Elle m'expose son cul comme Courbet sa vision du monde

surplombant

m'écrasant de sa beauté blanche

que contourne une rainure taquine que je jalouse

une culotte, de mousse ou de fin coton, inconsciente et pleine d'aisance à la prendre et la si serrer fort

ce que j'aimerais dans ces instants comme au grenier

rapprocher ses merveilles à mes yeux et que ma bouche puisse l'embrasser.

Que reine sur son socle , qu'elle testerait bien solide,  elle s'ébatte sans fin de joies humides

et grandissantes telle la houle annonce le plus haut des coefficients

et d'extases, d'amour et de volupté, 

que rien ne manque à cette sorte de lap-dance au pivot masculin

jouant la cruelle guerrière amoureuse

s'applatissant et jouissant de tout son poids

cherchant elle-même par frottements vifs l'ouverture par laquelle se pâme tout son corps

entrouvrant comme sa bouche-malice les calices de son vice

qu'enfin ses mains rejoignent d'autres mains à ses seins qui les portent 

qu'entre deux phallanges prisonnières s'extasient et se boursoufflent ses pointes

et qu'une vive exclamation l'emporte dans un délire de cercles de bassins

et de chatte et de fesses frottées. 

Introduction divine et de cuir couturée

pour   Maîtresse en amazone dévastatrice

avant qu'une fléche ne la trouble

et ne la fasse tomber à quattre pattes...

avant qu'une fléche ne la trouble

et ne la fasse tomber à quattre pattes...