S’il vous plaît maîtresse, laissez-moi des traces.
Dans une nuit noyée,
Profonde comme un lac,
Verte comme un marécage.
Laissez-moi des traces à la criée.
Des traces à regretter par dizaines.
Des traces qui ne s’effacent, comme celles cutanées, au fer rougis de votre armoirie fantôme.
Ô maîtresse prodigieuse, Ô amante mortelle, Ô mygale qui me mange
Jusque dans mon étouffement
Qui me noie jusque dans ma sueur ;
Petites pattes méticuleuses
Appliquées, vicieuses et sadiques ô combien ;
Mes fesses explosent dans votre délire ;
Le fer poussé en avant fait fumer ma chair
Je hurle de douleurs infinies
Je vous déteste de toute mon âme
Je hurle !
Et vous la goutte au front « il fait si chauuuud ».
S'il vous plaît maîtresse,
psychologiques et/ou physiques,
irreversibles,
selon votre volonté, votre plaisir,
marquez-moi de vos divines perversions.
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/notes/
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sources : kitagawa / blog de maîtresse
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