Vendredi 24 avril 5 24 /04 /Avr 10:39



La voiture garée, je vous ai extirpé par les cheveux en vous faisant tomber de la portière par terre comme je le ferai d’un gros sac de course. Vous n’étiez qu’un gros sac de merde ! J’aurai tellement voulu y croire. Mais j’étais trop faible pour m’incarner dans un sordide personnage que mon éducation empêchait. Je le regrettais mais je voulais aller au-delà de moi-même. Je défaillais à l’idée de vous conter ma faiblesse. Putain, j’en avais marre et je me suis décidé à vous traîner par les cheveux, vos pieds traînant dans le sable jusqu’à la porte.


J’imagine que c’est ce à quoi vous aviez assisté en 2009 au Mexique quand dans le film que vous m’aviez envoyé la jeune femme se faisait mener au pal ! La différence c’est que c’était fou la suppliciée, mais que mon chemin des landes ne menait pas à votre fin.


Cet endroit un peu paumé dans les bois à l’avantage de la solitude même s quelques touristes s’égarent par là de temps en temps. Je vous ai installé sur la table que j’avais préparé de longue date. Vous ai bandé les yeux d’un ruban de soie rouge acheté pour ce soir de fête. J’ai accroché les deux tendeurs à deux chaises bien calées contre la table en les enroulant autour de la barre en bois qui servait de dossier. A chacun d’eux j’ai joint les pinces que j’ai accroché un à un à vos seins. Les doigts tremblants et le cœur plein d’envies. Vous grogniez et cela me faisait monter l’excitation. C’est très douloureux, vous me l’aviez initié, merci ! Cette pause invraisemblable de maîtresse sur la table, les jambes recroquevillées sur la poitrine, les mains, yeux et pieds liés, tenu par les seins par de petits mache-fers qui interdisaient tout mouvement brusques (bien que je savais votre intention de ne jamais fuir jusqu’à la mort). Et moi derrière, enfin, je vous administrais des lavements dont j’avais le secret. Les premiers litres étaient agrémentés de petites doses de glycérines afin de bien vous nettoyer le fondement. Vous recrachiez vos boulettes de merde sur la table et parfois, selon les giclées et les poussées anales, vous m’éclaboussiez ainsi qu’un mètre à l’alentour. Je passais aux choses sérieuses pour un récurage totale. L’anus on ne peut plus gonflé dégueulait ses derniers copeaux fécaux avec un bon litre de vinaigre vieillit dont j’avais pris soin d’ajouter quelques cuillérées de moutarde forte. Délicieuse façon que vous aviez de vous trémousser entre plaisirs et douleurs.


Maintenant, une dose horrible de kipik vous faisait vous tordre en tout sens. Je me devais de vous livrer à des sensations plus terribles les unes que les autres. Cet aphrodisiaque anal je l’avais testé à maintes reprises. Un délice quand l’enculage se rapproche. Mais là, je n’en étais pas là et poursuivais mes injections savantes. Oui, je vous ai administré avec une chronologie rigoureuse les lavements les uns après les autres en prenant la mesure du temps pour que chacun face son effet dévastateur dans votre cul avant qu’un nouveau lavement à l’eau bouillante vous déboîte les intestins et ne vous fasse hurler et jouir mes doigts en folie dans votre chatte. Dans chaque orifice s’épanchaient des sensations aussi puissantes que différentes. Je libérais vos seins avec sadisme en tirant sur les tendeurs. Vous vous gondoliez de souffrance, en essayant de ne poussez aucun cri. Les pinces ne se desserraient pas facilement et d’une violence qui m’étonnait moi-même je tirais d’un coup sec sur les tendeurs pour vous les arracher. Vous laissâtes échapper un « ah » de surprise et de douleur. Délicieux. Mon cœur battait à tout rompre. Culpabilité et vice. Le téton droit était enflammé et teinté d’une rougeur extrême. Le gauche, n’en parlons pas, c’était comme si j’avais retiré un bout du capuchon et une ligne ensanglanté parcourait l’auréole. Vous avez souffert, souffert, souffert !


Ah, je n’y tenais plus, je remplissais ma seringue d’une litre d’eau très chaude (mais pas bouillante, j’ai mon thermomètre médical et je connais par cœur les sensations – celles supportables – et celle-ci à la limite de faire exploser votre cœur dans une poussée qu’on dirait par analogie « d’enfantement ») pour vous l’enfourner directement dans l’anus qui avalait en rougissant et fulminant quand il s’agissait de recracher quasi instantanément le chaud liquide. Votre anus. Ö votre anus maîtresse, comme il va être bon de le défoncer après l’avoir défroncer de dizaines de manières. Je n’avais que faire de rouvrir votre fistule. J’ai joué ainsi une bonne heure avec votre fondement (bien que cela faisait belle lurette qu’il n’avait plus rien à chier) puis j’ai administré une dose d’extasia dont vous ignoriez même l’existence. La folle course dans votre cul du liquide blanc vous excita au plus haut point. Alors que d’un trou (bouche) vous finissiez de vomir, de l’autre vous vous ouvriez grand pour que je daigne vous enculer. L’envie vous carbonisait en plus de tout ce que je vous avait envoyé qui vous cramait aussi. J’ai rapidement fait tomber le pantalon. Passant un mouchoir maladroit sur vos lèvres et le dégueuli autour, j’ai présenté mon cul pour que vous le nettoyiez. C’est toute malade que vous vous êtes exécuté (je serai certainement moins docile, vous faisiez ça avec tant de facilité). Vous m’avez passé une langue pour me lustrer le long de la raie du cul. Les poils avec quelques boulettes de papier lotus que vous déglutissiez. Votre large langue me ravissait chaque nervure de mon trou du cul. Vous enfonciez avec délices. Comme vous léchez bien maîtresse. Je vous ai pris par les cheveux et vous ai écrasé contre mon cul pour vous étouffer .C’est alors que d’un coup, vous poussiez le plus que vous pouviez sur vos reins. Une vague anale vous déglinguez. Vous essayez d’extirper les restes de vinaigre qui vous brûlait, de kipik et l’extasia qui vous rendait folle d’envie de vous faire enculer comme une grosse salope. Malgré vous, alors que vous vous étiez « challengé » pour ne poussez aucun cri, vous avez râlé avec force tant la poussée énervé n’en finissait plus et vous coupait la respiration. Vous poussiez de la pointe de l’anus jusqu’à celles des cheveux. Vous deveniez livide. Au beau milieu de mon cul une giclée de vomi vint gâcher les ébats.


Je décidais de reprendre les choses en main et de sortir le beau champagne rémois pour, une fois bien agité, le faire gicler à profusion dans votre fion. Salope ! Vous n’aviez pas fini d’ en dégueuler des litres ! Fou d’excitation je vous ai enculé dans le champagne, l’eau (encore tiède) et tous les liquides dont je faisais l’inventaire à chaque coup de reins. Montant à quatre pattes autour de votre croupe je vous sodomisais comme un malade. La bite me brûlait et cela affinait mon inventaire en sachant ce qui me brûlait. Je tirais comme un sauvage sur votre crinière rousse, voyant votre visage blanchâtre et vos lèvres et joues parsemées de vomi. Je vous enculais enfin ! Enfin ! Je vous enculais comme un animal et vous réduisais le trou du cul en bouilli. Il allait ingérer ma citerne de sperme et le recracher maronnasse. Je vous insultais l’orgasme venant « sale pute ! mangeuse de merde » et tout y passait dans un délire et un vigueur qui faisait bondir votre dos à chaque fois que mon ventre s’écrasait entre vos fesses. Tout à coup dans une fureur que je ne saurai expliquer, j’ai saisi par en dessous votre sein à la pointe sanglante pour vous saisir jusqu’à l’arracher puis de la main libre alors que l’enculage devenait démoniaque je vous ai administré une volée de coups de poings en pleine tête, en passant par-dessous. Vous frappant le nez, la joue, le menton à répétition. Je jouissais dans une fureur totale et vous pissiez le sang et beugliez de fatigue, de maladie, de coups, de souffrance, de vice. Je giclais et explosais dans une vitesse sans frein au fond de votre rectum céleste. Un grognement de bête se joignais à vos cris que vous ne pouviez maintenant refréné, la gueule, le sein et le cul démontés !



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