Si je devais la baiser
Je me sentirais mal dégourdi
Pour la grossir
J’aurais peur de la lasser avec mes lenteurs
Qu’elle pourrait prendre pour hésitations ou pire, tiédeur !
Puissent mes cercles redoutables lui creuser son désir
Puis par mes jeux de langue
Fleurir son plaisir de femme
Parcourant son corps et la découvrant au rythme d’un paisible bateau de pêche
Elle désirerait peut-être un hors bord
Mais à une autre occasion hors bord je serai
Ma lenteur excessive à la humer et la caresser
A polir ses ronds merveilleux…
La nature a fait naitre quelque chose de pervers
Dans les ronds atours gourmands de nos mères
Qu’on s’excite à retrouver dans toutes les femmes.
J’y pleurerais ma faiblesse d’homme s’il fallait me démailler.
Oh galbe, lady, désobéissants aux règles de la pesanteur
N’en faisant qu’à leurs têtes capuchonnées de gros grains de chairs rigidifiés
Goûtus
Navigants anarchique sur le ventre comme indépendants du reste du corps
Avec une disharmonie sensuelle
Hypnotisant par la lenteur de leurs mouvements
Dus à l’épaisseur des masses laiteuses
Et de la délicatesse que lèchent mes caresses.
Eh Man !
Emane des odeurs voluptueuses d’entre deux seins
vapeur, chaleur,
Oh je ferme les yeux à mon bonheur
Viendra le temps de les saisir et les ravager tout entier
Pour en faire la pelisse dorée d’un plaisir joint et ineffable.
Mais je m’égare.
Seins magnifiques
Soleil ou iceberg
Je ne sais tant j’en perds mon thermomètre
Et garde avec difficulté le reste de mon sang, froid.
Qui me font proportionnellement
Et inversement dur
Comme eux peuvent être doux et onctueux.
Et qu’importe le lait pourvu qu’il y ait ivresse.
Que mon sexe bande à en exploser le cylindre
Qu’il veuille, si je ne le maitrisais, tringler le triangle.
Et m’approcher de ses centres nerveux, juteux, merveilleux,
Avec une foi tactile et un amour béotien
Prendre de mes deux mains ses hanches soufflées parfaitement comme un cristallier d’outils abrasifs et de chalumeaux exhumerait les courbes profondes d’un vase Portland
Faire passer son string à bâbord afin de mettre aux épaules ses jambes sculptés et raidies
Et débuter mon doux jeu de la tourmente
Oui je voudrais l’adoucir et que mes façons de ne pas y aller l’excite et l’affaiblisse
Et que je sente son corps porté par ses fessiers s’amollir dans le duvet
Qu’un long soupir accompagne le trajet marcopolien de ma bouche qui remonte à l’intérieur de ses cuisses pour remonter au-delà de son nombril sans être passé, malin, par le centre
Puis repartir vers le bas et à chaque cercle m’approcher davantage de sa fine toison coiffée que mon souffle désinvolte et que mon jeu de patience finisse par dresser
Puis l’écarter et la prendre en bouche
Ses doigts courant à ma bouche d’incendie que tout inonde
La cunilinguer avec passion et dévotion
Sentir son petit sexe qui coule et le déglutir
Puis lâcher les chiens et les chevaux
Les doigts de partout la fendent et la prennent
La font chanter et se courber
L’assaillent et la pincent et la percent
A mesure que je meurs d’ivresse
La langue tout au fond d’elle jetée puis redescendant au trou de son cul que mes doigts comme des griffes écartent ses deux mollesses pour me laisser l’anulinguer comme un fou, bouche d’égout.
Puis remonter à sa chatte brulante en même temps que lui pincer adroitement les tétons en les tirant vers le haut, OOOOOO
Je la fouillerai à m’en déchirer la langue et lui remplir ses ouvertures
« homme libre tu chériras la mer » et moi j’ai ses marées du bonheur violent qui me montent au nez et me saoulent…
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