Cul de sac
Sac de cul
Qu’est-ce que je foutais là à traîner mon rhumatisme du derrière
L’espionne qui m’écarte les globes
M’arrache ma part d’extase et d’angoisse I wanna die
Je me sens ridicule scruté, je rougis même du cul quand votre inquisiteur se pointe
L’aiguille droite et bien à l’heure
Dans le rond honteux de ma rustine
« Une petite sodomie »
Qu’elle me dit
Ça résonne dans ma tête vide
ça fait sodomiiiiiie hi hi hi !
Ça m’humilie, je sais plus où j’en suis
Je suis en train de me faire enculer, oui, ça je le sens bien
La nuit blanche écume
Elle me fourre
Je déglutis, je goutte au front et au dos et je… sers les fesses… pardon maîtresse … mais vous allez me faire trop mal…
Au fur et à mesure qu’elle m’ouvre, boite de conserve,
Je me sens pousser des hémorroïdes jusqu’au fond de ma gorge
Tant elle pousse pousse pousse son gland de mousse
Elle tâtonne et s’enfiche de travers d’un grand coup de rein
Elle me déchire l’anus, jubile, je cris violemment
Ô sirène des abysses, ange noire de la volupté, Ô perverse qui singe l’amour par derrière
Qui me défigure par cet oblong outil de merde
« Ô hisse ! sodomie ! »
Qu’elle me dit
Hi ! hi ! hi ! - ah ah ah ! J’ai mal
Aux dents, au gland, aux amygdales
J’ai un nœud qui me ramone le cul
Il suit le mouve de vos fesses à vous
Si bien harnaché de lanières qui glissent entre vos fesses à vous
Les ronds que vous dessinez de vos hanches fielleuses comme pour m’évaser mieux
Et forcer les bords jusqu’à vaincre mes fragiles résistances
Vos mouves m’irritent, me brûlent aaaahatrocement
Il me met le trou duc’ en purée, en marmelade, l’ognon malade
A force de récurer, ma dignité s’envoler, larmes chaudes couler
Et vous riez et vous mimez « han han han », moquez l’homme
Avant que mon malheur ne vous excite au plus haut point et que vous enfonciez nettement plus fort votre tige et la retirez violemment puis l’enfourniez plus durement ad lib
Han han han – claquent vos cuisses – vos efforts vous mouillent – je sue
Additionnant humiliation à la douleur, quel régal, quel malheur, je pleure, salope m’entendez-vous ?
Je me cambre pour supporter mieux vos assauts littéralement déchaînés
Le cul exploser et la langue pendante comme ma bite
me sabotez l’intestinal, je chie, je coule, je marmelade, vous glissez, vous m’arracher les cheveux, j’ai peur mon Dieu, que vous faîtes mal
que j’ai mal – je pue
que je suis détruit, vide, humilié
vous me détachez, j’ai la fièvre, je tiens plus debout, à me traîner le traumatisme au derrière
vous me prenez d’une main par les cheveux alors qu’une autre fait mine de m’arracher le sein en me le tordant d’une violence inouïe, comme j’ai honte, comme j’ai mal
Ç’en est trop
que je suis à chié
jusqu’à ce que vous m’obligiez à me coucher dedans, tout tremblant, livide, au bord de l’évanouissement
je m’accroupis et je ne puis m’arrêter de sangloter
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