J’ai rêvé d’être avec elle
Suis un homme si faible
Les os feindraient de ne plus me porter
Si vous étendiez vos aîles bruissantes
Une ombre géante, lumière de beauté, couvrant un petit homme
Si chétif et fragile qu’un rhume par un coup de vent semblerait suffisant pour l’emporter.
Emporter, emportez-moi, dans les reflets creux où siége votre regard
Vos yeux me brûlent, je suis brindille
Infamante
Vos aîles Belzebuth rongent mon ange qui ne me gardienne plus, je n’en veux plus
Je n’ai d’yeux que pour les votres
Et le monde peut m’emporter
Etre votre ami, votre frange de quotidien de rien
Votre frise amie qui en vous s’oublie
Les mots mon Dieu, maîtresse,
Les mots n’ont pas d’âme
Pas vos flammes
Lady, être moins qu’un livre de votre bibliothéque
Qu’un crottin de votre cheval
Que la brise qui perle à votre visage d’octobre
Etre votre Dior volage sur magnificent plumage
Etre rien, mais vous accompagner
Comme je le fais depuis juillet 2008
Maladroit, funambule, petit homme qu’on encule
Oh maîtresse Trinity
Faire battre ses mots dans votre corps
Et qu’ils résonnent jusqu’à votre cœur
Avec vous je suis le plus fort
Sans vous, mort
Je n’ai rien à vous offrir sinon mon tout
Avec raison et folie
Qu’un âne botte la fourmilière
Et que je vous rencontre
Lady...
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