Serais-je utile à maîtresse ?

A part mes compétences en informatiques et en technicien du son, je ne vois pas.

Peut-être objet de tortures, mais là je n’apporte rien de singulier.

Alors je réponds non.

Serais-je un romantique du SM ?

J’ai déjà répondu. Je note d’avance que je ne suis pas DU TOUT dans le milieu SM, il ne me connaît pas et vice versa.

Ensuite romantique au sens moyenâgeux, oui. Mourir pour une cause. Ma cause : maîtresse Trinity.

Lancelot et Guenièvre.

Serais-je un contemplatif ?

Oui, totalement. Donc là encore totalement inutile.

Mais contemplatif dans les moments de paix, sinon je serais vraiment un anti-contemplatif haineux.

Et le dégueulis je le coucherai sur le papier.

Mais comme Stendhal qui parcourait l’Italie flamboyante de la renaissance un carnet à la main. Que j’aime vaquer et écrire. M’ouvrir sans tabou toutes les portions de l’âme. Seule la prise en main de sa liberté (maîtresse trinity), son souffle vivifiant a emporté en moi toute mon adhésion. Pas que ses fesses, mais je n’ignore rien de ses fesses. Je l’écris en long en large et en travers, mais peut-être m’essoufflais-je. Je ne le crois pas homme du néolithique le silex à la main, j’ai des étincelles parfois. Oui donc, c’est ce qui transpire d’elle qui me remet en cause profondément. Je livrerai des pans supplémentaires de ma vie prochainement, expliquer ce que je suis, pour comprendre le chemin que je poursuis. Si ce n’était que de la flagornerie je jetterai tout cela à la poubelle. Je peux être fanfaron, et dans ce blog qui me représente partiellement, il ne peut en être autrement, mais ici, là, depuis le siége de secrétaire Ikea d’où je vous parle, je me dénude. Tentative originelle, originale. Tentative, comprenez bien. Maîtresse, je vous aime, comprenez bien. Aussi subitement.

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