Lui parler lui écrire et la lire.

J'aime cette femme.

Elle n'habite pas sur la terre, son monde est sa forteresse.

Que jamais elle ne s'affadisse et que le pain qui sort d'elle ait toujours goût du pain, et qu'il soit toujours nourissant.

Mais si jamais il n'avait goût de rien, je l'adorerais toujours.

Moi "rime pauvre" j'ai le sang sauvage qui porte à mes joues rosies de l'imaginer.

Cette femme sera une déesse les yeux cernés de couronnes et un sanctuaire.

Ne la cherchez ni sur terre ni dans la mer... vous la trouveriez maybe dans le vent. Glacial ou raffraichissant, oui vous pourriez bien la trouver. Je l'ai bien trouvé à Etretat, les joues rouges et le flux tachycardique...

Qui comprenne l'aimera. Ô Lady Ô !