Odeur des myrtilles
Dans les grands paniers
Que demeure-t-il
De nous au grenier
Odeur des myrtilles
Dans les grands paniers
Ombre mon royaume
Je retrouverais
Les anciens arômes
Et les noirs portraits
Les enfants qui dorment
Les fauteuils boiteux
Les ombres difformes
La trace des jeux
Odeur des myrtilles
Dans les grands paniers
Que demeure-t-il
De nous au grenier
Odeur des myrtilles
Dans les grands paniers
C'était moi peut-être
Ou peut-être vous
Les yeux des fenêtres
Sont vides et fous
Dans les mois de paille
Il fait doux guetter
Le cri court des cailles
Divisant l'été (...)
Texte : Aragon / Tenenbaum/Julien
Mai 2025 | ||||||||||
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Cher Taulier de ce blog autelier,
Permettez que je m'insurge contre la publication de ce texte.
Elle est pernicieuse à l'extrême.
Sur fond d'éloge mérité et méritant d'une Dame dont les échos, s'ils ne sont pas tous unanimes sur les talents de cuisinière, s'accordent à l'être diantrement plus sur ceux, entre autres, de cuisineuse experte en entartage, voilà un article qui incite à la gourmandise de se manger une tarte. Soit.
Mais ce blog a beau être réservé à des adultes consentants à certains éblouissements (aussi bien par les chants d'elle que vous nous offrez que les 36 qu'elle peut nous offrir à contempler), vous faites très peu de cas de la fraction de vos lecteurs qui sont un peu tartes (comme ça, des fois et par hasard évidemment).
Une véritable incitation au cannibalisme!
Immonde!
Un lecteur très choqué.