour lui redonner un peu de vie. C’est la fête bon sang ! Chargé de piments importés du Mexique et de Chine, parmi les plus coûteux, forcément les plus piquants, le dard de métal tapissé de rouge ressemblait à une ogive incendiée qu’aucun fessier au monde ne supporterait une minute. Je le supporterai à crever ! Pour ma maîtresse. Pour mes 40 ans. 40 ans de maîtresse aussi. Un cadeau exceptionnel. Un dessert d’une frugalité à renverser les cœurs. Maîtresse aura du dégueuli à profusion, de la pisse et de la chiasse, des hurlements définitifs, la mort au bout du pic acéré.

 

 

 

CHRONIQUES I

 

Deux colosses me décrochent sanguinolent et m’amènent au centre de la pièce où un drame se joue. La tête dans une mentonnière de cuir avec deux petits trous pour respirer me laisse dans l’ignorance mais les pieds qu’on accroche à la planche de bois sur laquelle seul je me tiens, me laisse augurer l’ignoble destin de mort qui suit. Il est trop tard pour arrêter. Une machination perverse va me noyer ! Un crime d’une ignoble cruauté va avoir lieu. Mes membres sont pétrifiés par les coups portés et j’ai l’anus encore dégoulinant. On traîne mon corps jusqu’à la potence. Une bordée de sueur me couvre le front et le dos. Des pleurs mécaniques inondent mes joues dans de silencieux sanglots. Je suis au bord de l’apoplexie et préférai crever d’étouffement de suite que de vivre le viol éternel que maîtresse a élaboré savamment.

 

Maîtresse justement avec toute sa gracilité et sa finesse. Son goût pour les supplices raffinés. Et son imagination débordante. Elle pouvait l’exercer sans limite du mauvais goût. Quelles douleurs fatales m’avait-elle préparé ?

 

Les mains liées par des menottes dans le dos me bloquent et m’irritent les poignets tant elles sont serrées. Visiblement, il ne fallait pas que j’oppose la moindre résistance. Du sac de cuir collé à la tête coule des jets de salive crachées pour tous les coups reçus tout à l’heure de maîtresse déchaînée. Je suis déjà au bord de l’épuisement. Une valse de canes, de fouets, de cravaches que seule maîtresse m’a administré me brûlent de partout. Jusqu’à s’en fatiguer et m’en déformer les fesses et rougir le dos et les jambes. A force de fracturer, des saignées apparaissent ça et là. Il serait pénible de chercher dans ce décor rouge, bleu et violacé la moindre parcelle de chair blanche. Essentiellement à la jointure des fesses et des jambes qui eurent une dose irraisonnables de coups de canes noires.

 

 

C’est elle qui passe au milieu des deux colosses et s’agenouille devant moi. J’en ignorais le pourquoi mais savais qu’en ces minutes liturgiques tout était permis et les usages démolis tant que maîtresse y trouva un volcan de jouissance. Maîtresse s’appliquait comme jamais, l’instant était tellement démoniaque que des bouffées de chaleur emplissaient la pièce. Quiconque, novice, tournerait de l’œil à ce qui va suivre. Je criais machinalement de peur craignant q’un katana sombrement aiguisé me coupe les testicules et le sexe, mais il n’en fut rien, j’échappais à l’émasculation pour trouver pire sort par derrière.

 

 

 

D’être à vos pieds votre chose.

Et qu’un met onctueux saisit votre ventre

De douceur, de mal, de délectation du mal

Oh comme c’est bon.


 

 

CHRONIQUES II

 

Me soulevant le plus qu’elle puisse et soutenu par un des deux colosses qui me tirait affreusement les cheveux je me tenais en souffrance sur la pointe des pieds sur cette planche de bois que je sentais bancale. Puis maîtresse m’a violemment pris le sexe en me décalottant à l’excès le gland pour me faire reculer le ventre de façon à ce que je me tienne les fesses en arrière. Remplir son office macabre. Je sentais sur mes bourses une pointe, ce qui me fit craindre le pire et l’émasculation encore. Mais le pire du pire c’était ici, quand avec une dextérité insensée et malgré les efforts que je faisais en m’agitant en tout sens, maîtresse me plaça le trou du cul sur le bout du dard (que j’ignorais encore étant dans l’affolement incapable de placer deux idées correctes).


Il était aisé de cibler mon troufignon grand ouvert par le lavement aigre que m’administra une esclave du donjon avant de me faire fouetter. Une aigreur qui me remontait de l’estomac jusque dans l’œsophage  et qui me fit déféquer mon trop plein des intestins. Cet aigreur j’en ai encore la nausée jusque sur la pointe des lévres. Maîtresse avait du ajouter ces frugalités au dessert que constituait mon agonie alors que le contrat ne prévoyait qu’un supplice pour ma fin ! Maîtresse voulait probablement se régaler de divers canules et cordes avant de m’engloutir. Prolonger l’excitation pour provoquer un plaisir inénarrable. Sitôt placé donc, maîtresse, pour me maintenir, me griffait les hanches et les fesses en tremblant tant elle usait d’efforts.


Efforts exaltant au plus haut point quand on connaît la suite ! Ce qui me faisait hurler de plus belle !


Elle déchirait ma peau du cul alors que celle-ci, par ces canes et ce fouets, partait déjà en lambeaux. La douleur était insupportable. J’avais l’impression qu’elle me retirait toute ma peau et que des flots de sang me coulaient des cuisses. Je ne pouvais plus exercer la moindre résistance et appliquait mon corps à contre cœur à suivre sa volonté. Je gueulais et tentais de sursauter comme par reflex. En vain. Fatigué d’être sur la pointe des pieds et le colosse ayant relâché mes cheveux, je n’avais que pour appuis cette pointe que je sentais légèrement bombée au creux de mes fesses. Résigné un instant je la laissais me sodomiser et m’élargir en posant mon corps dessus. J’avais beau refusé, ainsi maintenu avec délectation par maîtresse, la force de graviter faisait le reste et je m’enfichais sur le pic sans présager même qu’il allait m’enculer en long en large et en travers. J’étais poupée désarticulée. La fine pointe avait le froid du métal et glissait doucement jusqu’à m’écarquiller le cul au plus que je puisse et que m’y contraignait toute la force de maîtresse qui tirait mon corps vers le bas maintenant afin de trouver le bon axe et de ne pas gâcher le feu d’artifice qui la faisait saliver éhonteusement. A peine eu-je compris ce qui m’arrivait que l’horreur me glaça le cœur. Ah ! Un spasme d’une violence incroyable me fit serrer les sphincters sur le pal qui stoppait sa lente progression. C’était la survie. J’allais crever comme un chien dans des souffrances horribles ! Empalé ! Sodomisé ! Enculé !


J’ignorais sa grosseur mais malgré les sphincters archi contractés, le pal progressait en déchirant les muqueuses. Petit à petit. Dixiéme de millimétre par dixiéme de millimétre. Je sentais bien une matière gluante me rentrer dans le fondement en même temps. Mais l’heure était à la survie la plus animale et j’en avais cure. J’étais une bête en souffrance à qui l’on a brisé les pattes. Je veux pas crever. Je vais trop souffrir ! Je vais trop souffrir ! Je vais crever de trop souffrir ! Je voulais prendre appui sur la planche pour me libérer et de la pointe des pieds me dévisser. Ce que je réussi presque malgré d’effroyables souffrances tant la partie qui m’enculait m’avait déjà sacrément ruiné l’anus par son diamètre. Mais la planche s’échappa de mes pieds et je ne savais par quel sortilège sadique, quelqu’un la faisait descendre d’un cran. De sorte que je n’avais plus rien pour me sauver du supplice du pal. Le lent empalement  qui augmentait la douleur de l’écartèlement à chaque seconde devait se poursuivre jusqu’à ma mort.

 

 

LES LAMENTATIONS

 


Immobiles sur une plate forme en face de moi chacun des colosses s’appliquaient à me tenir le dos droit étant entendu qu’une fois insérée correctement la course du pal dans mes entrailles obligera mon corps à se raidir et s’enficher droit dedans.


C’est elle qui avec délectation a enduit le pal de piments écrasés, non pour le lubrifier mais lui donner sa chaleur insensé et ajouter une méprisable subtilité à mon agonie tant il sera évident que la vague brûlante plongée dans les sphincters obligera mon corps à chier (rigoureusement impossible) et par extension obligera l’anus et tout le conduit anal à faire des efforts insensés pour rejeter les mannes de piments. Et cercle vicieux, l’écartèlement de mon trou du cul pour chier l’impossible incendie permettra au pal un enfilement plus rapide. C’est d’imaginer par avance cet allongement des chairs qui troubla au plus haut point maîtresse quand elle massait le froid pic d’acier de ses urticantes fleurs rouges orangés. Les colosses avaient fort à faire pour me tenir droit sur l’affreuse bite bandée car des ressources musculaires me firent m’ agiter en tout sens. Malheureusement plus je gesticulais plus le dard s’enfonçait jusqu’à m’immobiliser enfin tant je me sentais déchiré. La vague ulcérante des piments commençaient par me cuir l’anus. Des urtications comme des braises crépitantes enfoncés dans l’anus.


Un vomissement incontrôlé, signe de mort, remplissait mon masque de cuir. Immédiatement il me fut arraché pour ne pas que je m’y noie. De ma tête pendue contre mon torse dégoulina de longs jets jaunes le long du ventre, sur mon sexe et sur la planche de bois. Et vomissait encore à chaque soubresaut. La brûlure était insupportable. Je vomissais de plus belle. Maîtresse enclencha alors un nouveau palier et la planche de bois quittait mes pieds quand justement le pal  m’avait suffisamment pénétré. La dégueulasserie atteignit son point de non retour. Par la force de mes doigts de pieds j’essayais de retenir l’enfilage anal, mais le jeu ne durait que peu de temps quand la planche descendit encore de quelques centimètres et que la force d’attraction m’attirait toujours plus bas. Le pal métallique élargi alors mon anus jusqu’à me le déchiqueter complètement. Mes beuglements résonnaient dans l’abattoir. Mes deux fesses englobaient le pieu qui en s’enfilant déchirait comme du papier la chair de bas en haut de mes fesses, sinuant lentement jusqu’à mes couilles en enfilade. Il était entendu maintenant que mon trou suffisamment élargi par l’horrible broche poursuivait sa chute millimètre par millimètre. Le cul en feu et le corps écartelé. Les plus horribles souffrances. Mon corps d’homme était on ne peut plus Rigide tant le supplice et l’arrachage progressive des chairs me crevaient. Quelle régalade de lâcher ce corps en proie aux seules lois de la physique et le voir s’effondre et s’asseoir sur sa propre mortification. La vessie proche d’être transpercée libéra un jet de pisse à mes pieds au beau milieu du déguli. Avant que, le pieu déchirant n’ordonne un jet plus rougi dont on imagine sang et piment mélangé. Maitresse Trinity n’y tenant plus pissa elle-même droit devant elle sur le pic sans qu’on sache la part de jus de jouissance dans ce qui m’éclaboussait pieds et  jambes. L’agonie se poursuivi peu de temps le pieu rentrant dans la chair et les organes vitaux à plus vives allures, aucun muscle solide ne résistant plus.

 

Je hurle ce qui me reste à hurler.

Un  désespoir à ruiner tous les cœurs sensibles.

Mais maîtresse, loin d’être insensible, se gargarise de mon « chant du signe » désharmonieux et déchirant.

 

 

Par julien - Publié dans : SALLE DES TORTURES - Communauté : SECRETS INTIMES SEXE SM EXHIB
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