/// 1ére partie (l'enculée) ///
// Marie //
Elle se tenait là et je la regardais effaré et le palpitant exagérément battant. Là devant moi. Droite dans ses
bottes de cuir. Une jupette violette, un haut de soie bleu clair léger laissant présager la poitrine abondante que je lui savais, le tout recouvert d’un blouson de cuir noir pour se protéger du
vent glacial qui dévalait. Non pas que je ne l’avais jamais vu bien sûr, mais de la sorte accoutrée non. Il devait être 20h et les passants sur le quai du hangar 14 se retournaient négligemment à
peine l’avaient –ils dépassés. Quand elle m’a vu elle s’est approché et je j’ai tôt fait de l’embarquer dans ma 409, les familiarités ça n’a jamais été notre truc surtout pour le type de
familiarité qui l’attendaient. Je me suis garé peu après le rond point dans un coin peu passant. Je lui ai ordonné de passer à l’arrière et je l’ai menotté puis ligoté les jambes. Je devais jouer
le rôle du maître. Même si devant elle je ne me sentais pas capable de grand-chose je voulais surtout lui montrer que je n’étais pas lâche et que, comme convenu l’année dernière, j’allais prendre
un pied sadique à lui faire mal. Je faisais taire mes membres pour que leurs tremblements ne lui soient pas trop apparents. Je maudissais mes membres et ma lâcheté.
Elle est si belle. A 40, à 50 et plus loin que laisse t-elle aux autres ? Les greluches qui font le
trottoir ? Je ne parle pas de celles payées pour, non les autres qui arpentent les rades et cherchent le bon coup pour un soir ou deux. Toutes ces petites pucelles, culs serrés de 16 à 18.
De 26 à 28 post-mariage. De 16 à 48 en fait ! Toutes celles qui aiment se mirer et s’extasier de leurs formes dans leur salle de bain. Ô mais maîtresse Trinity aime se mirer également. Le cul,
les seins, si elle porte l’ensemble toujours aussi bien, et c’est toujours pleine d’admiration pour elle-même qu’elle laisse choir sa chambre aux miroirs. Elle tord le cou aux alouettes. Elle
leur pisse sur la tête. Maîtresse les rides (comme vous détestez ce mot affreux) sur vous sont celles où je vais puiser ma force et mon envie.
Comme le sort est clément avec nous, ne trouvez-vous pas ? Permettant je ne sais quelles folies, rendez-vous compte ? Voilà que le ciel tombe et qu’une bordée d’étoiles vient vous habiller. La nuit vous fait reine, moi je vous rendrai moins qu'une pute ! C’est parceque le temps nous est compté qu’on va le sucer jusqu’à la moelle.
Voyant votre cul de déesse. Je me perds à genoux devant les parfait arrondis et la couleur laiteuse, légérement
bronzé teinte Aguascalientes. Ce que je bande en vous voyant offerte. Ce que je vais en abuser ! Que vous êtes belle. Je ne saurai plus vous complimenter. Et puis vous complimenter à quoi
sert ? Vous n’y êtes même pour rien ! Toute la gracieuseté tombe à vos pieds et vous oint. Comme si naturelle la parure dont la nature vous a doté. Etrange nature hypnotique où mon
esprit s’embrume, se perd et fait des nœuds. ****** que vous êtes belle ! La Marie "mère de Dieu" à l’envers de la sainteté et pourtant pleine de grâce.
Marie-salope.
Nous y sommes. Le chalet au milieu des pins à quelques encablures du lac de Sanguinet où notre promesse maîtresse scellera notre contrat.
Je vous laisse les fesses exposées et les liens bien serrés. Je profite comme le badaud d’un feu d’artifice. Et
mes pensées vont pour vous jusqu’au bouquet final. Et je prépare mes outils. Mes litres. Ma seringue médicale de 2 litres.
Ce soir c’est sodomie et lavements à répétition.
// Le deal
//
Il y a bien 6 mois de cela, me recevant dans votre nouveau quartier du Lubéron nous avons posé les jalons de notre folie. La votre surtout. Accouplé salement avec la mienne. Etait-ce un age pour mourir ? Je n’en sais rien. Toujours est-il qu’à la tombée de la nuit à la faveur d’un champagne de fête, Perrier-Jouët, nous apposâmes nos signatures à un contrat secret. Nous nous donnions chacun jusqu’à la mort à l’autre mais pas sans condition. Enfin, de mon côté. Qu’importe de mourir pour vous maîtresse, vous vouliez follement vivre encore, vivre un peu, vivre au moins, même si mourir à petit feu. N’ayant crainte de mes vices, vous vous donniez sans réelle crainte de toute façon en sachant mon incapacité à vous assassiner. Nous en avions tellement discuté. Malgré tout ce qui nous séparait, un mur de Berlin, demeurait ce qui nous faisait pleurer ensemble, mur de Jérusalem.
Ce serait moi le premier qui en ferait à ma guise. Etant entendu que je planifiais avec vous les grandes lignes de ma mortification, je ne me voyais pas prendre mon tour en second et me relever de l’Hadès !
Tout était écrit là mais laissait libre cours aux fantaisies de chacun. Je craignais votre irrespect à tenir
les engagements de ce contrat moral. Surtout à enfreindre le domaine laissé libre pour vos fantaisies.
Vous m’aviez méchamment trahi déjà.
Vous, vous souhaitiez que je vous tue, tandis que moi
je savais que vous alliez me tuer !
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