Mercredi 29 avril 3 29 /04 /Avr 00:05




D’abord j’ai vu ces deux chiens loups arriver sur moi guidés par leur maître. Je pensais à tort que c’était pour me dévorer qu’ils accouraient. Mais que nenni, c’était dit, mon calvaire prendrait des formes surréalistes. Le maître chien, un mec la quarantaine, balaise, visiblement pas finaud, les gros muscles des bras ajourés par un pull kaki coupé au niveau des biceps. Le cigarillo au bec. Le regard vers moi méprisant. Il ordonna à ses chiens de ne plus bouger en donnant un coup de collier sec à chacun. Il parlait à maîtresse en regardant ses pieds. Peut-être était-il esclave ou bien pleutre ? Sans attendre, divine m’a fait agenouiller les deux mains dans la boue et m’a ordonné de sucer les chiens en passant par dessous. Mon corps sinuant entre les pattes avant et les pattes arrières. Quelle horreur ce qu’elle me demandait, mais j’étais soucieux de lui plaire et de ne pas sourciller au moindre détail dégueulasse. La bite encore rentrée il me fallait déchaussé le gland dans la touffe de poil, le branler pour qu’il prenne une proportion de petite bite d’homme et que je puisse l’aspirer. Les chiens sucés l’un après l’autre ne bronchaient pas et se contentait de tirer leurs langues et de faire des aboiements de temps en temps quand les giclées étonnement abondantes fusaient jusqu’au fond de ma gorge.


 

 


Prostré dix bonnes minutes à sucer j’ai eu l’humiliation d’entendre maîtresse converser comme si je n’étais pas là avec le maître-chien. Je ne voulais rien entendre. Quand elle jetait un œil à mon ouvrage, c’était pour m’ordonner de sucer plus profondément et surtout de pas baver. Mais le sperme canin était si acre qu’il me piquait le fond de la gorge (un peu comme du vinaigre) ; je recrachais machinalement le trop plein buccal. Maîtresse m’a ensuite ordonné de me mettre à quatre pattes le cul bien relevé afin que je me fasse prendre séance tenante. Je m’exécutais sans faillir, et même avec passion, car je voulais réussir ma fin. Le maître chien me parla comme à un animal (il traitait mieux ses chiens) pour que je me mette dans l’axe de la bite canine. Mais rien n’y faisait. Le chien loup s’installait sur mon dos et recroquevillait ses pattes sur mes côtes. Maîtresse fut d’autant plus contrarié qu’elle voulait absolument que je subisse l’assaut des deux chiens. Ayant essayé le noir, le second, aucun des deux ne réussit à la tache. Qu’à cela ne tienne, d’un coup de botte bien senti, maîtresse me frappa violemment au tibia, je roulais de douleur dans la boue, pour m’ordonner de sucer encore et de sucer mieux que tout à l’heure. Remis à quatre pattes je repris chaque bite des chiens dans la bouche. Je me mettais à chaque fois sous leurs ventres. Le sperme était nettement moins abondant ce qui me permettait de satisfaire aux ordres de Divine et de tout boire consciencieusement. Le manége dura encore dix bonnes minutes. A croire que j’avais vraiment vidé les couilles des deux toutous car ils fuyaient désormais ma bouche.



Franchissant un nouveau palier maîtresse m’ordonna de lécher l’anus des chiens.



Alors que j’avais tant de mal à déglutir suite à la dégustation de sperme, urticante pour ma gorge, je devais me taper les horribles cul de chiens dont j’imaginais qu’ils n’étaient pas lavé depuis leurs dernières défections. A raison, je l’imaginais. Soulevant péniblement avec honte et dégoût la queue du premier chien, je constatai avec horreur que le trou du cul du chien était immense naturellement , presque comme une bouche, et qu’il était maculé de merde marron tout autour. L’odeur pestilentielle qui s’échappait me fit faire une moue que maîtresse n’appréciât pas du tout. Elle me plongea le visage sur le cul de l’animal qui ne bronchait pas. « Léche, léche, léche Julien ! ». Malgré ma bonne volonté je peinais à sortir ma langue étant entendu que déjà mes lèvres aplaties sur l’anus se maculait de merde copieusement, sortir ma langue consisterai en l’avaler ! « Lèche, je veux voir ta langue » Maîtresse me tira les cheveux en arrière et ordonna que je tire la langue. Trop rose pour elle ! Elle saisit le fouet du maître chien et m’administra une volée. Je bondissais à chaque coup car tous étaient appuyés du plus que sa force l’autorisait. Revenue de sa noire colère elle ordonna que le second chien loup vienne et que je lui nettoie l’anus sans jouer la farouche. « Ta langue je la veux marron, verte, puante, mais je la veux pas rose ! T’as compris putain ? ». Invectives. J’opinais du chef, tremblais de tous mes membres, et souleva la queue du chien pour m’enfourner la bouche directement au puits de merde.


Maîtresse devait mouiller passablement et s’étant baissé à ma hauteur, talons aux fesses, elle regardait avidement les mouvements de ma langue sur le cul de l’animal tout en guidant par mes cheveux la destination voulue. Elle m’extirpa de l’anus crasseux après de longues minutes. Les morceaux d’herbe déféqués et d’excréments je les avais tous avalés depuis longtemps. A peine les contours des lèvres mélangeaient les couleurs, un peu toutes à vrai dire, sinon rien de très apparent. Ce qui ne ravit pas maîtresse qui soupira « Ta langue est à peine maronnasse, tiens reprend celui-ci ! » Le premier chien, qui avait la merde qui débordait du cul (tellement que j’imaginais qu’on l’avait badigeonner le trou de balle pour moi) revint et maîtresse, fesses sur talon, avec un regard extrêmement excitée que j’ai croisé rapidement, recommença son cirque en imprégnant le rythme et le sens de mes allers et venus en me tirant les cheveux, tout en m’ordonnant à l’envie de sortir ma langue dur pour l’enfoncer tout droit. Le chien s’agitait. Moi je déglutissais et c’était dégueulasse. Les odeurs de merde des deux chiens se couplaient avec un restaillon de sperme qui m’avait imbibé la langue. De long en large je lui lustrais l’anus, allant jusqu’à sa queue, partant sur les côtés dans les poils. Maîtresse d’un coup sec tira ma tête en arrière. Je compris, j’ouvrais la bouche. « Non seulement tu as une haleine déplorable Julien mais en plus tu as de la merde jusqu’aux joues ! » Elle parti en rigolant préparer l’attraction suivante non sans m’ordonner de lécher encore. le maître-chien avait ordre de me surveiller. Le connard m’a envoyé un violent coup de pied dans le ventre juste pour le plaisir. La respiration coupée je restais dos contre boue avant qu’il ne m’attrape lui aussi par les cheveux pour me conduire avec dégoût et ricanements aux trous de ses chiens.


 

 

 

 / suite jeudi 30


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