Je n’ai pas de couille.
Aucune.
Déesse me traîner dans un coin boisé et sombre par les cheveux.
Me fouetter dans la boue froide.
Qu’elle me traîne par les cheveux pour m’y plonger
après m’avoir lacéré les vêtements devenus humides et opaques et m’oblige à me dévêtir, les doigts
gelés,
grippés dans les boutons du pantalon,
trop boueux pour me défaire de ma chemise qui me colle comme un glaçon. Mon jean blanc
baissé aux chevilles est un amas de boue, est une entrave, une chaîne liant mes pieds
dans lesquels je me prends, sitôt poussé par son empressement et je
m’étale
littéralement dans l’herbe mouillée et dans la marais de terre
dégueu.
Empressée maîtresse exige
de me mettre complètement nu, nu comme un vers, vers fragile qu’elle va mordre et qui va se tordre dans les
immondices
où elle ajoutera tout ce qui passe sous sa main,
des orties,
des merdes de chien,
des ronces
/ je ne sais tant ça puait, tant ça piquait, tant il y en
avait /
jetés négligemment sur ma figure et mes jambes repliés et les alentours. Terrorisé,
mortifié,
j’arrache la chemise, aussitôt elle me fouette avec une violence aigue que je voulais fuir, je protége mon
visage des mains, me couche sur le côté, me roule et
mille maux me piquent le corps et me strient en tous sens.
Maîtresse seule est tyrannique.
Sans fond, sans forme, rien d’enviable !
Elle me marche dessus et m’écrase tout ce qu’elle peut, je lui supplie de m’épargner,
que je ne veux pas mourir,
je crois défaillir m’évanouir dans sa violence sans contrôle, j’entends son souffle exténuée
et
des paroles qu’elle dit peut-être à elle-même,
un filet de sa pisse me torche les cheveux et se répand à l’avant sur mes narines, mes globes oculaires foncièrement boueux, mes lèvres
Elle me retourne en m’arrachant
le cuir chevelu et s’accroupi pour me
déféquer sur le visage
et me malaxer avec la boue son horrible défection sur tout le visage,
shampouiné à la merde et à sa pisse, aux orties qui m'irritent
pris au piége pour respirer elle profite de ma bouche ouverte pour la remplir à vomir.
Salope ! Je la maudis !
Je l’entends qui fume une cigarette,
je grelotte de terreur et de gel,
elle m’écrase sa cigarette sur l’épaule, j'ai à peine été brulé tant la boue qui me couvrait m'abritait de son nouveau délire.
Attendant la suite de mon calvaire je suis resté prostré dans la boue
un bon quart d’heure
quand j’ai réalisé qu’elle s’était volatilisé.
C’était peut-être même pas 10 minutes.
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