"Y H V H U M U S"
Je suis lisse. Pas courageux. J’ai fait un mur de coton tout autour de mes proches, de la petite cellule familiale que j’ai tissé (quoi que certains trouveraient que ça fait déjà beaucoup). Je méne ma vie sans vague. Bohéme, sous les ponts ou bien curé ç’aurait pu être mon autre vie sans en changer l'essence. Une autre luciole... volant... toujours vers son but. L’humus, la terre en a toujours eu besoin.
"Poukoikon Baiz"
Ça c’est sur j’ai l’air d’en jeter dans les yeux des mignones que je drague
pour les baiser (poukoikon baiz) mais c’est un rideau de fumée. Y’a rien
derriére. Quelques gouttes de sueur et après ? Je m’en fous dans le fond
je rêve de crever de ses coups de fouets et de
ses tortures et me trouver
plongé dans
l’effroi, la décadence de son saint-Sade. Saint-Sade revenu
de Charenton dans ses habits féminins pour corriger un âne. Et bien qu’elle me
foutte dans le boudoir et me fasse vivre les turpitudes qui agite son cœur
enflammé. Les chaînes à mon corps amaigri que je peine à soulever. Les
yeux livides d’avoir vécu trop de nuits.
"On comprend mieux ce dont on est capable soit-même."
Qu’elle m’enseigne comme la petite sotte du boudoir mais qu’elle me fasse
saisir à l’aiguille marinée dans le feu, le vacarme que fait son cœur plein
d’envies quand il s’agite à se dire que… la chose va se réaliser ! Que je signe
à la vie à la mort et succombe. Puis… que je me reveille pour le vivre à
nouveau tel que son cœur survolté l’a tissé. Que ses fils de perversité me
traumatise et me détruise par le fion et la bouche. Me fasse pisser le sang
de mes seins arrachés. Les dents de vampire dans mon dos et plantées dans
ce qu’il reste de mes fesses. Et la perversité poussée au point culminant
d’où je ne reviendrai jamais. Le corps baigné au purin de son cheval et les
orifices remplis. Marronasse pétasse. Les cheveux arrachés à m'avoir forcé
la tête dans un seau pleine de pisse de cheval. Tant et tant à m'en noyer.
Infecte, acide,
puant, répugnant.
Qu’elle chierait au milieu du foin à quatre pattes dans
une vasque lisse et m’en barbouillerait la gueule et m’en nourrirait. Qu’elle
devienne sauvage me vomisse sur le torse, qu’elle se fasse vomir deux doigts
plantés dans le gosier elle-même et guérisse ses plaies. Et qu’elle me fasse
dégueuler à mon tour de tant d’animalité et de crade. Lady Mygalise
sodomise martyrise … Sa Marie Tussin.
"FOUTRE VOMI CHIASSE PISSE SANG DEGUEULASSERIES SUPPLICES HORREURS ET DAMNATION"
Je ne suis habité d’aucun fantasme en particulier mais de tous ceux qui vous
font couler des huiles bouillonantes de vos rêves les plus noires. Que la
répétition des lectures sadiennes et de vos penchants et tout votre vie
dedans/d’avant de frustrations, d’humiliations avant d’être assez forte
pour parfaire un mur qu’aucun ne franchirait sans votre accord. Ue tout cela
réunit dans les bouilloirs vous feront me rendre fou. La chose est possible.
Le serpent de mille perversions fait des nœuds dans votre ventre et cherche
l’angle le plus aigu pour vous exciter plus encore. Je suis à la passion livé à
lady. A crever parceque je l’aime dans toute l’inhumanité qu’elle rêve
d’accomplir sur mon corps batiffolant. Albatros mourrant. Je veux être
le prisonnier de ses rêves les plus acides et bruler dans sa toile. A la passion
lady je vous aime. Aimer comme on ne maîtrise rien. Vivre à en mourir.
Mon amour, ma déchéance.
"Profite bien du bien mâle acquis"
Lady-beauté, joyaux, beauté qu’a enfanté la vie, voluptueuse, légére et grande. Juste assez d’angle pour vous voir jouir et devenir folle dans les cercles infames et sataniques, et le feu tout autour.
Peaches en regalia Lady
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