Ballerine
Belle
Joues d’amour
Regards
Vois maîtresse
Ses fesses chalouper
Son océan rugir et dégueuler au-delà des jetées
sur talons démontés,
maîtresse gironde
Elle est un canon aux arrondis parfaits
Les flammes à la bouche vous consumerez
Son aisance
D’un claquement de cil vous grimpe la bastille
Elle transpire, ce que j’aimerais la renifler
Vous partez en déroute
Le chemin
Défriche le chemin s’il te plaît
Derrière les orties et les ronces
A ta taille un rosier
Plonge le roncier
Un rosier
Sodomy
Tyranny
Check your tongue in my asshole dear
And sodomy again
Le trouble.
Comment décrire ce trouble.
A la fois armé comme Guy George prêt à vous lézarder au couteau (mais vous enculer furieusement d’abord) et rendu liquide par votre grâce dansante comme un rêve flottant sur un tapis.
A la fois prêt à vous administrer des lavements aux piments à vous faire chier et hurler rouge (je suis fou à cette idée, je perdrai les pédales à vous faire tant mal, quel nirvana !) et à la fois ébahi et honteux de ne pas vous mériter. Vous êtes si belle. Si belle *****. Si troublante !
Le trouble, oui, le trouble.
L’eau se trouble quand on s’enfonce dans la vase mais elle se trouble aussi juste quand on y rentre. Troublé qu’un tel cadeau puisse m’échoir dans votre nudité flottante sur le sol. Et votre grace, toujours votre grace, et vos charmes dansants, vos jambes s’élèvent, votre chatte, vos cuisses qui tournent, vos fesses s’entrouvrent, Je voudrai avoir tous les courages mais le bonheur sur moi m’accable. Que me faîtes vous ce cadeau de votre présence. Combien je n’ai cru mériter
Maître Baudelaire avait aussi des sublimes que son physique normal n’autorisait. Il récompensait en fouillant les noires abîmes de son cœur, les femmes et les lecteurs, en mélangeant le met de sinistre odeur à la magie invraisemblable de ces putains d’instants partagés. Comment récompenserai-je la droite lignée de ma vie de m’avoir, en ce moment, par vous I******, donné autant ? Cela paraît tellement incroyable que par vous un jardin de Eden et un parvis de belzhebut se soit incarnés. Mon Dieu. Mon Dieu. Je ne pourrais jamais vous tuer.
Je ne mérite rien mais je veux tout, tout, tout. Tout tellement tout. Jusqu’à la fin de mon souffle. Tellement, tellement, tellement.
Elle se tiendrait devant l’arbre de la connaissance du bien et du mal
Elle serait le début et la fin
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Striez moi les fesses
Faîtes moi strier
Beauté 39
I’ll do anything 4 you
on me reproche
l’anal fait bête
on me reproche
le viol et l’animal
que je puis être
ou que je vous prête
Arachnide sans pareille
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Les battements d’ailes du papillon // et s’envoler
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Laissez moi des traces
Piquez moi les seins.
Laissez moi des traces
De merde
Tout autour du trou
Du bas du dos à l’arrière des cuisses.
Laissez moi des traces
De grâce
Maîtresse
Je n’en puis plus
J’en pisse de douleur.7
"Tu bois comme un buvard
Tu rougis comme un enfant"
Ne lui demandez la lune, c’est un astre comme le soleil
Ne doutez pas qu’elle vous encule, ou elle vous castre jusqu’aux oreilles
Ce que j’aime tromper par devant et par derrière
Ce que j’aime faire pleurer les asséchés
Ce que j’aime entendre hurler les bavardes
Ce que j’aime les chattes cousues
Les couilles orgueilleuses en pendentif
Ce que j’aime faire entrer le pudibond dans l’entonnoir de mes perversions et que jamais il ne s’en sorte indemne. Ô ce que c’est bon !
Piquer les seins précieux des précieuses
Les mines déconfites
Les confitures de miel dans l’anus
La traîtrise
La place des grands hommes à Bordeaux pour la castrer avec mon portefeuille de grande dame
Epingler les lâches et alaiser leurs roubignoles
Lécher le cul et con me lèche aussi
Analyser la bourgeoise, de mon cerveau puis de tout ce qui me passe par la tête.
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