Prière païenne
que rien n'affadisse maîtresse
que rien ne l'assombrisse
ne l'aigrisse
et qu'elle demeure dans la lumière
lumière versatile
que la vie la renouvelle
toujours la source à son épanouissement.
Je n'ai de cesse de louer
votre corps
de le magnifier
et de chérir par dessus tout
et en le prenant dans sa globalité
votre esprit lumineux
avec ses contradictions,
Oui globalement
vous chérie
du plus desinteressé que je puisse.
Mai 2025 | ||||||||||
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Devant Dame qui puit tant vous proposons humblement devise:
"Quoique puisse, ne cesse avant ultime goutte"
M'est avis que Julien ne devrait pas attendre d'être tout rabougri pour déposer quelque chose comme "Les mémoires de Julien" ou "Mémoires d'entre-tombes"...
Comme toujours je goûte vos commentaires, et rigole bien par moments. Je m'étonne de votre fidélité bien que j'en ai un autre, sans votre talent, qui m'écrit réguliérement. Je ne réponds jamais ou presque. Presque c'est vous et je vous paraphraserai en vous demandant de ne pas vous confondre avec "presse- queue". Mais je vais repondre à ce commentaire. Car vous tombez à pic, Chateau-brillant est mon auteur vénéré. Comme je loue beaucoup ceux du 19éme aussi (le beau fils Aspic mon général). Je rêve d'être le brillant de maîtresse et élever mes cailloux de maigres proses à un autel gros comme un lasuce lajolie...
Comme toujours, quel honneur pour mouche du coche parmi d'autres d'être choisi pour exception qui confirme la règle d'orpailleur de silence.
Cependant, j'ai honte de vous avouer que, moche de souche, ma cultivation n'en est pas à la hauteur.
Incapable de situer le 19ième sur un plan de Paris, vous pensez bien que ses habitants ne me sont guère plus familiers que ceux des autres arrondissements...
Mais que les amis de mes amis soient mes amis, et si j'ai certes déjà ouï ce nom de Chateau-brillant en certains restaurants, je ne demande qu'à mieux le connaître, j'envisage même -c'est dire la confiance et l'estime que je vous porte- d'y goûter plus qu'une 4ième de couverture.
J'ajouterai que grâce au titre "Totem" qu'une Maîtresse-queue triple étoilée a donné à l'un de ses articles (et aux longues recherches sur Minitel qu'intrigué j'ai du me farcir pour comprendre qu'elle ne faisait pas allusion à une enseigne marchande de tabacs et pipes mais peut-être -là, je conviens du péremptoire de la part d'un morpion à trianguler autour de ce déjeuner sur gazon au Mont Vénusien- aux repas totémiques) j'anticipe ce plaisir renouvelable de premier communiant de cette saine religion philocalicique qui demande, au lieu de les fermer, d'ouvrir les yeux avant, éventuellement, la bouche (et je répète tout l'honneur qui m'est fait, là aussi,en tant qu'exception).
Ce blog-autel est un peu comme un jardin et d'y venir et revenir me semble plus de l'ordre du plaisant (et du nécessaire) que de celui de la fidélité.
Ne vous inquiétez pas pour le "presse-queue", avec la série "Rosée provençale" que vous nous servez généreusement en ce moment, on a tous l'accent qui se pagnolise...
Un grand merci
...et pour ce qui est du talent que vous me prêtez, j'espère que vous me pardonnerez que , bien qu'au faîte de ne plus me sentir de joie, il m'ait fallu un peu de temps pour en élaborer pleine démonstration. Obligé.
Qui donc, dès le lundi,
Encore dans son lit,
Même à se gratter l'anus,
Ne pense au jour de Vénus?
Sans fausse modestie, je crois avoir été là un poil moins verbeux et plus intelligible que David Bowie avec son anglais:
http://www.youtube.com/watch?v=FmKSB72uucM
Votre obligé.