Mercredi 22 octobre 3 22 /10 /Oct 20:25

 

 


Cette femme est déréglée, déjantée,

Malgré toute sa psychologie

Ses nerfs et sa dextérité éprouvés depuis tant d’années

 

Elle en perdrait toute contenance

 

A contempler mon agonie dans l’empalement

 

Une contemplation mystique qui échappe au réel

De ce corps qui s’en va tremblotant, image d’apocalypse

Imitant progressivement dans sa mortelle descente  le raid pic de fer

Qui me désarticule et m’encule

 

Il n’y aurait plus assez de joie et de frénésie sur terre pour remplir d’aise son ciel intérieur

Une froide suée trempe son dos de cuir et mouille entre ses seins… et si bien… ailleurs

Complètement déréglée,

Devenue complètement folle

Excitée à mourir à l’idée de choses si coupables

Epuisée par son coeur battant la chamade

De ses giclées de sang qui inondent ses tempes

Et cette émotion qui la noie comme rien ne l’a jamais noyé autant

De me donner une mort SI dégueulasse et extrêmement vicieuse

 

Elle a perdu toute contenance à me faire signer ce papier

Qu’elle ne m’a pas laissé lire et que je tremblais de signer

Contrat que jamais on ne retrouvera

Brûlé avec mes restes

Mais ce côté légaliste est une sale pierre angulaire

Rugueuse et pointue sur laquelle maîtresse m’assoit

Pierre angulaire d’un projet décousu

Ou comment donner une stature formelle

À un meurtre totalement difforme

 

Meurtre

N’appartenant à aucun livre, même le plus sordide

N’appartenant pas en tout cas au monde des vivants

 

Maîtresse je n’en peux plus

J’ai tellement attendu que cela débute

Et maintenant que le coup est si prés d’être porté

Je voudrais tant que cela finisse

 

 

Je vous vois l’œil brillant

Qu’une mèche de feu tentait de dissimuler

Toujours ce formalisme et cette émotion incroyable jusque là contenu.

A m’emmener sur cette île cachée du bout du monde

Enfermé pour la grand cause à double tour au triple sous-sol

Rejointe par ses amies qui donnent dans le vice extrême et d’accoutumée si peu impressionnables

Qui vont s’en donner à cœur joie dans l’anonymat

Où même seuls quelque regards jetés sur la pièce démontée

Suffisent à submerger d’un bonheur indicible l’âme dansante derrière chaque oeil.

 

Telles sont les amies, perfides, perverses et avides de cruautés aussi.

 

Ayant souffert mille morts déjà

Je suis fixé de force à la potence

Par la furie animale d’Elles

 

« Mon cul bouché est pour vos rages un siphon »

 

Me griffant me mordant jusqu’au sang

Afin que chaque poil de mon cul ne se perde

Que chaque pore, chaque atome de mon être

N’échappent à pareil écartèlement et que tout devienne souffrance.

Malgré la petitesse de mon anus tuméfié

Devant la pointe acérée qui plus on plonge, plus s’élargit

Malgré les tortures passées

Elles me souhaiteraient en pleine forme

Que j’en subisse l’incendie en pleine conscience

Mais je m’en vais sur le pic comme un demi-mort

 

Chacune d’elle hypnotisée, se caressant le cuir

...se frottant sans discernement...

 

Maîtresse Amie et sa bouche à merde :

« Qu’entre enfin cette esclave brune

traînée dans la boue par les cheveux

son corps si blanc tourne marronnasse

se débattant dans la boue comme ferait un serpent

Mais Chut ! …aucun bruit sinon ses glapissements

Que rien ne vienne nous distraire de la déchirante fin

et des beuglements de l’empalé

Punie, ses yeux bandés ne verront rien du spectacle démoniaque

Réservée aux meilleures d’entres nous dans ce monde.

 

Et qu’elle lèche les talons de chacune, comme chacune lui plaira

et que chacune d’elle lui chie, lui pisse dans la bouche à volonté

et qu’elle mange cette bouillabaisse, mélangée à la terre,

cette catin l’a bien mérité

et qu’elle baigne ses lèvres divines dans nos cons

pendant notre contemplation

c’est mon cadeau

d’une maîtresse amie

à maîtresse Trinity »

 



Mes fesses fendues par le furieux mat se déchirent

Le bruit violent de mes os entrechoqués

Montent dans la pénombre et ravissent les oreilles folles

Pendant que le pal enculeur s’enfile

Maîtresse, maîtresse…

 

TU ES LE COURONNEMENT anal

D’une fleur à la tige de métal

Tu t’étales ouvrant tes pétales

Transpercé par le cul petite pédale

 


Comme étouffés sous terre et perdus en mer sont mes cris d’agonie

Cette femme est déréglée et elle pisserait de joie dans la bouche amie

Vase de volupté n’ayant plus la moindre retenue

Même pour un séjour en prison elle n’échangerait pour rien au monde ce temps passé

À jouir démesurément

Comme une étoile, le firmament de sa vie sadomaso

Dans mes turpitudes elle me rejoint, me crache, me pisse, me vomit, me chie

Comme si sa beauté s’enflammait rouge dans ces parvis boueux

Elle est flamme

Son avenir est dans le criminel, Julien a lancé sa vocation

Il n’y aura jamais pareilles excitations que de fignoler dans les agonies

Et elle pisse encore

Et elle caresse un mort

 

 

 

Amoureuse des belles phrases et des expressions

Maîtresse se fatigue dans ses pensées mais elle renonce,

Il n’y a pas de mots pour décrire ce flot ininterrompu de chaleurs pimentés qui l’a bouleverse et l’a chavire sans la faire bouger

Déesse Trinity : en équilibriste dans le dedans intenable !

 

Maîtresse Trinity :

« Toi, ironie du sort, tes mots que tu ne pensais t’ont conduit à ce brasier

Julien tu peux mourir aucun mot n’aurait décrit telle félicité qui je la sens m’habiter si profondément

Ton expression sera à jamais dépassée par ta pose insensée dans ce tableau mortifère

Vision ancrée qu’elle va me transcender de longues nuits d’ivresse

A me caresser, à me faire mettre comme une pute

A remémorer mes talons dans la boue du Styx »


 

« Cet amas d’excréments 

Et ses flots de sang

Au pied du calvaire

 

Cette sueur dans l’air

Imprégnant narines animales

Ecarquillées à s’en faire mal

 

autour guêpes et mygales

Qui tournent et se caressent

Comme des mouches à merde

 

Parmi je suis reine souveraine

Jouissant sur les flots du Styx

Où sur ta petite gueule je pisse »

 

 

 

« J’étais singulière déjà et que cette singularité s’est alourdie cette nuit

Nuit constellée d’étoiles amoureuses chacune séparées par le chœur de leurs scintillements

Que le foyer lumineux habitant mes profondeurs inaccessibles

Hante les tiroirs si peu ouverts de l’amour indicible. »

 

« Et me galvaniser dans les tourments à venir où je veux tout écraser

Revivre par procuration et prolonger ce bien-être douloureux car presque intenable

Qui me noie qui me ravage comme ravageant est ce pic qui pointe par sa bouche, accompagnée de bile

Ses spasmes qui le secouent mes amies et moi nous étranglons d’émois

Nous massacrons la brune puante à coups de pieds !

C’est si bon, c’est si froid,

C’est si chaud, c’est si cruel »

 

" Je suis une femme nouvelle

Et toujours plus belle "




Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Retour à l'accueil

Commentaires

Bonsoir, Ce texte est décousu, parfois peu lisible ; mais la cadence et le style lui donnent vie. Et un texte vivant, malgré vos énormes fôtes ;-) à la rédaction de "la revue littéraire" on en redemande. Sachez malgré mes critiques que je trouve votre travail remarquable. Je suis votre blog depuis un bon mois, c'est très irrégulier mais vos étincelles Trinityennes sont uniques en leur genre. Continuez ! Dipol
commentaire n° :1 posté par : Dipol le: 23/10/2008 à 20h42

NAVIGATION ARACHNIDE

Le Blog

  • : Le blog de Julien sur Maîtresse Trinity
  • : 17/07/2008
  • Le blog de Julien sur Maîtresse Trinity
  • : Blog entièrement dédié à Splendide Maîtresse Trinity. Libre, Anale et Raffinée. Tout ce qu'elle me procure. Infiniment & intensément. Sans aucune limite.
  • Contact

Catégories

Au Jour Le Jour

Mai 2025
L M M J V S D
      1 2 3 4
5 6 7 8 9 10 11
12 13 14 15 16 17 18
19 20 21 22 23 24 25
26 27 28 29 30 31  
<< < > >>

Rechercher

Commentaires

2011

bouffe moi la chatte Sim

 

maitresse trinity seins explosifs

 

 

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés