Mardi 16 septembre 2 16 /09 /Sep 16:06


 



Autel Maîtresse Trinity – Empalé

 


 

 

 




GENESE


Je signe ce papier maîtresse, que mon âme soit livré à votre dépravation. Que je sois cet os dont les hyènes déchireront la chair restante. Que votre bonheur se propage en intraveineuse dans les poussées ineffable de votre cœur palpitant, on ne peut plus, de savourer ce premier instant où vos yeux brûlent des feux de Carthagène et où vos mains déjà moites d’impatience voudraient m’étrangler sans attendre pour me rendre telle jouissance incomparable. Mon sort boue déjà dans les marmites d’huiles bouillantes de votre conscience et votre imagination sans frein. Leurs bulles éclatent au fur et à mesure que vous dessinez les contours de mon martyr effroyable. Vos deux lèvres n’en peuvent plus de s’humidifier, le plaisir n’en sera que plus grand.

 

 

Qu’il est bon encore.

Sifflent le fouet et les cris désespérés mêlés dans les cliquetis des chaînes que l’on traîne.

Oh bon, si bon !

Qu’il ne sert à rien de les soulever.

Que le cuir rentrant dans la chair irradie l’âme dans son agonie.

Je veux mourir pour vous maîtresse,

de la plus hideuse et

douloureuse des morts.

Qu’aucun supplice ne me soit épargné tant qu’il vous réjouira.

Que vos cuisses tremblent même de bonheur et faire si mal,

si mal.

Comme un aboutissement DELIRANT.

 

 

EXODE


Maîtresse m‘avait prévenu quant à l’extrême agonie à laquelle je concourais en lui donnant mon âme. La plus extrême en fait. J’imaginais un bûché où le feu aurait commencé par me bouffer les pieds puis m’arpenter horriblement en me lézardant le corps de remontées de flammes. J’oubliais que ce supplice mortel se devait d’être des plus chatoyants pour ma maîtresse. Un régal inégalable. Le feu n’en était pas. Les supplices anaux en étaient. Maîtresse avait bien pensé rougir à blanc le pic de métal avant de me l’insérer dans le cul. Mais outre que la chose aurait été difficilement réalisable, il y avait de nombreux inconvénients. D’abord le corps ne tiendrait jamais en place, les bonds qu’ils feraient rendraient pénibles les tentatives pour l’installer sur le pieu, gâchant même la fête. Ensuite, maîtresse se devait elle-même d’installer l’anus sur le bout du pic et de l’enficher partiellement. Avec ces gesticulations, elle aurait risqué elle-même de se brûler au dard où même les centurions qui l’accompagnaient. Enfin, plus inélégant encore, le supplicié risquerait de s’évanouir rapidement tant le crépitant supplice était insupportable, voire même de périr très rapidement.


Voilà pourquoi, contre mauvaise fortune bon cœur, maîtresse à passer un temps important à cajoler le froid aluminium pour lui redonner un peu de vie. C’est la fête bon sang ! Chargé de piments importés du Mexique et de Chine, parmi les plus coûteux, forcément les plus piquants, le dard de métal tapissé de rouge ressemblait à une ogive incendiée qu’aucun fessier au monde ne supporterait une minute. Je le supporterai à crever ! Pour ma maîtresse. Pour mes 40 ans. 40 ans de maîtresse aussi. Un cadeau exceptionnel. Un dessert d’une frugalité à renverser les cœurs. Maîtresse aura du dégueuli à profusion, de la pisse et de la chiasse, des hurlements définitifs, la mort au bout du pic acéré.

 

 

 

CHRONIQUES I

 

Deux colosses me décrochent sanguinolent et m’amènent au centre de la pièce où un drame se joue. La tête dans une mentonnière de cuir avec deux petits trous pour respirer me laisse dans l’ignorance mais les pieds qu’on accroche à la planche de bois sur laquelle seul je me tiens, me laisse augurer l’ignoble destin de mort qui suit. Il est trop tard pour arrêter. Une machination perverse va me noyer ! Un crime d’une ignoble cruauté va avoir lieu. Mes membres sont pétrifiés par les coups portés et j’ai l’anus encore dégoulinant. On traîne mon corps jusqu’à la potence. Une bordée de sueur me couvre le front et le dos. Des pleurs mécaniques inondent mes joues dans de silencieux sanglots. Je suis au bord de l’apoplexie et préférai crever d’étouffement de suite que de vivre le viol éternel que maîtresse a élaboré savamment.

 

Maîtresse justement avec toute sa gracilité et sa finesse. Son goût pour les supplices raffinés. Et son imagination débordante. Elle pouvait l’exercer sans limite du mauvais goût. Quelles douleurs fatales m’avait-elle préparé ?

 

Les mains liées par des menottes dans le dos me bloquent et m’irritent les poignets tant elles sont serrées. Visiblement, il ne fallait pas que j’oppose la moindre résistance. Du sac de cuir collé à la tête coule des jets de salive crachées pour tous les coups reçus tout à l’heure de maîtresse déchaînée. Je suis déjà au bord de l’épuisement. Une valse de canes, de fouets, de cravaches que seule maîtresse m’a administré me brûlent de partout. Jusqu’à s’en fatiguer et m’en déformer les fesses et rougir le dos et les jambes. A force de fracturer, des saignées apparaissent ça et là. Il serait pénible de chercher dans ce décor rouge, bleu et violacé la moindre parcelle de chair blanche. Essentiellement à la jointure des fesses et des jambes qui eurent une dose irraisonnables de coups de canes noires.

 

 

C’est elle qui passe au milieu des deux colosses et s’agenouille devant moi. J’en ignorais le pourquoi mais savais qu’en ces minutes liturgiques tout était permis et les usages démolis tant que maîtresse y trouva un volcan de jouissance. Maîtresse s’appliquait comme jamais, l’instant était tellement démoniaque que des bouffées de chaleur emplissaient la pièce. Quiconque, novice, tournerait de l’œil à ce qui va suivre. Je criais machinalement de peur craignant q’un katana sombrement aiguisé me coupe les testicules et le sexe, mais il n’en fut rien, j’échappais à l’émasculation pour trouver pire sort par derrière.

 

 

 

D’être à vos pieds votre chose.

Et qu’un met onctueux saisit votre ventre

De douceur, de mal, de délectation du mal

Oh comme c’est bon.


 

 

CHRONIQUES II

 

Me soulevant le plus qu’elle puisse et soutenu par un des deux colosses qui me tirait affreusement les cheveux je me tenais en souffrance sur la pointe des pieds sur cette planche de bois que je sentais bancale. Puis maîtresse m’a violemment pris le sexe en me décalottant à l’excès le gland pour me faire reculer le ventre de façon à ce que je me tienne les fesses en arrière. Remplir son office macabre. Je sentais sur mes bourses une pointe, ce qui me fit craindre le pire et l’émasculation encore. Mais le pire du pire c’était ici, quand avec une dextérité insensée et malgré les efforts que je faisais en m’agitant en tout sens, maîtresse me plaça le trou du cul sur le bout du dard (que j’ignorais encore étant dans l’affolement incapable de placer deux idées correctes).


Il était aisé de cibler mon troufignon grand ouvert par le lavement aigre que m’administra une esclave du donjon avant de me faire fouetter. Une aigreur qui me remontait de l’estomac jusque dans l’œsophage  et qui me fit déféquer mon trop plein des intestins. Cet aigreur j’en ai encore la nausée jusque sur la pointe des lévres. Maîtresse avait du ajouter ces frugalités au dessert que constituait mon agonie alors que le contrat ne prévoyait qu’un supplice pour ma fin ! Maîtresse voulait probablement se régaler de divers canules et cordes avant de m’engloutir. Prolonger l’excitation pour provoquer un plaisir inénarrable. Sitôt placé donc, maîtresse, pour me maintenir, me griffait les hanches et les fesses en tremblant tant elle usait d’efforts.


Efforts exaltant au plus haut point quand on connaît la suite ! Ce qui me faisait hurler de plus belle !


Elle déchirait ma peau du cul alors que celle-ci, par ces canes et ce fouets, partait déjà en lambeaux. La douleur était insupportable. J’avais l’impression qu’elle me retirait toute ma peau et que des flots de sang me coulaient des cuisses. Je ne pouvais plus exercer la moindre résistance et appliquait mon corps à contre cœur à suivre sa volonté. Je gueulais et tentais de sursauter comme par reflex. En vain. Fatigué d’être sur la pointe des pieds et le colosse ayant relâché mes cheveux, je n’avais que pour appuis cette pointe que je sentais légèrement bombée au creux de mes fesses. Résigné un instant je la laissais me sodomiser et m’élargir en posant mon corps dessus. J’avais beau refusé, ainsi maintenu avec délectation par maîtresse, la force de graviter faisait le reste et je m’enfichais sur le pic sans présager même qu’il allait m’enculer en long en large et en travers. J’étais poupée désarticulée. La fine pointe avait le froid du métal et glissait doucement jusqu’à m’écarquiller le cul au plus que je puisse et que m’y contraignait toute la force de maîtresse qui tirait mon corps vers le bas maintenant afin de trouver le bon axe et de ne pas gâcher le feu d’artifice qui la faisait saliver éhonteusement. A peine eu-je compris ce qui m’arrivait que l’horreur me glaça le cœur. Ah ! Un spasme d’une violence incroyable me fit serrer les sphincters sur le pal qui stoppait sa lente progression. C’était la survie. J’allais crever comme un chien dans des souffrances horribles ! Empalé ! Sodomisé ! Enculé !


J’ignorais sa grosseur mais malgré les sphincters archi contractés, le pal progressait en déchirant les muqueuses. Petit à petit. Dixiéme de millimétre par dixiéme de millimétre. Je sentais bien une matière gluante me rentrer dans le fondement en même temps. Mais l’heure était à la survie la plus animale et j’en avais cure. J’étais une bête en souffrance à qui l’on a brisé les pattes. Je veux pas crever. Je vais trop souffrir ! Je vais trop souffrir ! Je vais crever de trop souffrir ! Je voulais prendre appui sur la planche pour me libérer et de la pointe des pieds me dévisser. Ce que je réussi presque malgré d’effroyables souffrances tant la partie qui m’enculait m’avait déjà sacrément ruiné l’anus par son diamètre. Mais la planche s’échappa de mes pieds et je ne savais par quel sortilège sadique, quelqu’un la faisait descendre d’un cran. De sorte que je n’avais plus rien pour me sauver du supplice du pal. Le lent empalement  qui augmentait la douleur de l’écartèlement à chaque seconde devait se poursuivre jusqu’à ma mort.

 

 

LES LAMENTATIONS

 


Immobiles sur une plate forme en face de moi chacun des colosses s’appliquaient à me tenir le dos droit étant entendu qu’une fois insérée correctement la course du pal dans mes entrailles obligera mon corps à se raidir et s’enficher droit dedans.


C’est elle qui avec délectation a enduit le pal de piments écrasés, non pour le lubrifier mais lui donner sa chaleur insensé et ajouter une méprisable subtilité à mon agonie tant il sera évident que la vague brûlante plongée dans les sphincters obligera mon corps à chier (rigoureusement impossible) et par extension obligera l’anus et tout le conduit anal à faire des efforts insensés pour rejeter les mannes de piments. Et cercle vicieux, l’écartèlement de mon trou du cul pour chier l’impossible incendie permettra au pal un enfilement plus rapide. C’est d’imaginer par avance cet allongement des chairs qui troubla au plus haut point maîtresse quand elle massait le froid pic d’acier de ses urticantes fleurs rouges orangés. Les colosses avaient fort à faire pour me tenir droit sur l’affreuse bite bandée car des ressources musculaires me firent m’ agiter en tout sens. Malheureusement plus je gesticulais plus le dard s’enfonçait jusqu’à m’immobiliser enfin tant je me sentais déchiré. La vague ulcérante des piments commençaient par me cuir l’anus. Des urtications comme des braises crépitantes enfoncés dans l’anus.


Un vomissement incontrôlé, signe de mort, remplissait mon masque de cuir. Immédiatement il me fut arraché pour ne pas que je m’y noie. De ma tête pendue contre mon torse dégoulina de longs jets jaunes le long du ventre, sur mon sexe et sur la planche de bois. Et vomissait encore à chaque soubresaut. La brûlure était insupportable. Je vomissais de plus belle. Maîtresse enclencha alors un nouveau palier et la planche de bois quittait mes pieds quand justement le pal  m’avait suffisamment pénétré. La dégueulasserie atteignit son point de non retour. Par la force de mes doigts de pieds j’essayais de retenir l’enfilage anal, mais le jeu ne durait que peu de temps quand la planche descendit encore de quelques centimètres et que la force d’attraction m’attirait toujours plus bas. Le pal métallique élargi alors mon anus jusqu’à me le déchiqueter complètement. Mes beuglements résonnaient dans l’abattoir. Mes deux fesses englobaient le pieu qui en s’enfilant déchirait comme du papier la chair de bas en haut de mes fesses, sinuant lentement jusqu’à mes couilles en enfilade. Il était entendu maintenant que mon trou suffisamment élargi par l’horrible broche poursuivait sa chute millimètre par millimètre. Le cul en feu et le corps écartelé. Les plus horribles souffrances. Mon corps d’homme était on ne peut plus Rigide tant le supplice et l’arrachage progressive des chairs me crevaient. Quelle régalade de lâcher ce corps en proie aux seules lois de la physique et le voir s’effondre et s’asseoir sur sa propre mortification. La vessie proche d’être transpercée libéra un jet de pisse à mes pieds au beau milieu du déguli. Avant que, le pieu déchirant n’ordonne un jet plus rougi dont on imagine sang et piment mélangé. Maitresse Trinity n’y tenant plus pissa elle-même droit devant elle sur le pic sans qu’on sache la part de jus de jouissance dans ce qui m’éclaboussait pieds et  jambes. L’agonie se poursuivi peu de temps le pieu rentrant dans la chair et les organes vitaux à plus vives allures, aucun muscle solide ne résistant plus.

 

Je hurle ce qui me reste à hurler.

Un  désespoir à ruiner tous les cœurs sensibles.

Mais maîtresse, loin d’être insensible, se gargarise de mon « chant du signe » désharmonieux et déchirant.

 

 


Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

NAVIGATION ARACHNIDE

Le Blog

  • : Le blog de Julien sur Maîtresse Trinity
  • : 17/07/2008
  • Le blog de Julien sur Maîtresse Trinity
  • : Blog entièrement dédié à Splendide Maîtresse Trinity. Libre, Anale et Raffinée. Tout ce qu'elle me procure. Infiniment & intensément. Sans aucune limite.
  • Contact

Catégories

Au Jour Le Jour

Mai 2025
L M M J V S D
      1 2 3 4
5 6 7 8 9 10 11
12 13 14 15 16 17 18
19 20 21 22 23 24 25
26 27 28 29 30 31  
<< < > >>

Rechercher

Commentaires

2011

bouffe moi la chatte Sim

 

maitresse trinity seins explosifs

 

 

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés